Quaestiones

( début du XIVe s. ), etc. Avec les Quaestiones, la doctrine s'ouvrit davantage à la pratique : une question relative à un cas concret est posée, à laquelle répond le canoniste, dans un développement parfois fort long. Cette méthode, inspirée de l'enseignement juridique médiéval, connut un grand succès au Moyen Âge chez les canonistes ; comme d'ailleurs chez les romanistes, qui composèrent également des traités de réponses à des questions pratiques, appelés Quaestiones ou Responsa. Vers la fin du XIVe

les tribunaux est considéré comme le modèle de la discussion, argumentée que l’on appelle la disputatio la confrontation d’arguments logiques. La dispute, qui devient l’exercice académique, consiste à soulever des problèmes, à poser des quaestiones, avec un libellé très rigoureux et y répondre en citant des textes à l’appui de l’argumentation, citer des auctoritates, pour donner plus de poids à l’argumentaire que l’on développe. On fait cela à l’appui d’une thèse et on soutient la position

particular led to an attachment to authority, both religious and ‘ancient’, and to logical arguments. The teaching and reasoning style is called ‘scholastic’; its practitioners were ‘schoolmen’. The arguments were of a particular kind (what were called quaestiones), in which a question was posed (e.g. could the sun be still and the Earth move?); the arguments on both sides were carefully set out and a series of objections had to be dealt with in a strictly defined format before a conclusion could be reached;

catholique des médecins français, Célibat et sexualité, Paris, 1970. I.F. Gorres, " Priestertum der Frau ", dans Be-denkliches, Donauwôrth, 1966. F. Klostermann, Priester für morgen, Innsbruck-Vienne-Munich, 1970. H. Vorgrimmler, Das Priestertum, Quaestiones Disputatae, 2. Bande, Fribourg, 1970. L. Beirnaert, " Célibat sacerdotal et sexualité ", dans Études, mars 1964, pp. 367-374. B. Gardey, "Le célibat sacerdotal met en question notre culture", dans Supplément à la Vie spirituelle 85 (1968), pp

casus vient du verbe latin cado, de même que le mot accident : il est ce qui advient à un moment déterminé ou, mieux encore, ce que nous supposons qu'il doit advenir : c'est l'hypothèse de fait. Des notabilia : remarques sur les textes de loi. Des quaestiones : discussions tendant à résoudre, d'après la dialectique, les questions non résolues par la loi. Quelques noms : Rufin ; Etienne de Tournai, Jean le Teutonique, Jean de Faenza, R. Bandinelli, Paucapalea. Un seul à retenir : Huguccio dont le chef

coexisté deux genres de théologie : une 'théologie monastique` basée sur l'Écriture en vue de la transformation morale et mystique des moines et des fidèles, et une 'théologie cléricale, basée elle aussi sur l'Écriture Sainte, mais enrichie de 'quaestiones` en vue de l'instruction professionnelle des clercs et des prédicateurs". (dans Bull. de théol. anc. et médiév., 6, 1950, p.53) 3. Hugues de Saint-Victor, Didascalicon ; P.L. 176, col. 739-812. Se référer aussi à la traduction qu'en donne M

un delà de la grande Syrie et de la Cyrénaïque). 4. III. 59. 5. I, 31. 6. I, 39. — Voir encore Méla, I 32 : à l’Ouest des Garamantes (Fezzan actuel), s’étend sur un vaste espace une région inhabitable. Conf. Pline l’Ancien, V, 43. 7. Naturales quaestiones, III, 6. 8. Pour les anciens, l’Éthiopie commençait au Sud de notre Berbérie. 9. Voir encore Lucien, Dipsad, I. 58 LES CONDITIONS DU DEVELOPPEMENT HISTORIQUE. point du littoral de l’Atlantique qui parait répondre à la Saguia el Hamra,

très grands juristes, mais aussi des auxiliaires proches des Empereurs. Papinien et Ulpien sont ainsi des préfets du prétoire4, adjoints direct de l’Empereur. Leur œuvre est abondante et multiforme. A côté des classiques recueils de consultations (quaestiones), ils composent des discussions sur des points de droit controversés (disputationes), des recueils de « Règles », des manuels d’enseignements appelés Institutes (du verbe instituere, « enseigner »). L’ensemble de leur œuvre est sauvé de l’oubli

| |     Avec les Quaestiones, la doctrine s'ouvrit davantage à la pratique : une question relative à un cas concret| |est posée, à laquelle répond le canoniste, dans un développement parfois fort long. Cette méthode, inspirée de | |l'enseignement juridique médiéval, connut un grand succès au Moyen Âge chez les canonistes ; comme d'ailleurs | |chez les romanistes, qui composèrent également des traités de réponses à des questions pratiques, appelés | |Quaestiones ou Responsa. Vers la

comme symbole d’une nouvelle naissance. Certes, en plus du rituel d’appartenance identitaire et communautaire, tout cela compte probablement. Mais aussi, et surtout, cette hypothèse formulée par deux philosophes juifs, Philon d’Alexandrie dans Quaestiones in Genesim et Moïse Maïmonide dans Le guide des égarés : cette opération vise et veut l’affaiblissement de l’organe sexuel; elle recentre l’individu sur l’essentiel en évitant de le voir gâcher par des présomptions érotiques une énergie mieux