Qualité de vie

QU LA QUALITE DE VIE DES PATIENTS ATTEINTS DE MALADIES CHRONIQUES : ASPECT COMPARE DES SYSTEMES FRANÇAIS, SUEDOIS, CANADIEN ET AMERICAIN. Par Géraldine SALEM Juriste, chercheur en droit de la santé Sous la direction de Benjamin PITCHO Maître de conférences, Université Paris VIII Avocat à la Cour - Rapport à la Fondation ROCHE – -Janvier 2010- - SOMMAIRE - INTRODUCTION 1re PARTIE : LA QUALITE DE VIE DES PERSONNES ATTEINTES DE MALADIES

 DEFINITION : Le concept auquel nous nous référons diffère de la notion commune de qualité de vie apparemment exclusivement intuitif et idiosyncratique. Il accepte plusieurs définitions qui sont standardisées et explicites, mais qui sont multiples : les définitions varient selon les écoles et selon les objectifs de la mesure. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS, 1994) voit la qualité de vie comme " la perception qu’a un individu de sa place dans l’existence, dans le contexte de la culture et

La qualité de vie perturbée par ce surmenage De nos jours les entreprises ne cessent d'accroitre leurs exigences, ce qui n'est pas sans conséquences sur la santé des salariés. En effet, il y a une accélération constante des rythmes de vie et de travail,ce qui entraîne une augmentation du stress durant les heures de travail. Une enquète d'OpinionWay pour les Editions Tissot, spécialisées en droit du travail vient concretiser ce facteur. Selon cette enquète, le premier facteur dont les salariés

| |La relation soignant-soigné en soins palliatifs | |Effet du stress sur la qualité de vie | | |

L’impact de l’activité physique sur le stress professionnel et la qualité de vie I. Introduction générale  D epuis l’aube des temps, l’homme faisait, consciemment ou inconsciemment, de l’activité physique : pour survivre, pour faire la guerre, en faisant de l’agriculture ou de l’industrie, ou simplement en faisant ses activités quotidiennes et banales, comme faire ses courses ou faire le ménage par exemple. La société contemporaine, et grâce au développement technologique qu’elle connaît

RENFORCER LES POLES DE COMPETITIVITE PAR DES POLES DE QUALITE DE VIE ET DE SERVICES Les retraités aisés ne vont pas s’installer dans les régions de vieilles industries. Et les nouveaux entrepreneurs ont tendance à s’implanter dans les zones que le climat, l’environnement naturel et la richesse des équipements collectifs rendent attractifs pour leur famille et leurs cadres. Ces critères sont plus importants pour eux que les aides aux entreprises. Dans certains départements touristiques du Sud de

Travail &CHANGEMENT Quels indicateurs de la qualité de vie au travail? • le cadre : les familles de critères les plus pertinentes • la méthode : la concertation pour construire ses propres indicateurs • la direction : le CSE, un indice de développement au travail N° 334 NOVEMBRE/DECEMBRE 2010 0 -100 -200 Revue de la qualité de vie au travail 100 200 300 400 Georges Texier (CGPME), Michel Masdebrieu (CGT), Alain Jounot (Afnor Certification), Michel Gollac (collège

dans la répartition des revenus se creusent, le PIB ne fournit pas une bonne évaluation de la situation dans laquelle se trouvent. o Les statistiques habituelles ne rendent pas compte de phénomènes qui influent sur le bien être des citoyens (ex : qualité de l'air) o La manière dont les statistiques sont utilisées donne une vision biaisée des tendances économiques. Le fait de mesurer la performance d'une économie à l'aune de l'accroissement des biens de consommation inertes n'est pas pertinent car

concernés. La dénonciation sans l’action concrète rend impuissant. L’impossibilité où se trouvent beaucoup de travailleurs de pouvoir simplement « faire leur travail » empoisonne la vie sociale : activités ordinaires contrariées, travail « ravalé », initiative refoulée jours après jours finissent par « rendre la vie impossible ». Mais là où est le problème est la solution. Ce ne sont ni les appareils nVo Pourquoi ce livre ? Yves Clot C’est un livre de circonstance, d’État, ni les journalistes

concernés. La dénonciation sans l’action concrète rend impuissant. L’impossibilité où se trouvent beaucoup de travailleurs de pouvoir simplement « faire leur travail » empoisonne la vie sociale : activités ordinaires contrariées, travail « ravalé », initiative refoulée jours après jours finissent par « rendre la vie impossible ». Mais là où est le problème est la solution. Ce ne sont ni les appareils d’État, ni les journalistes, ni les experts qui ont les moyens de développer la capacité d’agir