Quand Je Danse Je Danse Essais De Montaigne

Table des matières I. Introduction II. Le Moyen-Age - Introduction - Le roman de Renart (Julie) - Charles d'Orléans (Julie) - François Villon ( Marie) III. La renaissance - Introduction - François Rabelais ( Florence-Marine) - Michel de Montaigne (Florence-Marine) - Ronsard (Florence) IV. Le classissisme - Introduction - Jean de La Fontaine (Laurie) - Molière (Clarisse) - Mme la Fayette (Laurie) - Racine (Clarisse) I. Introduction Dans le cadre du cours de littérature, monsieur

transmettre des connaissances.  Susciter le désir d’apprendre (en étant attentif à celui qui reçoit l’éducation). Eduquer : apprendre à réaliser un équilibre entre les exigences du corps et celles de l’esprit. Autonomie  Nous sommes plus libres quand nous formulons nous même la loi que nos devons suivre : principe moreaux de nos vie. II- La vérité par la démonstration Qu’est ce que la démonstration ?  Un syllogisme (inventé par Aristote) : l’art de mettre ensemble les raisonnements/ les

radicale entre le monde animal et celui des hommes perdura dans le temps pour être repris par des auteurs tels que Montaigne (1533 – 1592), La Fontaine (1621 – 1695), et peut être moins remarqué, mais tout aussi remarquable, le marquis de Sade (1740-1814). Quand Montaigne se posait la question de la vanité de l’homme rabaissant la nature et les animaux pour mieux élever la nature humaine (Essai II, 12), le marquis de Sade proposait une vision matérialiste et utilitariste de la condition animale sur deux

relativisme, ethnocentrisme. Histoire littéraire : les différents mouvements des textes. Problématique : Qu’est-ce que l’être humain, entre nature et culture ? Séquence 1 : groupement de textes : le sauvage. Lectures analytiques : Montaigne, Essais, I, 31, « Des Cannibales », entretien avec trois Brésiliens. Voltaire, L’ingénu, Chapitre VI, « L’ingénu veut épouser Melle de Saint-Yves », 1767. Céline, Voyage au bout de la nuit : le commerce entre Blancs et « sauvages », 1932. Michel Tournier

culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 1. Le malaise dans la culture (Freud) 2. Répression et révolution (Marcuse) III. Culture particulière et culture universelle A. Le relativisme culturel 1. Le relativisme de Montaigne 2. La critique de Lévi-Strauss B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 1. L’idée de progrès et de supériorité 2. La valeur de la pensée (Finkielkraut) Conclusion Annexe Résumé La définition

édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière et culture universelle 12 A. Le relativisme culturel 12 1. Le relativisme de Montaigne 12 2. La critique de Lévi-Strauss 14 B. La critique du relativisme : la tartine et les mathématiques 15 1. L’idée de progrès et de supériorité 15 2. La valeur de la pensée (Finkielkraut) 16 Conclusion 16 Annexe 17 Résumé

L'univers s'élargit. Du fait d'abord des grandes découvertes : La découverte de l'Amérique par Christophe Colomb en 1492, le Tour du Monde par Magellan en 1519 et la multiplication des récits de voyages ainsi que d'autres modes de vie. (référence Montaigne et les cannibales qui l'amène à une leçon de tolérance.) De plus, la Terre n'est plus le centre du monde. (C'est Ptolémée qui avait établi le géocentrisme). Ce sont les travaux de Copernic qui ont permis de démontrer que la Terre gravite autour

fortement timbrée me faisait tressaillir de joie et d'amour. Elle avait pour moi toutes les perfections, elle répondait à tous mes enthousiasmes, à tous mes caprices, - belle comme le jour aux feux de la rampe qui l'éclairait d'en bas, pâle comme la nuit, quand 1 la rampe baissée la laissait éclairée d'en haut sous les rayons du lustre et la montrait plus naturelle, brillant dans l'ombre de sa seule beauté, comme les Heures divines qui se découpent, avec une étoile au front, sur les fonds bruns des

se mêlent intimement à la vie et à l’action. La culture n’est donc pas une connaissance ou une forme abstraite et indépendante de la vie mais au contraire une manière de vivre. C’est en ce sens qu’on peut dire que « la culture, c’est ce qui reste quand on a tout oublié »1, et que l’on peut insister, comme le fait Nietzsche, sur le lien étroit entre la culture et la vie : La culture ne peut naître, croître et s’épanouir que dans la vie, tandis que, chez les Allemands, on l’épingle comme une fleur

l’énonciation (PS, imparfait, plus-que-parfait) qui renvoie au moment du souvenir... Déroulement de la séquence: Séance 1: L'univers autobiographique (lecture, O. RUIZ, « J'traîne les pieds ») Séance 2: Les enjeux de l'autobiographie (lecture, Montaigne, Essais, Semprun, L'Ecriture ou la vie) Séance 3: L'accord du participe passé (langue) Séance 4: L'énonciation dans le texte autobiographique (lecture, L-F Céline, Mort à crédit) Séance 5: Les modalités d'écriture (lecture + langue, M. Leiris, L'âge