Quand Une Passion Devient Obsession

La Passion Bossuet, Descartes, Spinoza, Novalis, Camus, Dowstoïevsky, Hegel, Freud, etc etc... La liste des philosophes, des romanciers, des essayistes, des psychanalystes qui ont abordé, fouillé, examiné, décortiqué, analysé le thème de la passion serait longue, fastidieuse et certainement jamais exhaustive. Mouvement impétueux de l’âme pour l’un, simple objet d’un penchant vif et persistant pour l’autre, du domaine exclusif de l’emportement et de la colère pour celui-là, réservé au penchant

de complussions. Une obsession est une pensée, une  impulsion  persistante  et  intrusive  qui  entraîne  de  l’anxiété.  Une  compulsion  est  un  comportement  répétitif  que  la  personne  se   sent  obliger  d’accomplir  en  réponse  à  une  obsession.    Les compulsions de la  personne touchée par le TOC ne lui apportent aucun plaisir, elle  le  fait  seulement  pour  diminuer  son  anxiété  ou  sa  détresse.  Il  faut  savoir  faire  la  différence  entre  une  passion  et  un  trouble  obsessionnel 

sa résistance religieuse et social". Le narrateur comprend donc que Mme Walther est une femme religieuse et honnête, avec un statut social dans la société. On voit l’importance de la religion dans la vie de Mme Walter lorsque son premier réflexe quand elle aperçoit le tableau du Christ est de tomber « sur ses genoux » et de le prier « éperdument ». Le changement de l’atmosphère dans la serre peut être un parallèle du changement de Georges. Pendant la journée, très beau et fantastique. C’est

La passion ? Qu’est ce que la passion ? Quand on aime quelque chose ou quelqu’un au point d’en être polarisé, épris, amoureux. Ou est-ce un état d’âme contraignant la personne qui en pâtit de sombrer dans un gouffre sans fond ? La question se pose et plupart du temps se trouve sans réponse. Dans mon cas je l’ai trouvé, ou peut-être je crois l’avoir trouvé. Imaginez-vous dans un monde où il y a tous et où vous cohabitez avec toutes les émotions susceptibles d’être ressenties par un humain. Que

réduire à un pur déterminisme (ligne 13) et ne relève pas non plus uniquement d’un engagement volontaire (ligne 4). Selon Sartre, l’amour implique une impossibilité puisqu’elle implique passion et raison ainsi que déterminisme et liberté. L’amour reposerait donc sur une liberté qui n’en est pas vraiment une car elle devient captive d’elle-même (ligne 11). Cela pose donc une grande contradiction incohérente au sentiment amoureux. L’amour n’est-il pas qu’un sentiment impossible du fait même de cette contradiction

« cocu » tourne à la monomanie, et le rend ridicule, par exemple quand il tombe dans l’excès en parodiant le tragique (Acte III, scène 5). Il est obligé de garder le silence, face à Horace. Le public, complice, rit alors des apartés, par exemple  «  Ah! Je crève… ». Quand il écoute le portrait fait de lui (Acte I, scène 4), ou quand il apprend la ruse d’Agnès (Acte III, scène 4). Il en va de même face à Agnès avec le rôle des apartés quand il écoute le récit de la rencontre d’Horace et l’éloge du jeune

souffrance de Swann. 1ère phrase : cadence rapide → imitation du pas pressé du personnage. 2ème phrase : multiplication des subordonnées relatives → effet de tension accrue par des tirets qui retarde l’aboutissement, traduction de la montée d’une obsession. 3ème phrase : suites de propositions indépendantes : après la révélation se succèdent une série d’actions décidées qui vont se heurter à un obstacle. II. Le sursaut jaloux a) Un retournement psychologique Rythme ternaire de l’énumération « la

Vivre sans passion est-il souhaitable ? Comme le dit Marcel Proust, « le désir fleurit, la possession flétrit toute chose », dans Les plaisirs et les jours (1896). Cela signifie donc que vivre en désirant sans cesse quelque chose nous permet d’avoir un but à notre vie, et dès lors que nous sommes en possession de la chose désirée, nous n’avons plus aucun plaisir à l’avoir. Nous pouvons donc nous demander si l’homme aimerait vivre sans passion ? D’abord, vivre sans passion semble difficile

fondateur du genre, est la preuve en personne de la portée morale du comique. Dans un courant marqué par l’idéal classique de l’honnête homme, Molière devient célèbre pour ses comédies de caractères ou il traite de diverses obsessions à travers ses personnages principaux. L’avarice, le libertinage amoureux, l’idée de sincérité, nombreuses sont les obsessions mises en scène par Molière. Par la satire et les portraits de protagonistes obsessifs, Molière ne cherche plus seulement à plaire mais aussi à instruire:

pose un centre de valeur à partir duquel tout est mesuré : l’être aimé. Mais pourquoi le modèle de l’échange serait-il “neutre” ? Aimer revient à donner ses faveurs de manière sélective et parfois jusqu’à l’injustice. Il menace l’identité quand il devient passion : une maladie de l’âme, dit Kant. C’est le négatif. Dire que l’amour est aveugle (par nature) c’est le réduire à sa partie négative : le mal. L’inverse n’est pas meilleur : cela reste tout aussi unilatéral. D’où la double impasse à remarquer :