Quantitative research

nom de théorie quantitative de la monnaie. Nous l'aborderons un peu plus tard. Nous devons commencer par définir ce qu'est la monnaie et la façon dont on la compte. Plan de la partie 4: Alexis Direr (courriel : "nom"@ens.fr) http://www.jourdan.ens.fr/~adirer/ 2 Notes de macroéconomie, dernière mise à jour octobre 2009 4.1 Introduction 4.2 Qu'est-ce que la monnaie ? 4.3 Les incarnations de la monnaie 4.4 La création monétaire 4.5 L'équilibre monétaire 4.6 La théorie quantitative de la monnaie

Friedman http://fr.wikipedia.org/wiki/Milton_Friedman La théorie quantitative de la monnaie Friedman est le père du courant « monétariste » et a notamment réactivé la théorie quantitative de la monnaie. Selon celle ci, c’est l’augmentation de la masse monétaire qui est la cause unique de la hausse des prix : « L’inflation est toujours et partout un phénomène monétaire en ce sens qu’elle est et qu’elle ne peut être générée que par une augmentation de la quantité de monnaie plus rapide que celle

La politique d’open-market 2.       La politique par le taux d’intérêt 3.       La politique de garantie de dette   II.                  Mais la neutralité de la monnaie a durablement disqualifié la politique monétaire   A)     Théorie quantitative de la monnaie A cette vision interventionniste, s’oppose celle des monétaristes. Milton FRIEDMAN est favorable à une politique monétaire faisant évoluer la masse monétaire au même rythme que la production. Il déconseille l’utilisation de l’arme

L’offre de la monnaie est assurée : - partie scripturale par les banques commerciales -monnaie centrale par la banque centrale -la demande de monnaie exprimée par les agents économiques -section 2 : la théorie quantitative de la monnaie : approche dichotomique-La théorie quantitative de la monnaie postule que la quantité de monnaie en circulation détermine seul le niveau général des prix (P) sans affecter la richesse globale créée (R)  si la quantité de monnaie augmente elle ne fait que diminuer

LA THÉORIE QUANTITATIVE DE LA MONNAIE Extraits wikipédia La théorie quantitative de la monnaie est une théorie économique fondée sur la relation de causalité entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau général des prix. Cette théorie a été développée par différents auteurs dans différents pays. Les théories monétaires s’opposent sur le rôle de la monnaie dans l’économie. Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre, les keynésiens affirment que la monnaie

qu'ils considèrent comme normal et habituel. Il en  déduit que la demande de monnaie est plus  stable que ce que pensent les keynésiens.   2. La croisade monétariste Sa renommée mondiale, Friedman la doit  surtout à l'actualisation de la théorie  quantitative de la monnaie, mise au point par I. Fisher au début du 20e siècle. Selon cette  dernière, toute augmentation de la quantité de monnaie (M) entraîne une augmentation des prix (P) car la vitesse de circulation de la monnaie (V) est constante (1)

Mais d’une manière générale, elle est généralement moins volatile depuis l’après-guerre, qui correspond à des progrès dans la politique monétaire. Ces variations sont dues à la quantité de monnaie (aussi le taux d’intérêt). Idée de la théorie quantitative de la monnaie, théorie monétariste, l’inflation s’explique par la variation des quantités de monnaie en circulation. - les taux d’intérêt nominaux : et donc sur le taux d’intérêt réel. Etude de Sims, prix Nobel d’économie, sur les effets transitoires

sur la quantité de transaction. KEYNES fut le premier à mettre en valeur que la monnaie pouvait être demandée pour elle-même comme n'importe quel autre bien. Il faut attendre, 1976 pour qu'un auteur du nom de FRIEDMAN (Milton) propose la théorie quantitative de la monnaie : Il démontre que la quantité et la vitesse de circulation de la monnaie à une influence directe sur le taux d'inflation donc le niveau de l'activité économique, le chômage, ect. On peut comprendre l'impacte de la quantité de monnaie

micro-informatique pour avoir participé à l'introduction de l'ordinateur personnel dans les foyers, en ayant pris conscience du potentiel du couple « interface graphique et souris » à la suite d'une visite, avec une équipe de sa société, au Palo Alto Research Center de Xerox. Cette idée mènera à la commercialisation par la société Apple Computer, début 1984, du Macintosh, le premier ordinateur grand public offrant ces innovations. Évincé en 1985 de l'entreprise qu'il a fondée, Steve Jobs crée NeXT

micro-informatique pour avoir participé à l'introduction de l'ordinateur personnel dans les foyers, en ayant pris conscience du potentiel du couple « interface graphique et souris » à la suite d'une visite, avec une équipe de sa société, au Palo Alto Research Center de Xerox. Cette idée mènera à la commercialisation par la société Apple Computer, début 1984, du Macintosh, le premier ordinateur grand public offrant ces innovations. Évincé en 1985 de l'entreprise qu'il a fondée, Steve Jobs crée NeXT cette