Que Nous Apprennent Les Scenes De Repas Sur Les Personnages De La Societe

|... il n’avait pas voulu en tenir compte |regard critique sur la |les Fables de La Fontaine|Cour du Lion Livre de littérature p.332 | | | |(l.106) |société du XVIIe siècle ?| | | | | | | | |

scène d’exposition une scène d’exposition d’apparence traditionnelle car les spectateurs apprennent toutes les informations sur les personnages et l’histoire. Dès le début on y apprend le lieu: Angleterre « C’est parce que nous vivons dans les environs de Londres », le contexte: « Nous avons mangé » ce qui montre qu’ils viennent de finir leur repas, les spectateurs apprennent également le nom des personnages: « Mr. Smith, Anglais, (…) une petite moustache grise, anglaise.  »  «  A côté de lui

L'Amour médecin de Molière. II Présentation de l’œuvre Pièce de Théâtre : Comédie en 5 actes : * Acte I  3 scènes qui se passe dans un palais * Acte II 5 scènes qui se passe dans à la campagne au bord de la mer * Acte III 5 scènes qui se passe dans une forêt avec un temple en arrière plan * Acte IV 8 scènes qui se passe dans la chambre de Dom Juan * Acte V 6 scènes qui se passe dans une ville III Analyse de l’œuvre 1. Résumé  Acte I : Dans les jardins d'un palais ouvert au

I. RESUME DE L’ŒUVRE Hiver 1870, l’armée française est en déroute, Rouen est une ville occupée par les Prussiens. Dans une diligence, dix personnages sont réunis le temps d’un voyage pour Dieppe. Dans cet espace clos, toute la société est représentée ; deux commerçants, deux bourgeois, deux nobles, deux religieuses, un républicain et une prostituée, « célèbre pour son embonpoint » qui lui vaut le surnom de « Boule de suif ». La neige empêche la diligence d’avancer, les voyageurs prennent du

et ami de Flaubert puis de Zola, Maupassant a en effet tracé sa propre voie romanesque et présenté, dans quelques textes théoriques, sa conception du roman réaliste. • en première, par ailleurs, Bel-Ami offre un personnage de roman extrêmement riche : Duroy est non seulement un personnage marquant dont les motivations et la psychologie sont détaillées par Maupassant, mais son parcours dans le milieu du journalisme, de la politique et des affaires permet de replacer le livre dans « le contexte littéraire

de Suif durant la guerre de 1870. Les thèmes : principaux sont la nourriture, l’argent et la guerre de 1870 qui a beaucoup marquée : Maupassant. : Il est intéressant d’étudier cette nouvelle car Maupassant y montre l’hypocrisie de la haute : société et du clergé. Nous allons voir dans le développement que Boule de Suif, une prostituée, : apparaît bien plus respectable que les « honnêtes » bourgeois et qu’elle nous inspire la : compassion. Dans cette nouvelle, Maupassant dénonce la monstruosité

Boule de Suif durant la guerre de 1870. Les thèmes : principaux sont la nourriture, l’argent et la guerre de 1870 qui a beaucoup marquée : Maupassant. : Il est intéressant d’étudier cette nouvelle car Maupassant y montre l’hypocrisie de la haute : société et du clergé. Nous allons voir dans le développement que Boule de Suif, une prostituée, : apparaît bien plus respectable que les « honnêtes » bourgeois et qu’elle nous inspire la : compassion. Dans cette nouvelle, Maupassant dénonce la monstruosité

sont des animaux qui permettent à La Fontaine de critiquer. On trouve souvent une opposition entre forts et faibles. Les animaux peuvent aussi être remplacés par des objets ou des végétaux. Peu d’humain, peu de femme par contre des Dieus ou des personnages historiques. Versification : Alexandrin : 12 syllabes. Décasyllabe : 10 syllabes. Octosyllabe : 8 syllabes. Césure : 6 syllabes. Rimes féminines se terminent par un e muet tandis que les rimes masculines se terminent par toutes les autres lettres

 :  Le  personnage  de  roman,  du  XVIIème  siècle  à  nos  jours.     Un  topos  romanesque  :  la  scène  de  repas     Le  repas  est  un  puissant  révélateur  de  la  psychologie  des  personnages,  d’une  société,  de  ses  codes,  de  ses   représentations.   Toute   une   organisation   sociale   le   sous-­‐tend.   C’est   aussi   le   lieu   où   les   personnages   se   dévoilent

soucis et de ses préoccupations. Il a, comme le disait Aristote du théâtre, une vertu cathartique. C’est pourquoi nous nous demanderons si cette approche du rire s’illustre bien dans le roman rabelaisien à travers les péripéties vécues par le personnage gigantal et si elle est suffisante pour cerner tous les enjeux de l’œuvre. Il s’agira tout d’abord de montrer combien le roman, dans tous ses ressorts comiques, permet effectivement d’être un « distributeur d’oubli », tout en précisant ce qu’il