Quelque part dans le temps

densément peuplé qu’aujourd’hui. Il y a un groupe de niveau moyen très important (pas de très riches et quelques pauvres) : certaine « immobilité » 2. Les champs ouverts * Correspond à la totalité du bassin parisien, vers le Nord et plus à l’est avec quelques incursions vers le sud (la Limagne) * Pas limitées par les haies mais par des bornes. * Majorité des habitats groupés et quelques fermes isolées : mais densité encore plus forte que dans le bocage (cultures des blés et des céréales

partir de 1929, année où il devint surréaliste à part entière et inventa la méthode paranoïaque-critique. Exclu de ce groupe quelques années après, il vécut la guerre d'Espagne en exil en Europe avant de quitter la France en guerre pour New York où il fit fortune et résida huit ans. À son retour en Catalogne en 1949, il opéra un virage vers le catholicisme, se rapprocha de la peinture de la Renaissance et s’inspira des évolutions scientifiques de son temps pour faire évoluer son style vers ce qu'il nomma

qui ont ceci de commun qu'ils affectent d'une modalité : soit le verbe (qu'ils qualifient en quelque sorte) : travailler courageusement — soit l'adjectif : étonnamment généreux — soit l’adverbe lui-même : plus loin. N. B. — L'adjectif invariable peut être employé comme adverbe (v. n° 174). Les divers types d'adverbes ont été étudiés à l'occasion de leur emploi, et selon qu'ils expriment : le temps, la manière, le lieu, l'affirmation, la négation, l'interrogation, le doute. N. B. — La négation

termine sur son départ pour le Nord à la fin de son adolescence. Ses premières années sont marquées par la faim. Sa mère tombe gravement malade, ce qui contraint Richard à aller vivre chez sa grand-mère à Jackson (Mississippi), tandis que son frère part vivre à Détroit avec sa tante. Il décrit brièvement la ségrégation raciale qu'il découvre en grandissant et contre laquelle il va lutter, notamment grâce à l'écriture. Sa première nouvelle, Le Vaudou du demi-arpent de l'Enfer, écrite à 14 ans, sera

recueil de nouvelles : Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part. 2.Grandes étapes. Anna fait ses études de lettres modernes en Sorbonne puis elle tente « 1000 petites boulots » mais sa révélation vient lorsqu’elle reçoit le Prix France Inter. Encouragée, elle prend comme prétexte les concours de nouvelles pour donner ses textes à lire. Trois de ses livres sont devenus des best-sellers : Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part, Je l’aimais et Ensemble, c’est tout. Aujourd’hui elle

La sérendipté est en français un néologisme dérivé de l’anglais « serendipity », un terme introduit par Horace Walpole pour designer des découvertes inattendues. La sérendipté est un mot qui désigne couramment le fait de trouver quelque chose d’intéressant de façon imprévue, ou en cherchant autre chose. Le corpus proposé entretient un rapport direct avec le thème le détour dans une amplitude chronologique qui va de 1959 a 2008. Selon Osborn, il qualifie la sérendipté comme une espèce de chance provenant

enveloppe puisse se constituer autour du groupe avec des règles afin que chaque individu fasse partie de cette alliance. La constitution de l’enveloppe nécessite du temps pour se former. Lors de la première séance par le biais du Photolangage, un espace de parole a été initié à partir d’un support visuel. Avec cet appui, chacun apportait une part de sa subjectivité par le choix de sa photographie mais aussi par l’explication de ce choix. J’ai trouvé intéressant que chacun puisse interagir sur ce qui avait

à Paris » (l.4), dans les « grands magasins de la Belle Jardinière » (l.11), « une fin d’après-midi d’avril de l’année 1918 » (l.1). La guerre est présente à travers de nombreux indices : la référence au « canon allemand » (l.3) silencieux depuis quelques jours seulement ; la qualification de Paris : « si meurtri depuis le début de la guerre » (l.4) ; les conversations inquiètes des clientes qui « évoquaient la terrible offensive allemande dans la Somme, la difficulté qu’avaient les troupes françaises

Département : Seine et Marne Durée de l’entretien : Environ 30 minutes Entretien : - Pour commencer, j’aimerai que tu me parles des moyens de transports que tu utilises généralement. - Bah euh, je prend le bus et le train de temps en temps, mais euh maintenant que j’ai le permis, je prend la voiture c’est plus pratique pour moi. Enfin euh, ça dépend de ce que je vais faire, et puis où est ce que je vais surtout. - Ok, donc si je comprend bien, tu utilises plus ta voiture

Penser que les œuvres d’art veulent dire quelque chose, c’est imaginer de prime abord un lien entre l’œuvre et la foule de spectateurs. « Foule de spectateurs », parce que l’adresse provenant de la voix d’un artiste aurait un contenu identifiable, qui vaudrait en tant que tel, immuable face à tous ceux qui le percevraient. L’œuvre d’art serait donc un voie de passage, un moyen pour un créateur de s’adresser au monde, pour lui dire « quelque chose » qui le concerne : une idéologie, une vision du