Questions De Compréhension De Candide

Français. Epreuve blanche – 1S1. CORRIGE Objet d'étude : La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. I. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes

sujet : La lecture d'œuvres constitue une part importante des études secondaires, elle reste aussi une activité de loisir pour beaucoup de collégiens et de lycéens. Dans les livres qu'ils lisent, les jeunes essayent de trouver des réponses aux questions qu'ils se posent concernant bien sûr leurs études mais aussi leur existence et les grands problèmes de société auxquels l'actualité les confrontent. b) Amener la problématique : Pourtant bien des livres qu'on leur donne à lire ignorent totalement

"). Dans la morale, Blaise Pascal invite chaque individu ・reconsiderer sa situation sociale ("Ne vous imaginez pas que ce soit par un moindre hasard que vous possédez les richesses dont vous vous trouvez maîtres"), mais il va plus loin encore, la question rhétorique ramènent a l'existence même de chaques individu ("Mais ces mariages d'où dépendent t'ils ?"). Ces procédés visent à dénaturer le pouvoir royale et toutes formes de gouvernance qui ne seraient fondé selon Pascal qu'uniquement par le hasard

montrerons que le mouvement des lumières est avant tout un combat d’idées pour le triomphe de la Vérité (Première partie) mais aussi, la manifestation d’un esprit philosophique (Deuxième partie). Mais il convient au préalable, pour un souci de compréhension, de définir ce qu’est le siècle des lumières et faire un bref aperçu du contexte sociopolitique et intellectuel qui a favorisé son éclosion. Définition usuelle et Contexte sociopolitique et intellectuel : Il d’usage en histoire littéraire

le lecteur. Si l’on prend l’exemple de deux formes d’écritures courantes : la fiction et l’essai, alors on peut se demander quel est le plus efficace des deux pour dénoncer une injustice ou défendre une cause. Nous essayerons de répondre à cette question en étudiant tout d’abord les points forts de la fiction, puis en quoi l’essai peut être avantageux et enfin comment l’apologue permet une argumentation des plus convaincantes. I) La fiction Un : L’efficacité de la fiction tient au divertissement

a) Interpellation+ Attire l’attention du lecteur , implication- utilisation du pp « vous » > 6 occurrences (apparition) en 4 ligne> auteur implique le lecteur en le désignant directement-question > rhétorique (dimension rhétorique)| lecteur invité à comprendre inciter à réfléchir où réagir qui va livrer une métaphore explicite | b) Métaphore expliciteDans ce para l'auteur utilise

distraire son lecteur : « En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire, / Et conter pour conter me semble peu d’affaire. » Nous nous demanderons d’abord si le conte a bien toujours pour finalité ultime d’illustrer la morale. Néanmoins, une question devra ensuite être soulevée : celle de la sincérité de La Fontaine qualifiant ses maximes de « morale(s) nue(s) », formulations abruptes de simples évidences. Pour finir, est-il, enfin, jamais possible de bien saisir soit le récit, soit le précepte

l’origine de notre civilisation. Huguette Mirabail, Argumenter au lycée. Le thème retenu a été celui de l’altérité. Mais qu’est-ce que l’Autre ? D’emblée la notion paraît problématique. Dans ce très beau texte extrait de La Conquête de l’Amérique. La question de l’Autre, paru aux Editions du Seuil en 1982, Tzvetan Todorov, en même temps qu’il en révèle la complexité, clarifie ce mot polysémique et montre toutes les formes que peut prendre le rapport à l’Autre : Je veux parler de la découverte que le je

constaté avec les différentes forme de dialogues comme « -Bonjours, répondit poliment le petit prince,qui se retourna mais ne vit rien. ». Donc la narration est le plus important dans cet extrait et est aussi très bien structure pour une bonne compréhension de se texte. Deuxièmement, la fonction d'apologue se distingue ensuite avec la visée argumentatif du récit. En effet la rencontre du renard face au Petit Prince, donne une belle leçon de vie. Le renard argumente sur la vraie amitié que le

la victoire » « pour écraser un jour nos ennemis » « vaincre dans l’avenir » Conclusion : Après avoir décrit la situation tragique de la France de 40, De Gaulle, en multipliant les procédés pour vaincre, appelle à la résistance. Il n’est pas question d’accepter l’armistice : « Demain, comme aujourd’hui, je parlerai à la radio de Londres Réfugiés Article anonyme L’Encyclopédie I- Introduction : L’Encyclopédie : A partir du milieu du 18ème siècle, on parle de plus en plus de