Quetzalcoatl

Delphine, "bonne viande bourrée de sang" (p. 48), on dira aussi : "Son sang était très beau. Je dis beau. Parlons en peintre." - les comparaisons et les métaphores visent nettement des référents culturels appropriés : Abraham, les prêtres Aztèques de Quetzalcoatl, aux "couteaux d'obsidienne [qui] s'enfoncent logiquement dans des cœurs choisis"(p. 49). - les arbres, dans une somptueuse description de l'automne, deviennent prêtres-guerriers, bourreaux, pétrisseurs de sang; l'Ouest "saigne sur des rochers

psychologiques IV. Les propriétés du chocolat A. Les bienfaits B. Les méfaits Introduction : La fève de cacao a été découverte par les Aztèques au Moyen-Âge. Une légende raconte que vers le Vème siècle, Quetzalcóatl, le dieu serpent à plume et roi des Aztèques, aurait volé le cacao au fils du soleil pour le donner aux Hommes. Les Aztèques l’utilisaient uniquement en boisson : au départ, seulement mélangée avec de l’eau et des épices, ce qui rendait le nectar

étaient tatoués jusqu'à la taille. Seuls les prêtres étaient entièrement tatoués. Ensuite vient le tour des Aztèques, sacrés et religieux, les tatouages représentent en majeure partie Huitzilopochtli, dieu du soleil et de la guerre ainsi que le dieu Quetzalćoatl, dieu de la végétation et de son renouveau. L’histoire du tatouage en Amérique est peu connue, mise à part dans certaines tribus. Néanmoins c’est là-bas qu’est née la première machine électrique à tatouer. Nous devons cette invention à Samuel

intemporelle, servant pour leur époque et pour la nôtre. Ils ont su résumer intégralement l'Homme et ont ainsi élaboré une doctrine synthétique. Nous rencontrons cette philosophie chez les grands Initiés venus sur terre, comme Krishna, Moïse, Jésus, Quetzalcoatl, Pythagore, Platon, Paracelse... Réellement, comme philosophie, la Gnose est un fonctionnalisme de la Conscience et apparaît sous diverses latitudes et à diverses époques de l’histoire de notre humanité. Ceux qui pensent qu’elle a son origine uniquement

grande quantité d’eau, Tlaloc, dieu de la fertilité et de la pluie, est l’une des divinités les plus importantes, auquel l’on rend un culte au somme de la grande pyramide sacrée de Teotihuacan. Huitzilopochtli, dieu de la guerre et du soleil et Quetzalcóatl, dieu de la résurrection et de la mort, créateur de l’homme, sont également des divinités très importantes chez les aztèques.21 Selon les croyances aztèques, avant que le premier homme ne soit né, tout n’était que mort et noir. Les dieux s’étaient

l’heure actuelle encore utilisée comme colorant). Cette boisson chocolatée était spécialement préparée pour des cérémonies religieuses et toutes sortes de célébrations. Les Aztèques considéraient les fèves de cacao comme un don de leur dieu Quetzalcoatl pour les hommes. Dans la culture Maya et Aztèque, le cacao n’est pas seulement utilisé comme ingrédient coûteux pour le ‘xocoatl’, mais également comme moyen de paiement. C’était cette valeur économique que les conquérants espagnols appréciaient

évoquant tour à tour, la praline, le chicon et les frites. Sans le chocolat, la praline n’aurait jamais vu le jour ! Mais quel est donc ce vil tentateur, compagnon de déprime ou de débauche gourmande ? La légende nous vient du Mexique et raconte que Quetzalcoatl, divinité aztèque mieux connue sous le nom de serpent à plumes, donna le chocolat aux hommes pour accroître leur force physique et psychique tout en leur procurant du plaisir. Lorsque les conquistadors espagnols débarquèrent au Mexique au 16ème

soigner le foie ou les poumons. Aussi, les fèves de cacao furent utilisées comme monnaie : après avoir vaincu les Mayas, les Aztèques leur imposèrent de payer une certaine somme qui fut réglée en fèves de cacao. Selon une légende aztèque, le dieu QUETZALCOATL offrit le cacaoyer à l'humanité. Il était dieu de l’air, de la lumière et de la vie, et était jardinier du paradis des premiers hommes, et dans ce jardin poussaient des cacaoyers. En effet, le nom savant du cacao est « théobroma », ce qui signifie

parleur, ces traits se manifeste dans sa façon d’opérer car il profite de la valeur symbolique des situations et des armes ce qui se révèlent plutôt efficace. Son discours est construit en fonction de l’objectif qu’il cherche à atteindre. Le mythe de Quetzalcóatl est un exemple frappant de l’habileté de Cortés à comprendre le langage de l’autre, évènement qu’il utilise notamment pour entretenir l’idée de « dieu » que Moctezuma s’est fait de lui. Même si les chroniqueurs se trompent ou mentent, leurs œuvres

avoir voulu sauver le genre humain) est si important qu’il est difficile d’en faire le compte. Khrishna aux indes, Indra au Népal et au Tibet, le chinois Tien, l’Egyptien Osiris, le perse Mithra, le Phrygien Attis, les Syriens Tammuz et Adonis Quetzalcóatl au Mexique, etc.. La seule question qui importe vraiment est de savoir quel rôle joue Jésus en tant que Sauveur du monde, et en quoi consiste le caractère unique de sa mission. Quelle est la signification de sa mort pour l’être humain d’aujourd’hui