Races de chevaux

appartiennent à la 2e demi-section. L’objet du chapitre est pour le narrateur de présenter les personnages de l’escouade. « C’est nous » dit-il. Aussi apprend-on à quoi ils ressemblent, quels étaient leurs métiers dans le civil, quels sont leurs âges, leurs races et à quoi ils occupent leur journée et comment ils se sont harnachés pour survivre. Narrateur : on ne sait rien sur lui, il dit « nous » et paraît être membre et témoin de la vie de l’escouade Paradis : charretier dans le civil. Volpatte : prénom

reprendre cette théorie de la guerre comme principe historique de fonctionnement du pouvoir, autour du problème de la race, puisque c’est dans le binarisme des races qu’a été perçue, pour la première fois en Occident, la possibilité d’analyser le pouvoir politique comme guerre. Et j’essaierai de conduire cela jusqu’au moment où lutte des races et lutte des classes deviennent, à la fin du XIXe siècle, les deux grands schémas selon lesquels on [tente] de repérer le phénomène de la guerre et les rapports

pour savoir à qui s’adresse l’auteur. Il s’agit de sa fille Joséphine, décédée à l’âge de six ans, pour qui Kipling a écrit ses Histoires comme ça. La Femme donne au chien un os rôti, au cheval et à la vache de grandes brassées d’herbe. En retour, elle demande : au chien d’aider son homme à la chasse, au cheval de porter les hommes, à la vache de donner son lait. En devenant les serviteurs de l’homme, les animaux sauvages prennent un nouveau nom. Le chien devient le Premier Ami, le che- val, le Premier

Genest (IV, 7) Corneille, Clitandre (III, 3) Corneille, L’Illusion comique (V, 6) ( lecture cursive Le Matin L’aurore, sur le front du jour, Sème l’azur, l’or et l’ivoire, Et le soleil, lassé de boire1, Commence son oblique tour. Ses chevaux, au sortir de l’onde, De flamme et de clarté couverts, La bouche et les naseaux ouverts, Ronflent la lumière du monde. La lune fuit devant nos yeux ; La nuit a retiré ses voiles ; Peu à peu le front des étoiles S’unit à la couleur des cieux

corporelle, le témoignant se découvre dans un autre rôle, il témoigne ce qu'il perçoit lui-même : « Je reste près de la porte, les cuisses à l’air ; elles sont violettes, grenues, elles n’ont plus de forme ; les genoux sont énormes comme ceux des chevaux ». II.2 Etre un homme L'objet de l’écriture concentrationnaire s’appuie sur la dialectique « être un homme ou ne pas être un homme ». Donc, le but de ces témoignages c'est avant tout de pouvoir transmettre par les moyens appropries,

Véritable Saint Genest (IV, 7) Corneille, Clitandre (III, 3) Corneille, L’Illusion comique (V, 6)  lecture cursive Le Matin L’aurore, sur le front du jour, Sème l’azur, l’or et l’ivoire, Et le soleil, lassé de boire1, Commence son oblique tour. Ses chevaux, au sortir de l’onde, De flamme et de clarté couverts, La bouche et les naseaux ouverts, Ronflent la lumière du monde. La lune fuit devant nos yeux ; La nuit a retiré ses voiles ; Peu à peu le front des étoiles S’unit à la couleur des cieux. (…)

colonialIl s’agit bien d’un empire colonial : la population conquise est mise au service de la métropole. On fait disparaître ce que n’intéresse pas les espagnols pour développer les mines d’or et d’argent (avarice européenne) + implantation des chevaux ; grands ranch On ne développe pas le territoire on le pille au nom de la Couronne Instauration de la Quinto Real → taxe de 20 % pour le roi. La colonisation est donc une entreprise privée car 80 % des ressources reviennent aux conquistadors qui prennent

économique, la plus douce mais la plus destructive s’est exercée et continue à s’exercer par le pillage sous toutes ses formes. Toutes ces violences étaient et sont sous-tendues par l’idéologie ravageante et inhumaine de la supériorité de certaines races par rapport aux autres. Ainsi l’appartenance à la race « blanche » octroyait ipso facto des droits sur les autres peuples[6]. Je parle de ces choses au passé, parce que c’est justement du passé. Cependant, cette violence n’a pas pour autant pris

contre le colonisateur, ces littératures s’affirment aujourd’hui à travers un imaginaire ancré dans les réalités insulaires. Bonne réponse: ___oui______ Poids de la question 5 4. Question: Il s’ensuit un mélange de langues, de cultures et de races qui donne naissance aux peuples créoles antillais. Bonne réponse: _____oui____ Poids de la question 5 5. Question: A la Négritude des Petites Antilles répond le négrisme prosaique. Bonne réponse: ____non_____ Poids de la question 5 6

choisi ce livre, c’est pour trois raisons. Tout d’abord, j’ai choisi ce livre car il parle d’un sport et le sport, c’est quelque chose que j’affectionne depuis que je suis tout petit car j’y vois un rassemblement des foules, c’est l’endroit ou les races et les nationalités n’ont plus lieu d’être, la haute-compétition est un démonstration de dépassement de soi, voire des limites de l’être humain. Mais si j’aime le sport, j’y vois aussi sa dégradation via le dopage, les pots de vin et la commercialisation