Radegonde de Poitiers

Aliénor préféra continuer à gouverner le duché d’Aquitaine où elle anima à Poitiers une cour brillante, entourée de poètes et d’artistes. Elle finança une partie de la construction de la cathédrale Saint-Pierre au XII siècles. Aliénor se fera représenter sur l’un des plus anciens vitraux de France avec son époux, ce qui était assez osé à l’époque. Aliénor d’Aquitaine Saint-Hilaire Le Grand : Premier évêque attesté de Poitiers au IVe siècle. Né en 315 dans une famille aisée et cultivée, Hilaire

religieux et véritable centre de pouvoir a) Portrait : des femmes à la forte personnalité, issues de lignage illustre Les reines sont pratiquement toutes issues de lignage illustre et puissant Elles sont généralement soit fille de roi, comme Radegonde de Poitier, fille du roi Berthaire , roi de Thuringe. Chez les anglos saxon Elthrède est la fille du roi Anna, roi des angles de l’est. Elle peuvent aussi être apparenter de près à un roi régnant comme la reine Clothilde qui est la nièce du roi Burgonde

A. L'environnement géographique de l'école. Poitiers est la ville la plus peuplée de la régions Poitou-Charentes, elle compte 91 901 habitants. Elle et connue pour sont architecture et ses monuments. L'école est située dans le centre historique de Poitiers. Ses élevés viennent du centre mais aussi de la périphérie de la ville car il y a très peu d'école privée dans Poitiers et alentours. On peut y accéder en bus régulier, en voiture avec parking payant, ou même à pied. Dans le quartier deux

territorialisation du pouvoir et l’enracinement local des aristocratie, la gaule mérovingienne se distingue en quatre partie = La Tria régna (Austrasie, Neustrie, Bourgogne, + aquitaine) Aristocratie et cénobitisme : la révolte des Nonnes de Sainte-Croix de Poitiers Extrait des 10 livres= histoire des Francs par Grégoire de Tours = Grégoire est favorable au partie opposé aux nonnes, à savoir aux évêques et à l’abbesse lebovère qui désapprouve la révolte contre elle Les moniales en fuite à Tours se placent sous

cultures et des références auxquelles nous, pauvres lecteurs, n'avons eu accès: " Les ouvrages des siècles suivants se clairsemaient dans la bibliothèque de des Esseintes. Le VIème siècle était cependant encore représenté par Fortunat, l'évêque de Poitiers, dont les hymnes et le Vexilla regis, taillés dans la vieille charogne de la langue latine, épicée par les aromates de l'Eglise , le hantaient à certains jours; par Boèce, le vieux Grégoire de Tours et Jornandès ; puis, aux VII et VIII siècle, comme

journalières de cette communauté. Vers la même époque, l'illustre reine de France, sainte Radegonde, retirée à Poitiers, composait des poésies sacrées, dont quelques-unes sont reconnues aujourd'hui très remarquables, elle faisait transcrire et enluminer des livres dans son monastère de Sainte-Croix qui existe encore, et dont une moniale du XIe siècle a peint un curieux manuscrit conservé à la Bibliothèque de la Ville de Poitiers, représentant en miniature la vie de la grande reine-religieuse. Citons encore

servantes’ (ibid.) ; le duc Amalon fait conduire dans son lit une jeune fille de condition libre. […] (id. IX, 37). Le comte Eulalius enlève du monastère de Lyon une jeune fille qu’il épouse ; le comte Leudaste, réfugié dans la basilique Saint-Hilaire à Poitiers ‘fut souvent surpris en état d’adultère sous le saint portique’ (id. V, 50) ; des clercs, des évêques même, comme Salonius et Sagittarius, s’abandonnent au vice ‘avec une fureur insensée’. Et les femmes cèdent, trop complaisamment en général, pour

15-64 ans ans en emploi 15-64 ans 15-64 ans 15-64 ans ans en emploi femmes 15-64 ans Angoulême 171 943 122 556 108 213 71,3 % 62,9 % 86 205 50 636 58,7 % Bressuire Châtellerault Cognac Jonzac-BarbezieuxSt Hilaire La Rochelle Niort Parthenay Poitiers Rochefort Royan Saintes-St Jean d'Angély Thouars-Loudun Toutes ZE Pch 44 155 49 814 50 968 32 891 35 955 37 056 30 374 31 368 33 249 74,5 % 72,2 % 72,7 % 68,8 % 63,0 % 65,2 % 21 524 24 955 25 637 13 724 14 891 15 594 63,8 % 59,7 % 60,8 %

1853 à 1862, Anatole France fait ses études à l’institution Sainte-Marie et au collège Stanislas. Bien qu’il soit un élève peu doué et souffrant d’être pauvre dans un milieu riche, il est remarqué pour ses compositions, dont La Légende de sainte Radegonde qui sera éditée par la librairie France et publiée en revue. Il obtient son baccalauréat en 1864[5]. À partir du début des années 1860, il travaille pour diverses libraires et revues, mais refuse de prendre la suite de son père, qui juge très négativement

Chaussier, Origine apostolique de l'Eglise de Metz. - L'abbé Frugère, Apostolicité de l'Eglise du Velay. - L'abbé Guillaume, Histoire du diocèse de Toul. Etc. 19 De Chergé, Vies des Saints du Poitou. - L'abbé Auber, Vies des Saints de l'Église de Poitiers. - L'abbé Nadal, Histoire hagiologique du diocèse de Valence. - L'abbé Destombes, Vies des Saints des diocèses de Cambrai et d'Arras. - L'abbé 1 2 phie générale 1, et de l'histoire de l'Eglise 2. L'opinion contraire compte encore beaucoup de partisans