Radiométrie

GIF-19263/GIF-63517 Vision numérique Introduction (courte!) à la radiométrie Patrick Hébert Références utiles: Sonka et al: sections 3.4.1, 3.4.4 et 3.4.5 Automne 2008 http://19263.gel.ulaval.ca Objectif #1 Présenter la théorie de base expliquant la formation des images du point de vue radiométrique et menant à l’équation fondamentale de formation des images Milieu de propagation *trucco Objectif #2 Présenter quelques modèles de réflexion Réflexion diffuse Ombre Réflexion

Centre Matisse - 8/36 Daniel DUPONT L’Atlas de Munsell Hue (teinte) Value (clarté ) Chroma (saturation ) Le Système NCS HEI – Centre Matisse - 9/36 Daniel DUPONT Les sciences et les mots de la couleur Ne pas confondre Radiométrie et Photométrie : Radiométrie : concerne les rayonnements à partir de critères énergétiques. Photométrie : concerne les rayonnements à partir de critères visuels. Flux : "débit" de rayonnement dans un angle solide donné. Une source peut rayonner dans toutes

PHOTOMETRIE ET RADIOMETRIE Photométrie traite des rayonnements capables d’éclairer nos yeux. Ce sont de sondes électromagnétiques visibles. I) Flux énergétique Rayonnement : transport d’énergie sous forme de vibrations électromagnétiques comme la lumière visible Flux énergétique Φ: rapport de l’énergie transportée par le rayonnement par unité de temps. Φ=W/t W  en joule et t en seconde. Φ s’exprime en Watt (joule/sec) II) Rayonnement à spectre discontinue et à spectre continue

bâtiment) dans les images disponibles (optique et/ou radar). Ainsi nous caractérisons les objets d'intérêt par des critères géométriques (par exemple parallélisme avec des contours linéaires), radiométriques (comme l'absence de végétation, une radiométrie homogène) et contextuels (présence d'ombre projetée, ...). Des descripteurs sont mis en place an de déterminer dans quelle mesure chaque objet vérie ces critères. Un objet est donc caractérisé par un vecteur contenant les scores de chaque descripteur

zone test pour la variété des thèmes en présence (eau, forêt, zones urbaines, céréaliculture, etc.) et son relief relativement accidenté. La première méthode combine les canaux bruts de radiométrie aux canaux texturaux dérivés de la transformation en ondelettes et la seconde combine toujours les canaux de radiométrie à ceux de la texture dérivés de la matrice de cooccurrence. Les résultats de ce travail montrent d’abord une amélioration significative de 7,2 % du taux global de bonne classification

lumineuse qu’il transporte : cette grandeur porte le nom de flux et est notée Φ. On associe à la grandeur « flux » l’adjectif « énergétique » (symbole Φe) dans le cas où on ne tient pas compte de la nature du détecteur ; c'est le domaine de la radiométrie. Dans le cas où l’on tient compte du rôle particulier de l’œil, on associe au terme « flux » l’adjectif « lumineux (symbole Φv), c'est le domaine de la photométrie visuel. Par analogie avec ce qui se pratique en électricité, où l’on mesure les

mètre (m) radian (rad) mètre (m) RADIOMÉTRIE - PHOTOMÉTRIE Photométrie L’intensité lumineuse : la candela (cd)(m) Le flux lumineux : Φ L’éclairement lumineux : E La luminance lumineuse : L lumen (lm) lux (lx) cd.m-2 7 Radiométrie des détecteurs La sensibilité spectrale : S(λ) Radiométrie des sources Le flux énergique : Φe La luminance énergétique : Le L’éclairement énergétique : Ee La puissance de sources laser : P L’énergie de sources laser : Q Radiométrie des matériaux Le facteur spectral

et qu'on développe finalement un calendrier géologique fiable sur lequel on peut greffer les événements décryptés dans les roches. Les méthodes de datation ont d'abord été relatives (recoupements, discordances, fossiles) avant d'être "absolues" (radiométrie). III-LADELIMITATION DES HEURES La compréhension du temps géologique est essentielle à la compréhension de la géologie. À la fin du 17e siècle, les principes modernes qui sous-tendent le temps géologique étaient déjà définis. Selon le premier

électromagnétiques dans un spectre qui va des infrarouges aux ultraviolets, en passant par la lumière visible. La mesure de cette dernière est l’objet de la photométrie, tandis que la radiométrie considère le spectre complet. La photométrie s’applique aussi à toutes les sources de lumière artificielle, tandis que la radiométrie s’étend aux divers échanges radiatifs, incluant les sources artificielles que supposent, par exemple, les moyens de chauffage dans les bâtiments. Un échange radiatif se produit dès

phase avec l’essor récent des outils géophysiques de mesure des propriétés des sols (résistivimétrie, induction électromagnétique, gamma-radiométrie, sismique réfraction…) embarqués sur des engins motorisés ou aéroportés ou encore des satellites (images à très haute résolution par pixy, imagerie hyperspectrale aéroportée et satellitale, gamma-radiométrie aéroportée). Ainsi, des données quantitatives sur les sols sont désormais disponibles en grande quantité sur des superficies conséquentes