Radiotoxicité

ALERTE RADIOACTIVE SUR LE JAPON : les vents repoussent les masses d’air contaminé vers les zones habitées Ainsi que nous l’indiquions dès samedi, les conditions météorologiques sont désormais très défavorables pour la population japonaise. Les rejets radioactifs de la centrale de FUKUSHIMA DAIICHI sont dirigés vers l’intérieur des terres et non plus vers le Pacifique. · ELEVATION DU NIVEAU DE RAYONNEMENT SUR LA PREFECTURE D’IBARAKI A environ 100 km au sud de FUKUSHIMA DAIICHI, les débits de

très forte radioactivité des produits de fission à durée de vie courte→ interdiction de certaines zones contaminées. • Fuite de matières radioactives : effets similaires, mais étendue généralement beaucoup + faible et l'effet dépendant de la radiotoxicité du produit contaminant, pouvant être très variable. • Autres effets : - accident nucléaire → irradiation massive des personnes exposées, effet instantané. - explosion nucléaire ou accident de criticité : le flux de neutrons → contamination

Les déchets à faible et moyenne activité représentent des volumes beaucoup plus important, mais les problèmes qu'ils posent sont beaucoup plus classiques. Ils doivent être gérés de manière à protéger les populations présentes et futures de la radiotoxicité des substances qu'ils contiennent ; mais cette gestion n'est pas fondamentalement différente de celle de déchets industriels contenant des produits chimiques toxiques, comme par exemple des déchets contaminés au mercure ou au plomb,dont la toxicité

nucléaires du futur, notamment pour tirer au mieux profit des ressources minérales, afin d’assurer une pérennité de la disponibilité de cette source d’énergie et d’assurer une sécurité d’approvisionnement. Les recherches visent également à réduire la radiotoxicité et la quantité des déchets produits. Par ailleurs, le nucléaire engendre et manipule des substances radioactives : il nécessite donc que des mesures soient prises, notamment en vue d’assurer la protection de l’environnement et la sûreté des installations

définies au sein du Forum génération IV : les RNR refroidis au sodium, avec le programme ASTRID, et les RNR refroidis au gaz. 3 critères expliquent ce choix:    consommer tout type d'uranium multirecycler le plutonium réduire la radiotoxicité, la durée de vie et le volume des déchets ultimes La France n’a pas voulu s’investir dans la filière des RNR refroidis au plomb car ces derniers posent des problèmes techniques importants et ne peuvent fonctionner qu’à faibles puissances

radioactives a des effets similaires, mais d'une étendue généralement beaucoup plus faible. D'autre part, l'effet dépend de la radiotoxicité du produit contaminant, qui peut être très variable. Les autres effets spécifiquement nucléaires sont plus localisés: • Un accident nucléaire peut conduire à une irradiation massive des personnes exposées. Contrairement à la radiotoxicité, cet effet est instantané. • En cas d'explosion nucléaire ou d'accident de criticité, le flux de neutrons produit également

doit pas aboutir à un exposition individuelle supérieure à 1mSv. Autre donnée clef : le coefficient de dose de chaque radionucléide. Le césium 137, l’iode 131, le plutonium 239, l’américium 241 ou encore l’uranium 235 n’ont pas tous la même radiotoxicité pour l’organisme humain. Il faut donc calculer des valeurs différentes en fonction de cette toxicité. Actualisation selon les connaissances C’est après l’accident de Tchernobyl que l’OMS , ainsi que l’UE, ont établi ces valeurs limites. Tous

30 ans Type IV T > 30 ans à l’exclusion du carbone 14 (C 14)* T représente la période de décroissance d’un radioélément donné. * C 14 bien que la période de ce radioélément soit élevée, il y a lieu de l’assimiler au type III en raison de sa radiotoxicité modérée et des faibles activités généralement utilisées. Catégorie A : déchets solides combustibles. Catégorie B : déchets solides non combustibles. Catégorie C : déchets mixtes (flacons contenant moins de 20 ml de liquide). Catégorie D : liquides

EXEMPLE DE PISCINE D ’ENTREPOSAGE DE COMBUSTIBLES IRRADIES A LA HAGUE Cours Etienne Vernaz – Le cycle du combustible 44 Le (re)traitement des combustibles usés DEN/VRH Mini GA : Cycle du combustible 45 Les principaux contributeurs à la radiotoxicité 1000000000 Total Pu An mineurs PFs U naturel 100000000 10000000 1000000 100000 10000 1000 100 10 100 1000 10000 100000 1000000 Temps (années) Cours Etienne Vernaz – Le cycle du combustible 46 Le choix français du recyclage où le cycle

massique est de 5 TBq/g, il est donc un peu plus plus irradiant que le Césium-137 (3 TBq/g). Le Strontium étant un émetteur Bêta pur, il est donc moins ionisant que le Césium qui produit également des descendants Gamma ; l’essentiel de sa radiotoxicité se déploiera via des particules très fines qui tomberont sur les sols avant de s’intégrer dans la chaîne végétale puis la chaîne animale, principalement par ingestion. Il intégrera ensuite le corps humain principalement par l’alimentation