Rafale

(20) : Dégâts CRIT MAG +2% par niveau  ­ Ordre de Rafale ​ (10) : Pour chaque niveau, la durée de la compétence 1 augmente de 2  secondes.                Point requis: 20 Points de Connaissance, Folklore niveau 10   ­ Envolée Symphonique ​ (1) : Lors de l’utilisation de la compétence 6, la Vitesse de Déplacement  augmente de 10% supplémentaire, le débuff de Vitesse de Déplacement des adversaires augmente  de 10% supplémentaire.               P ​oint requis: 30 Points de Connaissance,  Ordre de Rafale niveau 5  ­ Duo de Sirène ​

s'apprête à quitter les lieux en hélicoptère, le ministre, pressé par le colonel Martin, donne finalement l'ordre de le « stopper ». Ce sera chose faite quand le colonel Martin transmet à Farges l'ordre de « stopper » Beaumont, qui sera tué d'une rafale de fusil mitrailleur.

seul, on formait déjà un monde. A en écouter mes parents, je devais immédiatement l'oublier mais comment ?Comment oublier cette jeune fille qui était devenue en quelques secondes l'être le plus important au monde. Immobile, sans force après cette rafale de sentiments, je me promettais alors de la retrouver car elle était devenue en un instant ma fontaine de jouvence, mon souffle de vie.

peau, entourée des autres voiles de jeunesse, et de ma boussole indiquant comme tout autre L’Espoir, nous faisions tous cap vers notre horizon. Seule pour la première fois sur mon navire, le vent de la solitude se leva, accompagné de certaines rafales de peur qui poussaient de plus en plus ma voile vers un tout autre chemin régressif. C’est alors que mon navire devint noir, mais ma voile restait blanche. Je voyais les autres mâts disparaître, disparaître jusqu’à ne plus les voir. Puis, face

COEUR de LION Il était si courageux qu'on l'avait appelé Coeur de Lion. Ni le tonnerre, ni la pluie, ni le vent en rafales ne lui faisaient peur. Pas même la nuit et ses ombres inquiétantes et ses bêtes cachées et ses bruits bizarres. Rien ne l'effrayait. Jamais. Aussi était-il devenu le héros de sa communauté. Quand on lui avait donné son surnom, il en avait été très fier, et il se promenait, la tête haute, la moustache arrogante, en répétant sans arrêt et très fort pour qu'on l'entende : —

commandes électrohydrauliques des avions militaires..........................................219 La commande hydromécanique des Airbus A300........................................................220 Les systèmes de manoeuvre train-trappes de l’A320 et du Rafale ..............................223 LES ACTIONS DE PREPARATION AUX PROGRES ................................................................. 224 LES ESSAIS .........................................................................................

(chanson) Ce poème est composé de 8 quatrains , de 34 octosyllabes , il n’y a pas de rimes. Il y a des allitérations : strophe 1 en L (consonne liquide) en rapport avec la course , le glissement ; strophe 4 en K qui signifient les sons produits par les rafales de la mitraillette. Il y a aussi une assonance à la strophe 8 en IN le prisonnier c'est ouvert un autre espace , monde ; il a retrouver une liberté sans fin. Le sujet de ce poème est la vie. Le poète exprime une envie féroce de vivre à travers de

autre personnage a un comportement étrange face à l'amour et à la sexualité : Trouscaillon. Il reconnaît s'être comporté en satyre vis-à-vis de Zazie. Il tombe amoureux de veuve Mouaque (elle aussi d'ailleurs) mais il la tue ensuite froidementd'une rafale de mitraillette. Puis il est attirée par Marceline, lui déclarant passionnément sa flemme avant d'essayer de la violer. C'est un personnage complexe qui a une ambiguité identitaire mais aussi sexuelle.

de Marchiennes à Montsou, dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il níavait la sensation de líimmense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées díavoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucune ombre díarbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude díune jetée, au milieu de líembrun aveuglant des ténèbres. Líhomme était parti

de Marchiennes à Montsou dix kilomètres de pavé coupant tout droit, à travers les champs de betteraves. Devant lui, il ne voyait même pas le sol noir, et il n'avait la sensation de l'immense horizon plat que par les souffles du vent de mars, des rafales larges comme sur une mer, glacées d'avoir balayé des lieues de marais et de terres nues. Aucun ombre d'arbre ne tachait le ciel, le pavé se déroulait avec la rectitude d'une jetée, au milieu de l'embrun aveuglant des ténèbres. L'homme était