Rafiq Hariri

l'invasion de l'Irak par l'armée américaine en 2003, en utilisant le siège de la Syrie au conseil de sécurité de l'ONU en dépit de l'animosité qui existait alors entre les régimes syrien et irakien. Avec l'assassinat du Premier ministre libanais, Rafiq Hariri, et l'hébergement supposé de militants palestiniens en Syrie, il s'attire les foudres de Washington et de Paris. Dans le monde arabe, Bachar el-Assad a repris de bonnes relations avec l'OLP et a essayé d'en établir avec des États arabes conservateurs

l’ancien Premier ministre Rafiq Hariri, opposés au régime syrien affrontent les alaouites, qui soutiennent Bachar al-Assad. Dans la plaine de Bekaa, située dans la partie orientale du Liban, de nombreux bombardements, venus de Syrie, ont été effectués. Les habitants réclament une protection de la part de l’armée et du président Michel Sleiman. Les milices se sont renforcées dans tout le pays et les sunnites du Liban sont plus que jamais, sous la houlette de Saad Hariri, déterminés à combattre le

souveraineté dans l'espace régional. Le contexte des années 2000 est source à la fois d'émancipation par rapport à la présence syrienne et de dangers accrus pour la stabilité politique du pays, après l'assassinat de l'ancien premier ministre Rafic Hariri le 14 février 2005. 1- Mobilisations libanaises et internationales face à l'interventionnisme syrien Dès le début des années 2000, les mobilisation libanaises face à l'interventionnisme syrien ne cessent de se renforcer, tandis qu'un conflit se

pluralismo y las divisiones. Estaba el primer país árabe a permitir las radios privadas, mismo si unas pertenecen a hombres políticos. La voluntad de todas las partes de la población de proceder al secuestro y al juzgamiento de los que mataron a Rafic Hariri también lo muestra. Eso es un desafío para la continuación de la construcción de la estabilidad en el Líbano. Pero lo que es importante decir, es que ahora que en Irak, el país se divide por clivajes religiosos, que en Israel los ciudadanos árabes

14pages 1- Situation de l’article : 1-1- Sujet : En développant l’image de Beyrouth « après-guerre », le procédé de la reconstruction est sous le poids des acteurs politiques et leurs intérêts. L’État est polarisé autour du premier ministre Rafic Hariri, qui, lui aussi, a ses intérêts économiques et politiques. Les négociations doivent obéir à des logiques pour aboutir à une prise de décision. L’article analyse les modes d’action afin de comprendre les logiques qui règlent les conflits et les négociations

2ème partie. Rai n’a pas manqué l’occasion de jeter un doute, au passage, sur le Tribunal spécial pour le Liban (TSL, le tribunal soutenu par l’ONU mis en place pour juger les responsables de l’assassinat en 2005 de l’ancien Premier ministre Rafik Hariri), en disant qu’il le soutenait "à condition qu’il ne soit pas politisé“. Ces remarques ne sont pas des paroles en l’air. Elles ne sont pas non plus un écart de langage. La preuve en est que le Patriarche maronite a réaffirmé ses positions quelques

étudié   Au moment où les yeux du monde étaient rivés sur l’Irak, depuis 2003, une explosion terroriste frappe, le 14 février 2005, vers midi cinquante, un quartier du littoral du centre ville de Beyrouth, capitale de la République Libanaise : Rafic Hariri, chef incontesté des sunnites au Liban, et ex-président du Conseil est assassiné ainsi qu’une vingtaine de ses compagnons. Quatre jours plus tard, le 18 février, un mouvement populaire, baptisé mouvement du « Printemps 2005 », encadre et accélère

ne reconnait pas le retrait israélien total du Liban, à cause d'une parcelle comtroversée, les fermes de Chebaa, et prend ceci comme prétexte pour garder ses armes et poursuivre la résistance. 2005, assassinat de l'ancien premier ministre Rafic Hariri, manifestations massives pour réclamer le retrait des syriens accusés de cet attentant et de toute une série d'autres qui ont suivi. Finalement retrait syrien obtenu, élections "libres" mais avec une loi inique datant du temps du régime syrien. Bref

notamment a joué et joue toujours un rôle important dans la région (Napoléon, mandat français, accueil du général Aoun, crise de 2008, dialogue actuel avec Bachar Al Assad…), mais aussi la société internationale (commission sur l’assasinat de Rafik hariri, Tribunal…) II. ANALYSE d’une ingérence syrienne A. événements -75 guerre civile -76 troupes syriennes au liban.calme au liban gardé -Le 6 juin 1976, les troupes syriennes rentrent au Liban suite à la guerre de 1975. Ils réussissent

que celle du retrait des juifs, Rafiq Al-Hariri occupa une nouvelle fois le poste de Premier Ministre du Liban et se retrouva, lui et sa famille, sur le haut de l’affiche. Il devint alors un symbole sunnite célèbre qui représentait un réel rival pour la vague chiite au Liban. La force du Hezbollah augmenta de plus en plus au point qu’il voulut saisir l’occasion pour établir son Etat chiite avec le soutien de l’Iran et de la Syrie, mais l’étoile de Rafiq Al-Hariri émergea et vint équilibrer les choses