Raisonnement par l'absurde

Rousseau aborde dans les différents paragraphes. D'abord, dans le premier paragraphe (l. 1 à 6), il définit pourquoi la force ne peut être légitimé par le droit. Puis il démontre cette thèse dans le deuxième paragraphe (l. 7 à 14) via un raisonnement par l'absurde : il prouve l'incohérence de l'existence d'un droit du plus fort. Enfin, dans la dernière partie (l. 15 à 22) Rousseau remet en cause la légitimité de ce qui se définit comme puissance et critique ce qui est à l'origine du droit du plus

encore Poésies de Mallarmé, écrit en 1887. L'absurde (1938 - 1960) Les plus grands auteurs de l'Absurde sont Jean-Paul Sartre (1905 - 1980), Albert Camus (1913 - 1960), Eugène Ionesco (1909 - 1994) et Samuel Beckett (190 - 1989). L'absurde est un mouvement qui prend appui sur la notion philosophique de l'existentialisme. Il s'illustre dans plusieurs œuvres mais principalement dans le théâtre. En philosophie aussi bien qu'en littérature, l'absurde est un décalage entre l'attente de l'homme et

forme dans le raisonnement proposé. ETUDE I- Un réquisitoire en forme de plaidoyer 1. Étude de la structure du texte Présentation de la situation de communication : hypothèse = entretient ambiguïté puisque peut exprimer le potentiel et l'irréel. Prévient que texte = hypothèse et plaidoyer = réquisitoire. § suivants : neuf parties : 2 arguments historiques et économiques, 2 arguments d'ordre racial, 2 arguments sur un raisonnement par analogie

origines de l'Absurde: Pourquoi le mouvement est-il appelé ainsi? A/ Le sens commun Le sens premier du mot « absurde » était « inharmonieux » au sens musical, d'où la définition du dictionnaire: en désaccord avec la raison et la bienséance, incongru, irraisonnable, illogique. Dans le langage courant « absurde » peut ne signifier que « ridicule ». B/ Le sens donné par le mouvement Cet définition n'est pas le sens que nous entendons quand nous parlons du théâtre de l'Absurde. Tout d'abord

récurrents. ➢ Mais si le texte est de nature philosophiques, politique ou scientifique, il vaut relevez les thèses, les arguments et les exemples. ➢ L’écrivain peut utiliser un raisonnement particulier : - raisonnement par analogie (métaphore filée + idée défendue) - raisonnement par l’absurde (on commence par montrer que quelque chose est faux pour insister sur le vrai). - Construction du texte : ⇨ construction linéaire (crescendo ; decrescendo) Exemple : 1§ = printemps ;

connecteurs logiques, ils peuvent avoir differentes fonctions. -l'oposition -la succession -la concession -la cause -la consequence il y a differents raisonnement, -le raisonnement déductif ou en syllogisme -le raisonnement inductif ou en sophisme -le raisonnement par analogie le raisonnement concessif -le raisonnement par l'absurde III/ les differents genres de l'argumentation l'argumentation directe la thèse est exprimée explicitement on dit donc ouvertement ce qui est critiqué

Un des exemples les plus courants de ce genre de raisonnement consiste à sauter du fait que : « chaque personne cherche naturellement à préserver sa vie », à la prescription où loi d'après laquelle : « chaque personne doit chercher à préserver sa vie ». On passe ainsi directement de l'observation d'un fait psychologique (dont on peut dire qu'il est « naturel ») à la formulation d'une obligation morale précise. Le raisonnement en question est très séduisant, probablement parce que

l’administration versaillaises, dans tout leur arbitraire et leur injustice, sont également critiquées par L’Ingénu, notamment par le chapitre IX. Le garde que l’Ingénu a rencontré alors qu’il souhaitait s’entretenir avec le roi, par un raisonnement strict tournant vers l’absurde, descend dans la hiérarchie et empile les intermédiaires (il faut parler au premier commis de M. Alexandre, premier commis de Mgr de Louvois représentant Sa Majesté ; on note la récurrence de l’expression « C’est comme si vous parliez

Socrate est mortel). Le syllogisme étant péjorativement un raisonnement purement formel qui ne connaît rien à la réalité. Montesquieu montre donc l'illogisme d'une telle pensée. | | | | II-La critique: Dans "de l'esclavage des Nègres" de Montesquieu, l'ironie réside en une figure de pensée consistant en un enchaînement de propositions contraires à la vérité, ce qui est souligné par la réduction à l'absurde notamment, mais également par le contraste entre les faits et

propositions déjà connues ou vraies, d’un raisonnement. Elle ne consiste pas seulement simplement à montrer la réponse mais à déduire pas à pas les étapes pour établir une vérité. Démontrer n’est pas simplement donner un exemple, ou persuader ou encore intimider, mais c’est donner un argument qui est nécessairement valide et universellement vrai, donc une preuve. Élaborée par Aristote, philosophe grec du IXème siècle, la théorie du syllogisme consiste en un raisonnement déductif basé sur l’enchaînement