Raoul Glaber

INTRODUCTION : Définition des documents : Le premier document est un extrait des Histoires de Raoul Glaber, c'est une chronique. Une chronique est un ensemble de faits historiques rassemblés dans une même œuvre. Les autres documents sont des extraits de conciles qui s'étendent de 989 à 1137. Un concile est une assemblée d'évêques qui statue sur les questions de foi ou de discipline. Raoul Glaber explique la consistance des canons promulgués lors des Conciles. En effet, il l'explique aux lignes

l'abbatiat de Pierre le Vénérable, elle était plus importante que celle du Mont Cassin, en Italie[]. On pouvait y trouver des textes latins (Tite-Live, Ovide, Cicéron), mais aussi des livres de médecine ou de musique. C'est à Cluny que Raoul Glaber (Rodulfus Glaber, c'est-à-dire le Glabre ou le Chauve), né en 985 en Bourgogne et mort après 1047, est un moine chroniqueur de son temps (l'époque de l'an Mil) et l'une des sources les plus importantes dont disposent les historiens sur la France durant

Expériences, mêlant poèmes, dessins et collages. Il présente en 1934 sa première exposition personnelle et réalise en 1936 sa première peinture tachiste. Bryen cosigne le manifeste « dimensionniste » avec Jean Arp, Marcel Duchamp et Francis Picabia. Avec Raoul Ubac, il dépose des « objets dans les endroits les plus inattendus », affiche « des poèmes et images sur les murs ». En 1948, Camille Bryen organise la première exposition de l’« abstraction lyrique » à laquelle participent notamment Hans Hartung

L'adoubement d'un chevalier dans la Chanson de Raoul de Cambrai Le texte qu'il nous est donné de présenter, n'est en fait qu'un extrait de l'œuvre du trouvère (poète) Bertholais de Laon : la Chanson de Raoul de Cambrai. Cette dernière est une chanson de geste, récit versifié (long poème) relatant des épopées légendaires héroïques mettant en scène les exploits guerriers de rois ou de chevaliers remontant aux textes antérieurs. Elle semble, à première vue, avoir été rédigée vers la fin

à la peinture. Il y Suivra les cours de l'académie Julian qu'il quittera au bout de six mois pour travailler seul. C’est à cette époque qu’il côtoiera Suzanne Valadon, Elie Lascaux, Max Jacob et Charles-Albert Cingria. Il rendra également visite à Raoul Dufy dans son atelier et, plus tard, en 1922, il fréquentera celui d’André Masson. En 1924, à la suite de plusieurs voyages à l’étranger Jean Dubuffet doutera des valeurs de la culture et cessera ainsi de peindre. Cet arrêt durera huit ans, c’est

membres : Le premier artiste, reconnu « chef de file » est MATISSE, autour duquel vont se rassembler d’autres artistes : Albert MARQUET, Henri Charles MANGUIN, André DERAIN, Maurice de VLAMINCK, Kees VAN DONGEN et les trois peintres du Havre : Raoul DUFY, Georges ROUAULT et George BRAQUE, qui se tournera plus tard vers le cubisme. Caractéristiques du mouvement : Ce mouvement pictural n’a pas de bases théoriques Ils s’accordent une liberté absolue dans l’expression artistique et se

Nabil SOFIANI Cité Descartes 15 Rue Raoul Follereau 86000 Poitiers Email : nabil.sofiani@gmail.com Tel : 0631878837 Age : 32 Nationalité : Maroc Etudes : 2011-2012 : Master 2 Recherche Informatique & Telecom Parcours Telecom, MultiMedia, Réseaux, Université Poitiers France. 1997-2001 Master 1 – Institut Supérieur de Réseau et Telecom ISERT Casablanca Maroc 1996-1997 : BAC science Mathématique Maroc Projet d’Etudes Mise en œuvre d’une couche physique selon la norme LTE, Novembre 2011-Mars

cette réalité, il est légitime de s‘interroger : la solution juridique peut-elle être le seul moyen de contrôle et de neutralisation du développement de ces opinions nuisibles ? Doit-on légiférer contre la bêtise, le mensonge, la provocation ? D'après Raoul Vaneigem, dans son ouvrage Rien n'est sacré, tout peut se dire , c'est la liberté d'expression qui est le meilleur instrument de lutte contre les opinions dérangeantes. La loi pose des interdits et pourrait « victimiser » les censurés et amplifier

point de non-retour » à cet égard[4]. Toutefois, le passage à une guerre totale et à la systématisation de la torture précède l'année 1957, correspondant, selon la thèse de Raphaëlle Branche, à l’arrivée à la tête de l’état-major d’Alger du général Raoul Salan en décembre 1956. Une loi d'amnistie a été votée le 31 juillet 1968 en confirmation des deux décrets du 22 mars 1962 couvre l'ensemble des crimes commis en Algérie. Cette loi prévoit que « Sont amnistiées de plein droit toutes infractions

l'action contre la guerre que dans le cadre de l'Internationale, et l’assassinat de Jean Jaurès, symbole de la lutte pour la paix (mais considéré comme un lâche et un traître par les nationalistes), le 31 juillet, par un jeune exalté nationaliste Raoul Villain, jette aussi le désarroi parmi les militants socialistes et syndicalistes. La C.G.T. renonce à toute résistance; son ralliement amène les autorités à ne pas appliquer le «carnet B» qui prévoit l'arrestation des dirigeants socialistes et syndicalistes