Raphaël

inexorablement. (figuré) Les personnages sont : Raphaël : Jeune homme ruiné, projette de mettre fin à ses jours, jusqu’au jour ou il découvrit la peau de chagrin. Emile : Ami de Raphaël. Pauline : Personnage secondaire et copine du héros. Feodera : Personnage opposée au héros. Peau de chagrin : Personnification. Rastignac : Personnage auxiliaire et ami de Raphaël. Résumé de l’histoire Le jeune aristocrate Raphaël de Valentin, après avoir perdu son dernier sou au

ses amis, et on apprend l'identité de notre personnage principal : Raphaël de Valentin - La femme sans cœur : Plus tard dans l'histoire, il rencontra Rastignac, qui lui fit découvrir le coté riche de Paris. Rastignac lui présenta la comtesse Foedora ( une femme fascinant tout Paris car elle est belle mais surtout très riche ). Raphaël amoureux de cette femme, tente de la séduire, mais la femme ne lui témoigna rien du tout. Raphaël, dépité par cet échec, mène une vie de débauche. Il se rappela alors

La peau de chagrin Le jeune aristocrate Raphaël de Valentin, après avoir perdu son dernier sou au jeu, a l'intention de se suicider. Il rentre par hasard chez un antiquaire, où un vieil homme lui montre alors « une peau de chagrin »14 ayant le pouvoir d’exaucer tous les vœux de son propriétaire : «  Si tu me possèdes, tu posséderas tout, mais ta vie m'appartiendra ». Le vieillard met en garde le jeune homme : chaque désir exaucé fera diminuer la taille de cette peau, symbole de sa vie  : « Le

intérêts de la grande bourgeoisie. Raphaël de Valentin se verrait bien diriger ce journal. Lors du banquet chez le banquier Taillefer, le vin coule à flot. Saoul par l’alcool, les convives échangent des propos d’une rare incomphréension. Raphaël se fait aborder par un groupe de courtisanes et engage la conversation avec deux d’entre elles. Ces deux courtisanes dénoncent l’asservissement auquel la femme est soumise dans la société . Elles indiquent toutes deux à Raphaël leur volonté de s'imposer dans

nourriture est une façon de s’affirmer socialement pour le banquier qui l’offre. Mais surtout, ce banquet préside au destin tragique de Raphaël. Or, le jeune homme semble déjà en avoir conscience tant le poids de la destinée semble lui peser en cette soirée pourtant gaie. BALZAC “La peau de chagrin” (1831) Roman de 265 pages À Paris, un soir de 1830, le marquis Raphaël de Valentin, «jeune homme» aux «cheveux blonds» bouclés, passe par une maison de jeu, se promène sur les quais de la Seine. Son moral

Commentaire du portrait de raphael Au premier coup d' il les joueurs lurent sur le visage du novice quelque horrible mystère : ses jeunes traits étaient empreints d'une grâce nébuleuse, son regard attestait des efforts trahis, mille espérances trompées ! La morne impassibilité du suicide donnait à son front une pâleur mate et maladive, un sourire amer dessinait de légers plis dans les coins de sa bouche, et sa physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie

peint la société entière : les savants, les marginaux (l'Antiquaire), la haute société (Foedora), la bourgeoisie (Taillefer), le peuple, le milieu intellectuel (lors du festin, beaucoup d'écrivains, artistes, …), l'ancienne aristocratie (le père de Raphaël) et enfin les paysans (en Auvergne), on y trouve une critique générale de la société française et notamment de la politique instable, de la désillusion (le savoir est inutile) dans un cadre presque réaliste. Ainsi La Peau de chagrin (le romantisme

Chagrin en 1831. C'est de ce dernier qu'est extrait le portrait de l'antiquaire. L'extrait étudié débute à "Figurez-vous un petit vieillard" et se termine à "ce cabinet mystérieux". Le roman « La Peau de Chagrin » retrace l'aventure d'un jeune homme, Raphaël de Valentin, qui après avoir perdu tout son argent dans une maison de jeu, se réfugie au petit matin dans un magasin d'antiquité afin d'attendre la nuit où il a prévu de mettre fin à ses jours. C'est dans ce magasin qu'il va rencontrer cet antiquaire

divertir, mais aussi d’en tirer une morale. Il est d’ailleurs probable que les héros illustres de romans soient créés dans le but d’enseigner une morale aux lecteurs. Ils pourraient ainsi devenir des modèles, à suivre ou desquels se détourner. Ainsi, Raphaël de Valentin dans La Peau de chagrin de Balzac, pourrait montrer aux lecteurs qu’il ne faudrait pas être gourmand de pouvoir. Arriver à cette déduction aura d’ailleurs coûté la vie de ce jeune homme. [...] [...] Il semblerait être possible qu’un

responsabilisé par l'auteur avec une anaphore du mot « vous » et du mot « votre » des lignes 23 à 24; « Vous êtes au jeu, vous, votre fortune, votre coiffe, votre canne, et votre manteau. On peut donc dire que le personnage ici décrit est proche de Raphaël de Valentin de par ses caractéristiques morales et appuie à la fois le thème de l'œuvre en incarnant le rôle d'un homme qui se veut destiné à une sombre providence mais aussi le cadre spatio-temporel auquel il est directement lié. Emprunt du courant