Rapport D Activite Middle Office

spectaculaire depuis une vingtaine d’années et c’est à juste titre qu’ils sont omniprésents dans l’actualité générale. L’internationalisation des transactions commerciales et financières s’intensifie et se caractérise par le jeu d’acteurs qui conçoivent leur activité et recherchent de l’efficacité au niveau mondial. Le monde s’est alors brutalement rétréci et le village planétaire est désormais le terrain de jeu des acteurs de la finance mondiale. La globalisation bat son plein et le libéralisme a pris le pas

fréquemment les processus de production et/ou ceux plus administratifs liés à la maintenance industrielle. La priorité est donnée à une analyse détaillée de ces processus, au travers d’une attention toute particulière aux aspects critiques de cette activité : les produits défectueux. halshs-00558237, version 1 - 21 Jan 2011 Les succès enregistrés dans le secteur industriel peuvent s’expliquer de diverses manières. Principalement, les évolutions significatives de l’environnement des entreprises de ce

Préparé par : Mr Boussetta Mohammed Amine Sous la direction de : Mr Abdelmalek Fahmi Sujet Découverte des opérations bancaires Etude des propositions de crédit Organisme d’accueil : Centre d’affaires BMCI EMILE ZOLA RAPPORT DE STAGE DE DECOUVERTE DU MILIEU PROFESSIONNEL Institut National de Statistique et d’Economie Appliquée Remerciements : Je remercie de tout mon cœur tous les gens qui ont apporté leur soutien moral, pédagogique et matériel à ma période de

métiers de back office et de services à la clientèle Henry CHEYNEL En collaboration avec BERNARD COULOMBEAUX Juillet-août 2008 2 Henry CHEYNEL est responsable de l'Observatoire des métiers de la banque. Bernard COULOMBEAUX est ancien DRH d'une grande banque internationale à Paris. 3 SOMMAIRE Pages Introduction ITypologie des métiers/activités de back office et services ABMétiers, activités, opérations, fonctions, emplois Les principaux métiers de back office et services 123CLes

professionnelle, il y a lieu de commencer ce rapport de stage par des remerciements, à ceux qui m’ont beaucoup appris au cours de ce stage, ainsi qu’à ceux qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable. Je tiens donc à remercier sincèrement Marie-Pierre LECHEVREL, mon maître de stage, ainsi que Valérie BRAILLON, Pascal HARGARD et David MARCUZ, qui m’ont formé et accompagné tout au long de mon stage et qui m’ont aidé dans la réalisation de ce rapport. Un grand merci aussi à l’ensemble

255 Lundi 24 mars 2003 Page 1 NOTE D’APPROFONDISSEMENT III.2.2. – Une approche client spécifique III.2.3. – Les spécificités fonctionnelles de la relation client III.3. – L ORGANISATION DE LA BANQUE PRIVEE ’ III.3.1. – Le rôle du Middle Office III.3.2. – La fonction commerciale III.3.3. – Le profil du gérant de patrimoine III.3.4. – La fidélisation du gérant III.3.5. – L ’automatisation cachée IV. – LE CONCEPT DE LA GRC ET LA BANQUE PRIVEE IV.1. – DES BESOINS SIMILAIRES IV.2. – UNE INTERFACE

le système des bonus subsiste sans mise en place de sanctions. Le modèle bancaire actuel est donc remis en cause et c’est pour cette raison qu’il est intéressant de s’interroger sur la performance qu’une banque peut demander à ses agents du front office. Comment le contrôle de gestion peut-il intervenir pour éviter des dérapages ? Finalement, quelles seraient les mesures d’incitation les plus appropriées pour maximiser les profits tout en minimisant les risques ? Quelles performances une banque

actionnaires peuvent perdre une partie du montant initialement investit. En cas de faillite de la société, l'actionnaire peut perdre la totalité de son investissement. L’entreprise doit informer régulièrement ses actionnaires des résultats de son activité. L'actionnaire est rémunéré par des dividendes. Il peut également bénéficier : * d'actions gratuites lorsque la société augmente son capital par incorporation de réserves * d'un droit de souscription prioritaire dans les autres cas d'augmentation

risque de change sont déterminées par le Comité exécutif de chaque enseigne et validées par PPR. Les opérations de couverture sont réalisées par les enseignes dans le cadre de procédures et politiques de gestion du risque de change adaptées à leurs activités. Ces procédures intègrent les règles Groupe définies par PPR : • PPR Finance SNC est la contrepartie unique des opérations de change, sauf contrainte réglementaire ou opérationnelle spécifique. • Toute opération de couverture de change est adossée

sources de profit et de coût. Les produits bancaires sont d'une nature très particulière et ils sont très divers; il est donc beaucoup plus difficile pour une banque de se doter de tels systèmes que pour une entreprise industrielle, souvent à mono-activité". Cet extrait d'un entretien avec Jean-Louis Fort1, secrétaire général de la Commission bancaire, permet de bien cerner le sujet. En faisant part d'une difficulté plus grande pour les banques que pour les autres entreprises, Jean-Louis Fort justifie