Rapport Département Marketing Zara

L’enjeu est détail pour l’entreprise puisque la gestion efficace de la chaîne logistique, de la manutention, de transport peut faire gagner jusqu’à 30% de productivité. I/ Définition de la logistique 1. Les définitions de la logistique a) AMERICAN MARKETING ASSOCIATION (1948) « Mouvement et manutention de marchandises du point de production au point de consommation ou d’utilisation. » b) MAGEE J.F IN INDUSTRIAL LOGISTICS (1968) « Technique de contrôle et de gestion des flux de matières et de produits

Sommaire Première partie Comprendre le marketing 1. 2. Le marketing au xxie siècle Élaborer la stratégie et le plan marketing 3 39 Deuxième partie Analyser le marché 3. 4. Étudier l’environnement et prévoir la demande Réaliser des études de marché 71 113 Troisième partie Établir des relations durables avec les clients 5. 6. 7. 8. Satisfaire et fidéliser le client grâce à la valeur fournie 147 Comprendre le comportement des consommateurs 181 Comprendre

le domaine du Luxe 20 1 - Luxe Exclusif : Le "premier Cercle" 20 2 - Luxe Inclusif 20 1 - 2 Les éléments de base de la création 21 1- 3 Importance de la phase de Création selon le Niveau de Luxe 21 1 - 4 Les contraintes du département création 22 1 - 5 La Marque : source d'aura du produit 23 Chapitre IV Communication et Distribution des Produits de Luxe 24 Chapitre 1 : Panorama du secteur du luxe On ne va pas associer le luxe à la richesse mais plutôt aux groupes :

������������������������������������������������5 Æ LinkedIn : la révolution du recrutement (p. 47) 6 Chapitre 2 analyser la stratégie de l’entreprise ����������������������������������������������������������������������7 Æ Le business model de Zara (p. 81) 8 Chapitre 3 La dynamique concurrentielle ��������������������������������������������������������������������������������������9 Æ Airbus et Boeing : le projet Super Jumbo (p. 108) 10 Æ L’écosystème Apple (p. 124) 11 Æ La stratégie d’Apple

apprentissages : 26 5.Analyse 28 Les attributs liés aux marques 29 Malgré cela, la question du prix s’avèrent être une variable très importante 31 II. Les attributs liés aux marques 33 2.1)Les intentions d’achat : 33 2.2)Implication du répondant par rapport aux vêtements : 36 a)L’attrait des « jeunes » pour les marques : 36 b)La marque un signe à part entière. (Annexe 5) 37 c)La marque : une habitude sociale pour se démarquer? 38 2.3)Les marques : entre plaisir et attitude consumériste 40 2.4)Entre

NOM PRENOM Année 2012-2013 Rapport de stage Vendeuse chez H&M Tuteur IUT : Mme Cartier Tuteur Entreprise : Mr Charrier Julien Rapport de stage Vendeuse chez H&M Remerciements Introduction 3 4 I. A) I) Analyse de l’entreprise H&M Historique d’H&M Emergence d'H&M Les principaux concurrents et la typologie de la clientèle 5 7 8 10 B) C) I. A) II) Ma participation à l'entreprise H&M Le problème à resoudre Les attentes de l’entreprise Ce que l’entreprise m’a apportée

– Le développement de Monoprix à travers son histoire…..p.3-12 a) Histoire de la marque b) Marketing mix Monoprix c) Place de Monoprix son le marché II – La rentabilité de Monoprix à travers ses partenariats et ses différentes stratégies marketing……………………………..p.13-20 a) Les partenariats Monoprix b) La réussite de Monoprix à travers ses différentes stratégies marketing. c) La montée en puissance de Monoprix, à travers la création de ses enseignes. Conclusion…………………………………………………………p

Les modèles de la transformation digitale Université ibn tofail La faculté d’économie et de gestion Master de recherche Stratégies marketing digital Sommaire Listes desfigures 2 Introduction 3 Chapitre 1 : Les modèles de transformation numériques 5 1. Le Modèle d’Usage 5 2. Le Modèle Collaboratif 6 3. Le Modèle Pur Acteur Digital 10 Chapitre 2 : Les modèles d’Entreprises numériques 14 1. Les caractéristiques d’entreprises numériques 14 2. Les différents types de modèles

fait qu’on achète un produit plus qu’un autre ? => logique de l’amélioration du service rendu au client Logique d’amélioration du service rendu au client Normalisation technique et économique de l’organisation Harmonisations des mentalités et des rapports de coopération entre acteurs externes et interne à l’entreprise : cad les classes des concurrences, le fait de pas aller travaillé plus tard pour le concurrent ( ex : coca et après aller chez Pepsi ) Une finalité : pourquoi et comment ? (L’entreprise

toujours dans le classement en 1987. 16 de ces entreprises ont « sous performé » par rapport au marché au cours de cette période, General Electric et Kodak ayant « superformé » par rapport au marché entre 1917 et 1987. Seulement 74 des 500 plus grandes entreprises dans le monde en 1957 (S & P 500) étaient toujours présentes sur la liste 1997. 12 entreprises seulement (soit 2.4%) ont « surperformé » par rapport au marché entre 1957 et 1997. La durée de vie moyenne d’une entreprise figurant au