Rapport Entre Littérature Et Peinture

Exprimer une émotion, défendre la subjectivité des artistes. Côté personnel de la création artistique. * Expressionnisme va valoriser des formes dures, agressives, violentes. * Domaines de prédilection : musique, archi, littérature, peinture Peinture : 2 mvts qui vt naitre de l’expressionnisme (Pas de lien ac le cinéma) * 1. Die Brucke (Le Pont) * Mvt qui nait a Dresde en 1905 (Kirchner, Heckel …) * 2. Der Blaue Reiter (Le cavalier bleu) * Munick, 1911

La peinture au 17ème siècle Deux courants principaux : le baroque, classicisme. Au cours du 17ème siècle, la science se détache peu à peu de la philosophie et de la théologie. Les interrogations liées à la connaissance se transforment. En France, les esprits deviennent plus cartésiens, le rationalisme fait son apparation. Les artistes répondent aux exigences de cette époque par d'avantages clarté. En peinture, le goût des artistes qui ont vécu sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV

influencé par les sentiments, les opinions ou les intérêts; partial. Maupassant : un écrivain du XIXe siècle (1850- 1893) Se situe, dans la lignée du Réalisme, après Flaubert (a travaillé sous son influence). Écrivain français, que l’on situe entre le Réalisme et le fantastique. Demander aux élèves quels sont les trois types de récits que Maupassant a écrits Il a écrit des romans, des nouvelles et des contes. Leur demander des exemples d’œuvres. Les romans Une vie (1883) Bel-Ami (1885)

des Gaspard, Sa dernière blague et|[pic] | |Retour en Afrique pour les plus jeunes, les autres romans pour les adolescents. Miranda s'en va peut être situé comme | | |une passerelle entre les deux corpus, l'écriture à la troisième personne autorisant davantage la mise à distance. Il en | | |est de même pour L'Ogresse en pleurs, le seul album, qui rejoint les contes de dévoration et peut être abordé

d'écriture. La littérature cherche à se renouveler à travers les sentiments suite à l'appauvrissement des autres styles rigides et droits avec un style complètement différent. Ce mouvement veut transgresser les règles classiques. Importance du "moi" et de la sensibilité, des sentiments intimes, des sentiments amoureux. Culte du rêve, désir d'évasion... L'individu est valorisé. « Le classicisme c'est la santé, le romantisme, c'est la maladie. » dit Goethe. En effet, dans la littérature, le mot classique

considère la nature comme principe fondamental, pour lequel rien n’existe en dehors de la nature (Diderot l'utilise comme synonyme de “religion naturelle”). Puis, dans la seconde moitié du XIXe siècle, ces termes commencent à être appliqués à la peinture : Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, “car la nature y est si belle et si claire que l'homme [...] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit”. Mais c'est surtout

considère la nature comme principe fondamental, pour lequel rien n’existe en dehors de la nature (Diderot l'utilise comme synonyme de « religion naturelle »). Puis, dans la seconde moitié du xixe siècle, ces termes commencent à être appliqués à la peinture : Baudelaire (Salon de 1846) oppose les coloristes, peintres du Nord, et les naturalistes, peintres du Midi, « car la nature y est si belle et si claire que l'homme […] ne trouve rien de plus beau à inventer que ce qu'il voit ». Mais c'est surtout

qui permet une diffusion plus importante de la littérature. En effet, alors même que le combat pour la liberté de la presse (consacrée par la loi de juillet 1881) fait rage, de nombreux écrivains, de Chateaubriand à Zola, publient dans les journaux des articles, des critiques, des lettres d’opinion. En 1836, avec La Presse, Émile de Girardin crée le journal moderne, à prix modeste grâce à la publicité et à l’importance de la diffusion. La littérature trouve sa place dans ce journal à travers le roman

classiques. Nos tragédies sont, à ses yeux, artificielles et fausses, contraires à la nature et à la vérité. Les sujets empruntés à la vie des grands, au lieu de l'être à la vie bourgeoise, sont sans intérêt pour nous. L'action est invraisemblable, car la peinture des crimes énormes et des mœurs barbares est hors de saison dans un siècle doux et civilisé. Enfin, le langage est ampoulé et déclamatoire, les costumes ridicules, la décoration absolument effroyable. Le poète dramatique devra donc prendre ses sujets

siècle – càd d’être hors sujet) ; et de le commenter du point de vue de la trilogie proposée : histoire, littérature, histoire littéraire. … et application : Autrement dit l’énoncé vous invitait à penser l’articulation hugolienne de l’histoire et de la littérature, dans la perspective d’une refondation de l’histoire, qui devient de ce fait histoire littéraire (voir ligne 21). Du coup, la littérature répond à une nouvelle définition, dès lors qu’elle devient « le principe » de l’histoire (lignes 22-23)