Rationalité

- et pour ses acolytes – les deux préparations sont d'égale importance pour le succès de la chasse. Nous ne devons jamais oublier que les hommes ont été longtemps magiciens, en même temps qu'ils étaient, un tant soit peu, efficaces. Ce sont la rationalité technique et la « religion » qui, par des voies différentes, ont eu raison de la magie, la reléguant à une pratique marginale et confidentielle. Il n'est pas besoin de voyager si loin. Au coeur de notre Médecine, hyper-technicisée, on peut encore

représenté par un élément bien précis : le feu. Le logos est constamment en changement, comme la flamme vacillante d’un feu. Elle n’est jamais la même. Le logos a en fait plusieurs significations. Pour les grecs, le logos était le discours, la rationalité, l’intelligence. En philosophie, le logos est considéré comme la raison de notre existence, le fondement de notre monde. Héraclite expliquait sa pensée à l’aide du logos. Héraclite soutient que chaque homme à le logos en lui mais l’ignore car celui-ci

rationalisme de l'action pratique, se trouve le capitalisme moderne, c'est-à-dire le système économique apparu en Occident à la fin du Moyen Âge, qui constitue, pour Weber, l'organisation économique la plus puissante et la plus rationnelle (au sens de la rationalité en finalité) dans la production de biens matériels. Toutefois, si le rationalisme économique est la puissance dominante au sein de ce processus de rationalisation, celui-ci affecte l'ensemble des sphères de l'action, à commencer par les actions

humaines d'autre part, sont différentes. Elle est l'un des fondements de l'École autrichienne d'économie. Popper quant à lui soutient à la fois l'unité méthodologique de toutes les sciences, et la spécificité des sciences humaines, ou un "principe de rationalité" est souvent à l'œuvre. Popper a donc défendu l'unicité du modèle scientifique. Dans une controverse fameuse avec Theodor Adorno, il défend même l'idée que la sociologie comme science sociale, peut se soumettre à la falsifiabilité. L'ensemble

« neuromarketing ». Le but du neuromarketeur est de comprendre le comportement des consommateurs afin d’augmenter la consommation citoyenne en ne considérant plus sa capacité de jugement mais sa réceptivité à un stimulus, retirant ainsi le concept de « rationalité » dans les besoins. Le neuromarketing est une façon scientifique très poussée d’étudier le cerveau humain, plus particulièrement le cortex préfrontal. A l’aide de l’imagerie par résonance magnétique (IRM), le neurochercheur va scruter le cerveau

modernes ont avant tout été soucieux d’établir l’intelligibilité de l’histoire. L’histoire n’est pas une suite d’événements et de décisions aussi incompréhensibles qu’imprévisibles. Pour les philosophies idéalistes (Kant, Hegel, Comte), il existe une rationalité profonde qui gouverne le monde et qui en constitue la trame cachée. Pour Hegel, en particulier, les passions des hommes ne sont que les « matériaux » que la raison utilise pour parvenir à son but. Pour les matérialistes (Marx et Engels) l’histoire

Le texte philosophique étudié traite de la mise en parallèle entre la rationalité requise afin de philosopher et l'enseignement philosophique lui même, dans L'enseignement philosophique de D Dreyfus et F Khodoss (publié dans la revue Les Temps Modernes N°235). Dreyfus et Khodoss cherchent a mettre en évidence que l'enseignement philosophique se définit par rapport aux œuvres des philosophes. Ils expriment leur thèse, explique leur point de vue a l'aide d'une phrase destiné a la compréhension du

modernes ont avant tout été soucieux d’établir l’intelligibilité de l’histoire. L’histoire n’est pas une suite d’événements et de décisions aussi incompréhensibles qu’imprévisibles. Pour les philosophies idéalistes (Kant, Hegel, Comte), il existe une rationalité profonde qui gouverne le monde et qui en constitue la trame cachée. Pour Hegel, en particulier, les passions des hommes ne sont que les « matériaux » que la raison utilise pour parvenir à son but. Pour les matérialistes (Marx et Engels) l’histoire

plus globale d’un problème et cherchent une solution globale elle aussi. -Au niveau de la prise de décision, les occidentaux ont une approche structurée, ils s’appuient sur de l’information objective, des études, ils recherchent l’efficacité, la rationalité et le moins possible d’incertitude, ils tendent à minimiser les risques. La partie chinoise est plus disposée à prendre des risques, ils sont très sensible à la notion de circonstances favorables. Ils recherchent plus l’efficience et leurs prises

façon non naturelle qu'en ce qui se laisse expliquer selon les lois de la nature, que ce soit physiquement ou moralement ». On peut résumer cela comme étant la croyance aux miracles. Or le surnaturel, dans ses principes, contredit toutes lois de rationalité puisqu’il contredit la connaissance scientifique et l’exigence morale. Aussi, on comprend que la superstition est le contraire d’une pensée autonome, comme Kant nous le montre « la superstition… souligne de manière remarquable le besoin d’être guidé