Rationnel Et Irrationnel Dans Le Monde Moderne

passions ont le plus souvent semblées s’opposer au projet de la philosophie. D’un point de vue pratique ou morale, elles montrent que l’homme est le plus souvent soumis et dirigé par les choses extérieures, par les objets et évènements ayant lieu dans le monde. Les passions empêchent l’homme de véritablement agir par lui-même. Du point de vue théorique, les passions entravent la mise en oeuvre de la raison, celle-ci étant la source de la vérité. Les passions détournent l’homme de la connaissance vraie. On

Chapitre 1 : le droit naturel et droit divin Section 1 : droit naturel Section 2 : droit divin Chapitre 2 : les principes philosophiques Section 1 : la philosophie CLASSIQUE Section 2 : la philosophie des lumières Partie 2 : les fondements modernes des droits de l’homme Chapitre 1 :l’action de la communauté internationale en matière des droits de l’homme. Section 1 : le processus de la déclaration universelle des droits de l’homme. Section 2 : les pactes et les conventions des droits

renouveler considérablement l’analyse, et notamment de penser l’organisation à partir de la combinaison des rationalités individuelles et collectives. I. RATIONALITE, DOMINATION ET BUREAUCRATIE A. Aux origines de la rationalité et des organisations modernes : Max Weber On ne peut comprendre l’analyse weberienne de la bureaucratie sans connaître la démarche plus générale de l’auteur. Nous effectuerons donc un bref rappel concernant la manière dont Weber conçoit le travail sociologique en général. La

Albert O. Hirschman, Les passions et les intérêts, Paris, PUF, 1980     Le système capitaliste, selon Hirschman, a pu succéder au monde médiéval grâce à la lente habilitation morale d’activités d’enrichissement personnel, jusqu’ici passibles des pires réprobations. La philosophie augustinienne exhortait depuis des siècles l’homme de foi à éviter le triptyque des convoitises pécheresses, le désir de chair, le désir de richesse et le désir de pouvoir (libido dominandi). De tout temps, cette dernière

étudie la mythologie que depuis la période coloniale ; auparavant, on réfute la religion des autres. d'autre part, le concept de "religieux" (attitude religieuse) dépasse le cadre de la religion proprement dite. Par exemple, tu regardes la coupe du monde de foot, la promotion du spectacle est de nature religieuse, les matchs à la télé sont des liturgie (les gens se rassemblent autour de télé dans les troquets, voire dans les bureaux où on leur donne du temps pour cela) avec des grands-prêtes (journalistes)

parfaitement repéré, et d’où l’on avait à tort estimé le mystère à jamais banni» → univers connu où rien ne peut arriver : irruption surnaturelle Todorov : « On voit bien il s’agit d’une illusion des sens, d’un produit de l’imagination, et les lois du monde restent alors ce qu’elles sont, ou bien l’évènement a véritablement lieu, il est partie intégrante de la réalité, mais alors cette réalité est réglée par des lois inconnues de nous» Thèmes et séquences traditionnelles du genre fantastique : Pacte

veut commencer le dur apprentissage d’un management adapté au monde industriel moderne. Les auteurs définissent le coaching comme un accompagnement de la personne à partir de ses besoins professionnels pour le développement de son potentiel et de ses savoir-faire. L’être humain est véritablement complexe et il évolue dans un monde de plus en plus compliqué et incertain mais son potentiel est énorme et sa capacité d’adaptation face à ce monde sans cesse en mouvement ne laisse aucun doute aux auteurs de

qui était le neveu de Durkheim, s'est étendue bien au-delà de la France, ses thèses anticipant bon nombre de travaux, comme ceux de Margaret Mead ou de Ruth Benedict. D'ailleurs, pour Mauss comme pour Durkheim, la pensée des primitifs est bien rationnelle et discriminatoire, opérant découpages et classifications. S'intéressant aux catégories fondamentales de l'esprit humain, il étudiera avec Henri Hubert certains types de représentations religieuses (Mélanges d'histoire des religions, 1909) et en

polarisés, avec un pôle positif et un négatif. Une valeur est le sentiment de ce qui est bien et ce qui est mal, de ce qui est sale ou propre, rationnel ou irrationnel. Ce sont en effet nos valeurs qui nous dictent qu'un comportement est rationnel et souhaitable ou non. Dans ma faculté, mes collègues économistes utilisent des modèles de décision dits « rationnels. » Je leur ai demandé à quel genre de rationalité ils se réfèraient : leur rationalité, la rationalité anglo-américaine, la rationalité africaine 

l’action finalisée que Dieu exerce sur le monde. Or vers 1860, le développement du causalisme rationaliste, notamment le type cartésien, introduit une certaine tension entre la conception classique de Dieu et sa version dite philosophique : soit on considère que la Providence se soucie de chaque individu, qui joue en effet en toute « liberté » son salut (mais alors la conjonction de la grâce divine et du libre arbitre individuel reste un « mystère irrationnel » dont les théologiens débattent âprement