Ravensbrück

nièce du général de Gaulle. Durant la guerre, elle s’engage dans la résistance au sein du réseau « Musée de l’homme » et « Défense de la France ». Arrêtée en 1943, elle est d’abord internée à la prison de Fresnes à Paris, puis elle est déportée à Ravensbrück en février  1944. Là, elle se retrouve aux côtés de Marie-Claude Vaillant-Couturier et de l’ethnologue Germaine Tillion. Le récit de cet épisode, La Traversée de la nuit, paraît 50 ans plus tard. Réponses aux questions 1. Les prisonniers soviétiques

Karl Brandt, responsable de l’extermination des malades mentaux et handicapés du IIIe Reich, et Karl Gebhardt, président de la Croix Rouge allemande, responsable de l’expérimentation médicale sur les prisonniers des camps dont celui, féminin, de Ravensbrück. C’est à la suite de ce procès qu’ont été établis les principes éthiques du protocole de l’expérimentation clinique. On peut se référer pour plus de détails à « Les médecins nazis », Yves Ternon dans Les Cahiers de la Shoah, n° 9, 2007, p. 15-60

titre : Gobineau ou la Vie rêvée. Que pensez-vous qu'il arriva ? François-Régis Bastide écrivit un roman qui avait pour titre La Vie Rêvée. Gobineau double-face. Devenons graves : La Chasse au Caribou, c'est quand même mieux qu'Auschwitz ou que Ravensbrück. Alors, qui s'est trompé ? Qui nous a trompés ? Ah oui ! je parlais d'un exemple plus sérieux : l'Allemagne, et, par raccroc, de cet article de Remy de Gourmont, dans lequel on lisait, dès l'ouverture, qu'il y a en Allemagne, depuis une