Ravine

nous » confondant les vivants et les morts s’inscrit désormais au cœur du récit, et que ce simple changement d’énonciateur dit assez pourquoi tout écrit sur Auschwitz porte au-delà de la littérature. ] Paul Bernard-Nouraud LA LITTÉRATURE DES RAVINS Annie Epelboin, Assia Kovriguina, préface de Catherine Coquio Paris, Robert La!ont, 2013, 288 p. «Pour la Russie stalinienne, Kolyma, c’est la même chose que Dachau ou Auschwitz pour l’Allemagne hitlérienne. Ni l’une ni l’autre ne pourront

bien d’avouer et il demande à Raphaël s’il a confiance en lui. Raphaël est surpris par la question et il fond en larmes. Afin de se prouver qu’il a confiance lui, Raphael décide de braver sa plus grande peur : le vide. Il essaye de traverser un ravin en marchant sur des troncs d’arbres. Raphaël tombe et se blesse (double fracture du bras droit, commotion, ouverture de l’arcade sourcilière). Il est hospitalisé et lorsque ses parents partent manger au restaurant, M. Bonheur lui rend visite dans

et ils sont désormais traités comme des animaux. La vie dans le camp est très dure, beaucoup d’hommes meurent chaque jour de maladie, de faim, de fatigue… Les SS n’hésitent pas à cogner les déportés, par exemple ils font des croche-pieds sur le ravin de la mort pour que les détenus tombent. On les accuse alors de vouloir s’échapper et ils sont exécutés. Ils reçoivent également de nombreux coups, si les détenus sont trop faibles cela peut leur coûter la vie. La nourriture qui leur est donnée est

cinquantaine d'hectares plantées en canne à sucre. Cette distillerie fut contrainte de fermer ses portes au milieu des années 1950. Raphaël Confiant y a passé ses toutes premières années, "dans l'odeur du rhum" comme il l'écrit dans son autobiographie RAVINES DU DEVANT-JOUR (éditions Gallimard). Du côté paternel, on est originaire de la ville c'est-à-dire de Fort-de-France : le grand-père est un Noir et la grand-mère une Chinoise. Cette dernière a dirigé un commerce de demi-gros à la rue Antoine-Siger

Tu devrais me hair, me détester. Me faire souffrir, comme je t'ai fais souffrir, pour me faire comprendre l'empleur des dégât que j'ai commis en toi. Tu devrais me jeter dans un ravin en m'insultant de toute tes forces, parce que tu ne sais pas quoi faire de moi. Tu devrais m'éffacer de ta vie, comme j'ai effacer la gentillesse de la mienne. Tu devrais tout détruire, détruire mon œuvre, notre œuvre, tout ce que j'ai construit avec toi. Oublier, tout oublier. Tu pourrais être heureux, construire ta

lovée dans un cercle.. Magique ?..C'est le mot juste. Quand elle n'osait plus avancer dans le noir. Quand les ombres de la nuit glissaient autour d'elle.. Tu as peur. Tu ignore ce qui t'attend si tu avances. La route est noire. Et s'il y avait un ravin, devant ? Ou un trou ? Mais tu sais comment trouver le sentier. Souviens toi ! Trouver le bon chemin comme dans l'histoire. Souviens toi.. Des cailloux, pas des miettes ! Des cailloux .. Jusqu'a ce que la route devienne lumière ou que la lumière devienne

Sommaire Passerelles piétonnières en acier inoxydable 1. Édition 2005 (Série Bâtiment, volume 7) ISBN 2-87997-099-7 © Euro Inox 2005 Pont à poutres droites, Stockholm, Suède Passerelle hélicoïdale, Londres, Angleterre Passerelle suspendue, ravin de Via Mala, Suisse Pont à arches, York, Angleterre Pont à poutres droites, Chiavari, Italie Pont à arches, Terni, Italie Pont à haubans, Londres, Angleterre Pont à arches, Andresy, France Pont, Bilbao, Espagne Version allemande Version anglaise

campagne éperdue, et toujours plus éprise, Prodigue les senteurs, et dans la tiède brise Envoie au renouveau ses baisers odorants ; Tous ses bouquets, azurs, carmins, pourpres, safrans, Dont l'haleine s'envole en murmurant : Je t'aime ! Sur le ravin, l'étang, le pré, le sillon même, Font des taches partout de toutes les couleurs ; Et, donnant les parfums, elle a gardé les fleurs ; Comme si ses soupirs et ses tendres missives Au mois de mai, qui rit dans les branches lascives, Et tous les

mette avec eux dans la juste balance Un peu de ce terreau d'ordure et de poussière. (...) Que Dieu mette avec eux dans le juste plateau Ce qu'ils ont tant aimé, quelques grammes de terre. Un peu de cette vigne, un peu de ce coteau, Un peu de ce ravin sauvage et solitaire. (...) Que Dieu leur soit clément et que Dieu leur pardonne Pour avoir tant aimé périssable. C'est qu'ils en étaient faits, Cette boue et ce sable, C'est à leur origine et leur pauvre couronne. (...) Charles Péguy

l'identité est une problématique fondamentale pour Césaire, Martiniquais dont les ancêtres ont été vendus comme esclaves et déracinés de leur culture africaine d'origine. « le surplus je l'avais distribué aux rides des chemins à l'acharnement des ravins les forces ne s'épuisent pas si vite quand on n'en est que le dépositaire fragile. Dépositaire : personne à qui on a confié Qui combien aux prix de quels hasards quelque chose, ici la mémoire