Rayon de la mort

l'amour, de la nature et de la mort, Alphonse de Lamartine marque une étape importante dans l' histoire de la poésie française  avec sa musique propre. En effet « La révolution française de la poésie au XIXème siècle peut être datée des  Méditations poétiques  de Lamartine. Admiré par Hugo, Lamartine disait : “La poésie est chant de l'âme”.Lorsque Lamartine écrit ce poème, Le Soir, il vient d'apprendre la mort de sa bien-aimée, Julie Charles

radiothérapie III- Les effets sur le corps IV- Conclusion Introduction a) Historique 1895 –> découvertes des rayons X par le physicien allemand Röntgen. Juillet 1896 -> Première application médicale des rayons X en radiothérapie. Premières applications -> on voit la capacité des rayons à traverser le corps tout en étant plus ou moins freinés selon les tissus traversés. Dans un premier temps les rayons X sont utilisés pour la radioscopie et la radiographie pour les diagnostics médicaux. Dans un deuxième

beau en effet» (L.) « […] les gais rayons du soleil traçaient çà et là la figure lumineuse des croisées […] et de ces losanges éclatants aux fenêtres chaque rayon découpait dans l’air un grand prisme de poussière d’or.» (L.) « […] une jolie petite plante jaune, toute pénétrée d’un rayon de soleil, jouait avec le vent dans une fente de la pierre.» (L.) Nous pouvons, donc comprendre qu’avant de recevoir le verdict, avant de concevoir qu’il est condamné à mort, le personnage principal trouve que

ffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff- ffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff- ffffffffffffffffffffff Introduction       Le poème Mors de Victor Hugo que nous allons étudier est un poème de 20 vers qui nous présente le triomphe absolu de la mort, par la description d'une atmosphère d'apocalypse que les deux derniers vers ne parviennent peut-être pas à dissiper. Le poème s'organise autour d'un double jeu de sensations. D'une part, la sensation visuelle, largement développée dans les dix premiers

Livre de Poche », 1963, pp.223. Emile Claus, Rayon de soleil , 1899, huile sur toile, 80,5 x 116,5 cm, Paris, musée d’Orsay. Dans cette huile sur toile, Emile CLAUS représente une maison de couleur blanche entouré d’arbres, ou un chemin de terre et de feuilles d’automne mortes, peut nous y emmener. L’atmosphère surplombant la toile est chaleureux, familiale, pure et fraiche.

illustrations Interprétation Procédés d’écriture Preuves textuelles Explication de l’illustration Champs lexicaux 1. a) Nature : « chante une rivière » (v. 1) « aux herbes des haillons d’argent » (v. 2) « soleil […] luit » (v. 3-4) « val qui mousse de rayons » (v. 4) « lumière pleut » (v. 8) « montagne fière » (v. 3) Soldat : « jeune » (v. 5) « bouche ouverte » (v. 5) « tête nue » (v. 5) « nuque baignant dans le frais cresson » (v. 6) « étendu » (v. 7) « pâle » (v. 8) « dort » (v. 7) 1. b) Opposition entre

FOUCAULT que lois de la réflexion et de la réfraction modèle corpusculaire de la lumière (dans laquelle la vitesse des particules lumineuses est plus grande dans un milieu transparent que dans l’air) le principe de Fermat définit la trajectoire des rayons lumineux lentilles non sphériques, prisme, miroir parabolique théorie (corpusculaire) des couleurs modèle ondulatoire de la lumière permettant de retrouver les lois de Descartes ; ce modèle fait intervenir un milieu appelé « éther » dans lequel

forces qui s'y exercent. Les rayonnements ainsi émis sont appelés, selon le cas, des rayons α, des rayons β ou des rayons γ. Historique: La radioactivité fut découverte en 1896 par Henri Becquerel (l852-1908) qui a, lors de ses travaux sur la phosphorescence, a découvert que les matières phosphorescentes émettent de la lumière Becquerel supposait que la lueur qui se produit dans les tubes cathodiques exposés aux rayons X pouvait être liée au phénomène de phosphorescence. Son expérience consistait à

| |Nature |haillons » (v.2), « soleil » (v.3), « montagne fière » |     Ce jeune homme apparait très différent de la nature qui | | |(v.3), « petit val » (v.4), « rayons » (v.4) |l'entoure, lui est "pâle" et inactif. | | | |Au contraire de la nature qui est animée, vivace.

n°1 : Le dormeur du val (Arthur Rimbaud) Le dormeur du val C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme