Réalité

s’appuyant sur des expressions du langage courant. Ensuite, on seplongera sur une deuxième partie qui reposera sur l’idée de « foi » et ce que celle-ci représente pour finir par démontrer comment ces deux concepts qui semblent très proches sont en réalité très loinl’un de l’autre. Déjà dans la première phrase, l’auteur remarque qu’on se trouve face à deux types de formes de croire différentes « Il y a croire et croire, et cette différence paraît dans lesmots croyance et foi». Dans une première instance

de successeur, est abstrait (construit) sans être général. Discussion Les problèmes posés par le couple abstrait/concret concernent les rapports entre la pensée et la réalité. Le concret est souvent considéré comme ce qui nous ancre dans la réalité. Plus la pensée est éloignée de la réalité, et, plus particulièrement de la réalité immédiate et familière, plus elle est abstraite. De là une certaine méfiance vis-à-vis de l'abstraction. Les termes qui désignent des choses perceptibles sont dits "

apparences par ce que le sujet perçoit de la réalité, et, de ce point de vue, l’apparence serait un échantillon de la vérité… Se demander s’il faut mépriser l’apparence au profit de la vérité revient finalement à d’une part se demander quel est le mode opératoire précis des apparences, et d’autre part se demander si elles sont effectivement à opposer systématiquement à la vérité, de façon à voir si cela peut nous amener à une certaine perception de la réalité (qui serait finalement le contraire de l’apparence)

| | | |Platon a élaboré une doctrine des idées qui repose sur deux thèses majeures: la dualité de la réalité et l'immortalité de | |l'âme. | |

le fait que je soit aussi respecté par eux. On suit tout un courant sans bien savoir ou on va se retrouver à la fin. Je pense que notre aliénation c’est ce qui consolide notre sens de fraternité, confrérie, quoi. Ce qui nous rapproche c’est notre réalité de vie, on n’a ni de travail ni de prospects de travail. Le concept d’une carrière et indépendance économique ne fait pas partie de nos projets. Tout ce qu’on fait et a appris à faire c’est trainer, fumer ensemble et être constamment poursuivis par

cou. Cou ➜ esprit / âme enfermés (abstrait). Jambes ➜ corps qui les rend prisonners (ils sont donc prisonniers de leur corps). Le corps est une réalité matérielle/concrète. Une réalité perseptible par les 5 sens. L'esprit/l'âme est une réalité immatérielle, abstraite et imperseptible. Matérialisme : courant qui affirme que seules les réalités matérielles existent et que l'immatériel n'exite pas. 1) Les chaînes des jambes.

uvre est un jeu. Prenons l’exemple des enfants. Très souvent, l’enfant n’aime pas ou n’apprécie guère la réalité dans laquelle il vit. Il se créé alors un nouveau monde : le jeu. Dans ce jeu, l’enfant incarne tous ses désirs même ses désirs inconscients. A l’âge adulte, l’homme joue beaucoup moins, c’est évident. Mais ce n’est pas pour autant qu’il a renoncé au plaisir de jouer. Il y a en réalité une forme de substitution du jeu : c’est l’art. Quand un homme regarde un film, il vit pleinement ses désirs

nous sommes confrontés à l’impuissance de s’apercevoir que nous ne sommes pas en réalité éveillé ! Descartes invite donc tout individu à douter de tout cependant une faille persiste dans l’idée Cartésienne celle de l’existence du doute lui-même c'est à dire à la fois l'existence de la pensée et l'existence d'un sujet qui pense . Il n'y a pas de doute que je suis et que je suis ce pouvoir de douter de toute réalité extérieure qui peut sembler évidente, même de mon corps. Au moment du doute , nous

Pablo Picasso. Ce qui différencie e cubisme de l’ancienne peinture, c’est qu’il n’est pas un art d’imitation mais dans un art de conception qui tend à s’élever jusqu’à la création Il ne rend pas compte simplement de la réalité vue mais d’une 3 eme dimension, d’une autre réalité qui se révèle par une décomposition de formes géométriques. Avec cette décomposition il y a plusieurs points de fuites -> démultiplication des points de fuites, on arrive a avoir un espace qui n’est pas figé sur un seul point

regards sur moi : interpelle le lecteur, étrange : il ne sont que trois dans la pièce. Cette prise de conscience fait montre que Garçin tombe dans un folie passagère, il est déconnecté de la réalité. Garçin à l'impression d'être sous le regard jugeant de nombreuses personnes quant il contemple le bronze, mais en réalité il y a seulement les deux femmes avec lui , mais le bronze représente le regard de tous les autres, et il ressent ces regards. Sombre dans la folie car le regard est une souffrance qui