Réanimation cardio-pulmonaire

5.3. Réactions face à une victime d'un traumatisme crânien. 9. L'ABSORPTION DE CORPS ETRANGERS 39 9.1. CHEZ L'ENFANT 9.1.1. Comment pratiquer une désobstruction chez un enfant ? 9.1.2. Comment pratiquer une désobstruction chez un bébé ? 10. LA REANIMATION 41 10.1. CHEZ L'ENFANT (entre 1 an et environ 8 ans) 10.2. CHEZ LE BEBE (moins 1 an) 27 27 27 27 28 29 29 32 32 32 33 33 35 35 35 36 37 37 37 38 39 39 39 41 41 SECOURISME DIRECTRICE DE MAISON D'ENFANTS 24/11/2011 Professeur : LAMBERT Isabelle

Voie Biliaire Principale * -Les personnes à risque * -Facteurs de risque * -Traitement : -médical -chirurgical * Les complications spécifiques de la technique cœlioscopique C-Chapitre 3 : * Protocole anesthésie réanimation : * La préparation préopératoire * Période peropératoire * Période post opératoire 2-Partie pratique : * Etude clinique I. Présentation du terrain d’application II. Présentation du cas clinique 1-) Présentation du patient

rôle de baliser les lieux, de protéger les biens et participent aux constats. ◊ Que dire ? Avant l’appel un bref coup d’œil de quelques secondes est indispensable afin d’évaluer la situation et éventuellement, débuter immédiatement les soins de réanimation. - S’identifier : Il faut d’abord se présenter et communiquer le numéro de téléphone d’appel (afin d’être rappeler si besoin). - Localisation des lieux de l’accident : En Ville : n° rue, Ville, A la campagne : n° route, entre X et Y, à x km de Autoroute

mieux adaptée et la plus confortable pour chacun, en fonction de sa morphologie et de la zone du corps à traiter. L’ostéopathie traite les troubles fonctionnels en recherchant leurs origines. Elle agit sur les systèmes locomoteur, neurologique, cardio-vasculaire, digestif, ORL, céphalique, génito-urinaire, ainsi que sur les séquelles traumatiques. Grâce à sa formation spécifique, l’ostéopathe dispose de différents types de techniques : - les techniques structurelles, à visée articulaire - les

l’infarctus du myocarde. Sa formation est sous la dépendance des facteurs de risque cardio-vasculaire qui sont: - le tabagisme, - l’hypercholestérolémie, - le diabète, - l’hypertension artérielle, - l’hérédité cardiovasculaire familiale, - le stress, la sédentarité, la surcharge pondérale auxquels il faut rajouter des facteurs non modifiables comme l’âge ou le sexe. Se reporter au chapître “ Facteurs de risque cardio-vasculaire et prévention ”. 2. Atteintes coronaires non athéromateuses Toutes

GLOSSAIRE DES SIGLES DU SANITAIRE ET DU SOCIAL SIGLE | ABREVIATION DE | 3.C. | Comité de Coordination en Cancérologie | 4.A.E. | Accueil, Animation, Activités Artistiques et Educatives | A.A.S. | Activités Afférentes aux Soins | A.C.C | Arrêt cardio circulatoire | ACTP | Allocation Compensatrice Tierce Personne | AEMO | Action Educative en Milieu Ouvert | A.E.S. | Allocation d’Education Spéciale | A.G.E.F.I.P.H. | Fond pour l’insertion Professionnelle des Handicapés | A.F.A.Q. | Association

donneur. Prélevés de son vivant : • Essentiellement les Cellules Hématopoïétiques (ou moelle osseuse, donneurs familiaux ou non) • Rein, entre proches du cercle familial • Peau • Fragments osseux • Lobe hépatique et lobe pulmonaire (exceptionnellement) Prélevés après la mort : • Cœur • Foie • Rein • Cœur-poumon • Poumon • Pancréas • Os - cartilage • Cornée (partie transparente du globe oculaire, située devant l'iris - on ne prélève

..................... p. 25 1- Utilisation de la voie intraveineuse............................................... p. 25 2- Les surdoses .................................................................................. p. 26 3- Les complications cardio-vasculaires ........................................... p. 26 4- Les complications neurologiques.................................................. p. 26 5- Les complications materno-fœtales .............................................. p. 26 Chapitre

monde connaît quelqu'un dans son entourage qui a déjà subi une opération chirurgicale. De nos jours, qui dit acte chirurgical dit obligatoirement anesthésie. Des enquêtes réalisées en 1996 et 2000 par la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation et l’INSERM ont mis en évidence qu’environ huit millions d’actes d’anesthésie étaient réalisés chaque année en France. Parmi les patients, plus de la moitié sont considérés comme en bonne santé, mais un tiers a plus de soixante ans. La probabilité

dans le cas de maladies chroniques : · d'insuffisance rénale terminale (greffe de rein) · de diabète insulinodépendant (greffe de pancréas) · d'insuffisance cardiaque réfractaire aux traitements médicamenteux (greffe de cœur) · de maladies pulmonaires graves (greffe de poumon ou poumon-cœur) · de pathologies hépatiques (greffe de foie) · les tissus, notamment pour restaurer une fonction essentielle (cornée, peau, os, tendons, valves cardiaques, vaisseaux sanguins). · les cellules souches,