Réanimation

prise en charge globale des malades hospitalisés. Le constat d’une prise encharge insuffisante de la douleur post-opératoire (DPO) en 1997 a motivé l’élaboration d’une conférence de consensus, organisée par la Société Française d’Anesthésie et Réanimation (SFAR), sous l'égide del’Agence Nationale d’Accréditation et d’Evaluation en Santé (ANAES), publiée le 12 décembre 1997 [1]. Dix ans plus tard, des progrès ont été réalisés, comme le prouve l’audit national réalisé enFrance entre 2004 et 2006, initié

sur la commune de Cayenne. Depuis 2007, le Centre Hospitalier de Cayenne est découpé en Pôles et Fédérations. Le service d’Hémodialyse :  Il fait partie du Pôle Médecine et Spécialités Médicales et se situe au niveau 0, contiguë au service Réanimation. Il est répartit sur 2 niveaux :  Niveau 0, au rez-de-chaussée : accueil des patients, des consultations et du public  Niveau 00, au sous-sol attenant à l’ancienne chapelle du CHAR on trouve le local de traitement de l’eau brute et de la production

distribués régulièrement aux provinces ayant notifié des cas de décès. Ces kits contiennent des médicaments (2 ampoules de dobutamine, 1 ampoule de métoclopramide, 1 ampoule de phloroglucinol et 2 suppositoires de paracétamol 150 mg), du matériel de réanimation (seringues (1 à 50 cc à vis, 2 à 10 cc et 2 à 5 cc), intranules (1 de G20, 1 de G24 et 1 de G22), tubulure de perfusion, robinet à 3 voies et 5 compresses stériles), un dossier d’hospitalisation spécifique qui est rempli et retourné au CAPM pour

par leur fréquence, leur coût, leur gravité. En France le risque de contracter une infection à l’hôpital est en moyenne de 7%, ce chiffre varie en fonction du service dans lequel le malade se trouve. Il peut atteindre 30% dans un service comme la réanimation. [11] La fréquence globale des infections nosocomiales, mesurée par des études internationales, varie entre 5 et 10% des hospitalisés.[12] Après un contact avec un patient colonisé ou infecté ou son environnement, 70% du personnel contaminent leurs

* Les lits médicalisés. A Epinal, cela représente un parc composant environ 2000 appareils répartis selon les différents secteurs d’activité de l’hôpital et impliquant des spécialités diverses. (Bloc opératoire chirurgical, anesthésie réanimation, radiologie, radiothérapie, laboratoires, consultations et hospitalisations diverses et spécialisées.) Il faut aussi ajouter les équipements propres au service biomédical : * D’investigation (multimètres). * De contrôle, de mesure et

prise en charge des hémorragies de la délivrance avec un plateau technique disponible 24h/24. - la prise en charge des nouveau-nés prématurés de plus de 33 semaines et des nouveau-nés à terme présentant une pathologie ne nécessitant pas de soins de réanimation. Ils sont en cours de réflexion sur l’agrandissement de la néonatalogie ainsi que le réaménagement des suites de couches.   En 2014 on dénombre 2800 naissances. Un séjour pour un accouchement par voie basse est d’environ 3 jours, et pour une césarienne

secourisme. Dans tous les cas, un des membres présents de l'équipe pédagogique (enseignant ou intervenant agréé) devra avoir été formé à l'utilisation du matériel de réanimation et de premiers secours. Cette formation devra être actualisée régulièrement, chaque année ou lors de la mise à disposition de nouveaux matériels de réanimation et de premiers secours. 1.6 Utilisation de plans d'eau ouverts L'utilisation de plans d'eau ouverts exige le respect de règles strictes, tant pour la surveillance que

Absence de signe de saignement (FORREST III) Aspect endoscopique et pronostic Aspect Prévalence Récidive Mortalité Saignement en jet Vaisseau visible 25% 35% 11% Caillot adhérent 15% 10% 7% Taches noires 60% <5% 2%  Critères de réanimation  Transfusion de 3 culots globulaires ou plus pour ramener les paramètres CLINIQUES ET BIOLOGIQUES à des valeurs normales  Critères évolutifs  Persistance du saignement par la sonde gastrique  Reprise du saignement après arrêt Terrain

post interventionnelle (SSPI). Pour la prise en charge anesthésique de ces gestes d’endoscopies, il n’existe pas de « petite anesthésie ». Même une sédation, pour un geste court, nécessite l’attention et les compétences d’une équipe d’anesthésie-réanimation. La sédation étant un acte anesthésique, pourquoi est-elle requise dans le cadre de cet examen ? La sédation n’est pas systématique pour les endoscopies. Cependant, certains patients ne tolèrent pas l’acte endoscopique parce qu’il est désagréable

(coloscopie courte et mise en • place d’une sonde en cas de volvulus, stent) Rarement radiologique (lavement pour nourrisson) l’IIA du Nécessité d’une équipe de réanimation médico-chirurgicale. Traitement (2) • Le temps du traitement médical préalable comprend : – Aspiration gastrique +++ ( Aspect – quantité – fonctionnalité) – Réanimation pour obtenir un remplissage correcte (compensation de l’aspiration) – Ce temps est d’autant plus court que la vitalité de l’intestin est menacée Traitement (3)