Récepteur membranaire

Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.fr l li l i@ i t 1f 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d’interactions cellulaires : contact membranaire  interaction entre molécules complémentaires médiateurs solubles (hormones, neurotransmetteurs, médiateurs lipidiques, cytokines, …) Les cytokines : - glycoprotéines de faible poids moléculaire (8 à 70 kDa) produites par de très nombreux types cellulaires - elles permettent

micro-organismes dans un milieu privé d’oxygène Polymérisation : union de plusieurs molécules afin d’en former une plus grosse Récepteur membranaire : Un récepteur membranaire est une protéine qui est située sur la membrane qui entoure chaque cellule de l'organisme, plus précisément cette membrane porte le nom de membrane plasmique. Le rôle des récepteurs membranaires est de recevoir un message. Canaux Ioniques : Chez les cellules animales et végétales, ce sont de petits pores transmembranaires

est une cellule cible ? Cela tient à la deuxième catégorie de molécule présente dans toutes les membranes. Ce sont des produits faisant office de récepteur membranaire. Ils sont tous des protéines mais pas nécessairement des récepteurs membranaires, ainsi, une enzyme n’est pas un récepteur, ce sont des fonctions et rôles différents. Un récepteur membranaire est capable de recevoir un message spécifique. Ex : insuline Les protéines sont formées d’acide aminé. Il y a 20 acides aminés sur Terre et avec

APPROCHE DU MECANISME D’ACTION DES MEDICAMENTS 1 Plan : I- GENERALITES II-MECANISME D’ACTION DE MEDICAMENTS III-FACTEURS DE VARIATION DE L’ACTIVITE D’UN MEDICAMENT IV - RECEPTEURS DES MEDICAMENTS V – CONDITIONS NECESSAIRES POUR UNE INTERACTIONS MEDICAMENT-RECEPTEUR VI- QUANTIFICATION DES INTERACTIONS MEDICAMENTRECEPTEUR VII- EFFETS DU MEDICAMENT VIII- CONSEQUENCES CLINIQUES XI- CONCLUSION 2 I- GENERALITES  La compréhension des mécanismes d'action des médicaments va bien au-delà de l'amélioration

protéines étrangères > cell. gréffées… Reconnaissance protéines antigéniques -> grâce récepteurs membranaires = récepteurs T des LTc > 2 chaînes polypeptidiques & site reconnaissance antigène -> spécifiques protéine antigénique => antigène donné comme les AC. ¤ Les LTc détruisent leurs cellules cibles : LTc -> destruct° cellules cibles => contact étroit. LTc reconnaissent cell. cibles -> fixation avec récepteurs T -> libération perforine > insert° membrane cell. cibles + format° canal => éclatement

entre ces deux cellules s’opèrera lorsque ces deux séquences complémentaires entreront en contact. Néanmoins, il peut également s’élaborer grâce a ce type de mécanisme une communication entre cellule et matrice extracellulaire, les protéines membranaires impliqué dans ce type d’interactions sont de la famille des SAM (Substrate Adhésion Molécule = molécules d’adhérence au substrat) qui appartiennent à la famille des intégrines. C) Communication via substances diffusibles Dans ce mode de communication

membrane donc récepteurs membranaires ✓ liposolubles : peut traverser la membrane mais pas le cytosol donc récepteur intracellulaire ✓ gazeux : diffusion à courte distance = pas de récepteur Pour hydrosoluble et liposoluble, les ligands sont soit agonistes (= même effet sur le récepteur que le ligand naturel) soit antagoniste (= blocage de l’effet du ligand naturel sur le récepteur). III/ Les signaux hydrosolubles et leurs récepteurs membranaires ▪ Les récepteurs membranaires

précis. Ainsi, avant toute infection par le VIH, il existe des lymphocytes B anti-GP120, des lymphocytes anti-GP41, etc. Diversité et spécificité des lymphocytes B : [pic] Chaque lymphocyte possède des récepteurs membranaires tous identiques. Ces récepteurs sont des anticorps membranaires. Ils ne diffèrent des anticorps solubles que parce qu’ils sont enchâssés dans la membrane du lymphocyte et donc non sécrétés. Ainsi, un lymphocyte B anti-GP41 possède environ 10 000 molécules d’anticorps identiques

montrent des valeurs normales chez le garçon à utérus. Les deux hormones dosées interviennent dans la différenciation du phénotype masculin. => L'étude comparée des deux autoradiographies révèle une absence de fixation de l'AMH sur les récepteurs membranaires à l'AMH codés par le gène du garçon à utérus. Première hypothèse : L'anomalie a pour origine un caryotype anormal. Cette hypothèse est rejetée par le premier point du document. Deuxième hypothèse : L'anomalie a pour origine un défaut de

Caractériser le rôle du récepteur de Prolactine dans la croissance, la différentiation et la carcinogénèse des cellules épithéliales de mammifères Louge R. Université McGill, Hôpital Royal Victoria, Département de médicine, Division Hématologie, 687 avenue des Pins Ouest, H3A1A1 Montréal, Québec, Canada The Prolactin Hormone (PRL) is a hormone that is known to play carcinogenic role in breast cancer but also acts as an invasion suppressor hormone. Therefore, its role remains controversial