Recherche, assistance, intervention, dissuasion

moyens, c'est le RAID qui prend le relais. Il possède 10 zones de compétence en France métropolitaine, à La Réunion, en Nouvelle-Calédonie et dans la zone Antilles-Guyane. RAID : Recherche assistance intervention dissuasion Qui sont-ils ? Le RAID acronyme de Recherche, assistance, intervention, dissuasion est une unité d'élite de la police nationale française. Basée à Bièvres, elle est composée d’environ 170 personnes (essentiellement des policiers, mais aussi des médecins et un psychologue)

INSTITUTION REPUBLICAINE 1 : D.G.P.N A : Services rattachés à la D.G.P.N R.A.I.D : Recherche Assistance Intervention Dissuasion →Participent sur l’ensemble du territoire à la lutte contre toutes les formes de terrorisme et du grand banditisme. S.H.P.N : Service Historique de la Police Nationale →Animent et coordonnent l’ensemble de la politique historique de la PN et notamment les travaux de recherche et conservation du patrimoine S.I.C.O.P : Service Information Communication de la PN →gère

Criminalité plus connue sous l’acronyme BAC. La première BAC locale a été créé en 1971 dans le département du Val-de-Marne et de Seine-Saint-Denis. Elle s’étend au niveau national en 1996 (en 1994 pour la BAC de nuit). -Le RAID (Recherche Assistance Intervention Dissuasion) est le groupe d’élite de la police nationale. En 1985, durant une période de menace terroriste, la police nationale décide de se doter d’un corps d’élite et décide de créer le RAID. Il est composé de plus de 160 membres. Le RAID

porter assistance sur ou hors du territoire national. Ce volet restera une des actions essentielles de l'armée de Terre. L'armée de Terre s'engage au quotidien sur tous les fronts : sur le territoire national : l'armée de Terre est l'acteur majeur de la sécurité des Français. au cœur de l'Europe : elle contribue à développer l'Europe de la Défense. partout dans le monde : l'armée de Terre sait agir sans préavis avec une force adaptée. avec les autres armées : synergie des interventions, coopération

institutions internationales B) Une politique des droits de l’homme ? C) Des interventions militaires I) Une ambition de puissance A) L’indépendance nationale : un principe Le général De Gaulle entend mener une politique étrangère propre à la France, afin d'affirmer la grandeur du pays dans le monde : l'instrument privilégié, outre la diplomatie, est la dissuasion avec l'arme nucléaire (obtenue grâce aux recherches menées sous la IVe République). . La première bombe atomique française explose

 en Méditerranée, dans l’Océan Indien, et autour des  DROM­COM ­ ZEE (zone économique exclusive).              2) Interventions sur le territoire national  La Marine Nationale a pris part aux opérations lors des intempéries dans le Var, ​ plus particulièrement dans  le secteur de La Londe­les­Maures.   Un hélicoptère Dauphin de la base d’aéronautique navale d’Hyères a été dépêché pour porter assistance à  des personnes bloquées par la montée des eaux. L’appareil a permis de renforcer le dispositif aérien 

officielle de création du GIGN. Un mois plus tard, il est décidé de créer deux Groupes d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) Le GIGN est composé de quatre forces opérationnelles : -La Force Intervention (ancien GIGN), -La Force Observation Recherche (ancien groupe d'observation-recherche de l'EPIGN), -La Force Sécurité Protection (qui regroupe les membres de la section de sécurité et protection de l'EPIGN et du personnel du détachement gendarmerie du GSPR) ; -Et la Force Appui Opérationnel

3) Une volonté d’indépendance o La France intègre le camp occidental mais manifeste sa volonté de sauvegarder son indépendance o Dès 1944, de Gaulle se rend à Moscou et signe accord (alliance défensive et assistance économique mutuelle) o Tension avec les U.S.A. sur l’Allemagne. La France obtient des compensations financières et refuse création d’un Etat centralisé en échange de la fusion des zones occidentales en 1948. o La crise de

La notion de guerre juste* Introduction Les interventions au Vietnam, au Kosovo, à Panama, en côte d'Ivoire, en Afghanistan ou en Irak en 1991 étaient-elles justifiées ou plus exactement étaient-elles "justes ?" Si la guerre annoncée contre l'Irak est juste, comment doit-elle être menée ? Quelle différence existe-t-il entre la guerre annoncée contre le gouvernement irakien et celle contre les combattants islamistes ? En quoi les incursions israéliennes dans les territoires occupés

l'homme. "Si les violations des droits fondamentaux de l'homme sont criantes .. une telle intervention dans la défense de droits de l'homme serait acceptable" écrit J. Rawls qui suit cette doctrine traditionnelle. Les quelques Français en faveur de l'intervention militaire Américaine soutiennent ce point de vue (voir Alain Madelin, Bernard Kouchner ou André Gluskman) . Mais accepter le principe d'une intervention humanitaire pour restaurer les droits fondamentaux de l'homme n'est pas sans défauts.