Recours Cambiaire

Les commissions d'intervention en cas de découvert bancaire : une action d'UFC pays basque FRAIS BANCAIRES : LES COMMISSIONS D’INTERVENTION Par Jean Furgerot vice président de l’UFC Que Choisir du Pays basque le 23/12/2010 Les banques consentent des découverts autorisés à leurs clients mais leurs montants sont généralement insuffisants eu égard aux besoins et souvent l’autorisation est dépassée ou elles tolèrent que le compte devienne débiteur en l’absence d’autorisation. Ces dépassements sont

Arrêt de cassation 4 avril 2006 Chambre commerciale Publié au bulletin L’arrêt de cassation rendu en chambre commerciale, financière et économique, publié au bulletin le 4 avril 2006, au visa de l’article 144-7 du Code de commerce est un arrêt de principe touchant à la portée d’une loi suite à sa transposition dans un code. L’attendu de principe sur lequel s’appuie la Cour de cassation précise que « l’abrogation d’une loi à la suite de sa codification à droit constant ne modifie ni la teneur

Une distinction ambiguë entre contrat de vente et contrat d’entreprise. A. La difficile qualification du lien de sous-traitance entre les deux sociétés parties au procès. La sous-traitance, c’est une opération par laquelle un entrepreneur recours à un tiers ; le sous-traitant, pour réaliser sur ses ordres un travail spécifique. Il ne peut y avoir lien de sous-traitance que dans un contrat d’entreprise, lequel est appelé « contrat de louage d’ouvrage » dans les articles 1779 à 1799 du Code

Cour de cassation, 1ère chambre civile, 20 mars 1989 Art 389-6 : Dans l'administration légale sous contrôle judiciaire, l'administrateur doit se pourvoir d'une autorisation du juge des tutelles pour accomplir les actes qu'un tuteur ne pourrait faire qu'avec une autorisation. Art 389-7 : Les règles de la tutelle sont, pour le surplus, applicables à l'administration légale, avec les modalités résultant de ce que celle-ci ne comporte ni conseil de famille ni subrogé tuteur, et sans préjudicier

Sur le moyen unique : Vu l'article 517 du Code civil ; Attendu que les biens sont immeubles, ou par leur nature, ou par leur destination, ou par l'objet auquel ils s'appliquent ; Attendu, selon l'arrêt attaqué (Nîmes, 8 juin 1989), que les époux X... ont conclu avec la société Union pour le financement des équipements techniques et thermiques (UFITH) un contrat de location-vente leur accordant un prêt pour le financement de la construction de trois vérandas sur leur immeuble, moyennant une redevance

But du commentaire d’arrêt : Le but du commentaire d’arrêt est de découvrir le sens de la décision, d’en indiquer la valeur et d’en préciser la portée. Travail préparatoire : 1.- Etablir le plus soigneusement possible la fiche de l'arrêt a.- Faits (tous les faits, rien que les faits) b.- Procédure (le chemin suivi par l’affaire dans la hiérarchie des juridictions. On n’aborde pas ici les solutions ni le raisonnement) c.- Thèse du demandeur à l’action -Ce qu’il demande concrètement -Les

Informations - Une seule réponse est bonne par question - Bonne réponse = 2 pts ; mauvaise réponse = -1 pt ; pas de réponse = 0 pt. - Utilisez un stylo laissant une marque épaisse et foncée - Ne pas utiliser d'effaceur - Le questionnaire doit être rendu à la fin de l’épreuve avec la fiche de réponses - Prendre sa carte d’étudiant - Savoir son numéro de groupe de TD de Droit civil - Durée de l’épreuve : 1 heure - Aucun document autorisé ----------------------------- Conseils -

Fiche d'arrêt : Cour de cassation, Assemblée plénière, 1er décembre 1995 (Bulletin assemblée plénière n 9, 1995) : arrêt Alcatel Bretagne. Thème : la détermination unilatérale du prix et l’exécution de bonne foi du contrat. Un hôtel a pris à bail à la société Alcatel une installation téléphonique pour une durée déterminée. Par la suite, l’hôtel a cédé son fonds de commerce et le cessionnaire n’a pas voulu continuer le bail conclu. La société Alcatel a alors assigné l’hôtel en paiement du montant

Commentaire d'arret : civ.1ere 30octobre 2008 Par un arrêt du 30 octobre 2008, la cour de cassation s'est exprimée sur la disparition de la cause lors d'un engagement à exécution successive dans une convention entrainant dés lors sa caducité.En l'espèce, M. Y s'est reconnu débiteur d'une reconnaissance de dette d'une somme de 360 000 francs payable mensuellement a Mme.X, et ce à partir du 1er décembre 1972. Celle-ci etait destinée au paiement d'une pension alimentaire destinée à assurer l'éducation

Cas pratique n°1 : Mr PALESOU décide de mettre le feu à son logement afin de toucher une indemnité d’assurance. Durant l’intervention des pompiers, il leurs déclare, ainsi qu’aux voisins présents, que cet incendie est accidentel. Toutefois, le lendemain, il apprend que sa compagnie d’assurance vient de déposer bilan et refuse donc de s’adresser à cette dernière. Pour avoir provoqué un incendie volontairement afin de toucher une indemnité d’assurance, Mr PALESOU peut-il être poursuivi de tentative