Red Bull Différenciation

valeur de 5.4 milliards de $ Marché en valeur de 10 milliards de $ selon Golden Sachs (banque américaine) Le concept de base des boissons énergisantes, « stimulation du corps et de l’esprit » est originaire du Japon. Contrairement à la France, où Red Bull n’a eu son droit d’accès qu’en 2008, après avoir été longtemps mis à l’écart en raison d’«effets neuro-comportementaux indésirables», de nombreux autres pays consomment des boissons énergisantes depuis plusieurs années. Bien que le marché des

boissons énergisantes (Red bull, Dark dog…) ; thés glacés (Ice tea, Oasis...). Le marché des boissons énergisantes est une menace réelle car en forte progression (+151% en volume ce qui représente 244,6% d’augmentation en valeur). Concurrence sur le marché du soft-drinks | Directe | Indirecte | Coca-ColaPepsiCola alternatif régionaux (Bougnat Cola, Auvergnat Cola, Breizh Cola, Corsica Cola…)Cola de marque de distributeur … | OasisSchweppesOranginaLipton Ice teaFantaRed Bull… | II/ Parts de marché

ne réussit pas aux industriels européens. Pourtant, imposer une nouvelle boisson aux propriétés innovantes est possible, comme l'a prouvé Red Bull, introduit en France en 2008. Comme Nesfluid, c'est une boisson fonctionnelle. Les deux possèdent des ingrédients actifs, caféine et taurine pour Red Bull, eau de coco et nutriments pour Nesfluid. Mais Red Bull s'est appuyée sur des experts en sports d'endurance, son territoire de marque, contrairement à Nestlé. « Cette expertise est probablement ce

directeurs marketing, des directeurs de l’expérience client comme c’est le cas chez Novotel. Penchons-nous sur le marché des boissons énergisantes au Sénégal qui, aujourd’hui, est constitué des marques tel que XXL, CINTRON, PANTHERE, BLACK POWER et RED BULL. Il est aisé de comprendre que la concurrence est de taille et que la pénétration du marché par Bizz’up sera rude. Cependant, pour mieux faire face à cette dernière, l’exploitation de nouvelles approches de marketing reste la meilleure option pour

France. | | | |Entrée sur le marché français du leader mondial : Red Bull a accédé | |Facteurs d’achat : le premier critère est l’aspect « énergie » de la|au marché français grâce au remplacement de la taurine par | |boisson, ensuite viennent le goût et le prix. |l’arginine dans sa boisson

de la marque Direct Adaptiv Steering System (DAS System) Technologie de direction prime, accredité de Popular Science – le plus grand magazine de science et de technologie au monde Image de marque Site web très professional Partenariat avec Red-Bull Racing Team ( Formule 1 ) http://europe.autonews.com/article/20131021/ANE/131019932/infiniti-steps-up-europe-challenge-with-new-product-head#axzz2qxB7Kerj Opportunités (externes) Vente des voitures de luxe n’est pas affecté par la crise économique

3 produits :Moufid Jiby de DANONE et Ghani de JAOUADA et SOJASUN boisson au soja chocolat et céréales. Boissons énergisants : Burn, Power Horse, Red Bull et XL Energy. L’un de ces quatre noms vous a peut-être déjà aidé à vous maintenir éveillé. Ce ne sont autres que des boissons énergisantes vendues sur le marché local. Red Bull, produit en Autriche, est la première marque à avoir été autorisée en 2000. En 2006 et 2007 débarquaient Burn de Coca-Cola et XL Energy, fabriqué en Pologne

Causes! •" La crise asiatique de 1990 freine son développement dans les pays émergents. ! •" Les marchés considérés comme matures ( USA, Europe de l’Ouest) la consommation baisse. ! •" Johnnie Walker est attaqué sur l’ensemble de sa gamme. ! •" Red Label, son scotch standard est bousculé par Ballantine’s, Dewar’s et The famous Grouse. ! •" Black Label, plus « premium», affronte un chivas conquérant.! •" Le public de Whisky a vieilli.! •" L’image de virilité et de modernité qui lui est associé

leurs marques sur des marchés relativement saturés. Beaucoup d’entre elles aujourd’hui, succombent aux attraits d’approches de communication dites de « marketing alternatif » ou de « marketing non conventionnel » censées leur apporter cette différenciation et ce, à un coût inférieur à celui des démarches de communication considérées comme conventionnelles. Notons tout de suite que ces approches mobilisent de manière abusive le vocable marketing car elles ne prennent en charge que la seule variable

Depuis quelques années, l’entreprise se rend compte que d’après les études de marchés effectuées, il y a un décalage entre l’image que l’entreprise veut véhiculer et celle perçue par les clients. En effet, les clients n’arrivent pas à faire une différenciation entre les produits et le service qu’offrent les indépendants et ceux de Starbucks. D’après une enquête faite par Starbucks, en 2000, 53% des personnes interviewés pensent que Starbucks s’intéresse plus à faire du profit, ce pourcentage est passé