Refoulement

l’inconscient, selon lui l’inconscient sera lieux de refoulement des pulsions, souvenirs, désir (sexe), honte, angoisse… inacceptable moralement ou socialement. Ex : « Que signifie mon rêves ? Que je souhaite inconsciemment rater mon exam ?  Donc avec rêves /actes manqués /maladie mentale permette un accès indirect à l’inconscient On ne peut pas connaitre l’inconscient II)   Partie de l’esprit ou sont stocké les refoulements (sous sol de notre vie → heurte à la conscience),

d’ordonnance. Le travail de rêve est le même processus psychique que les symptômes hystériques, angoisse, obsession, démence… Seul le remaniement en vue d’une représentation sensorielle est propre au travail du rêve. Freud parle alors de l’état de refoulement : ce sont les pensées dont on refuse de prendre conscience. Si le rêve est obscur, c’est pour ne pas prendre conscience de ces idées refoulées. Ainsi s’explique le travail de déformation qui est pour le rêve un véritable déguisement. Il émet la

de débauche ( de même dans le mot français libidineux) et implique, par conséquent, un jugement moral négatif. Cette force se manifeste le plus souvent par l’instinct génésique, l’instinct de reproduction. On peut soit la refouler, mais de ce refoulement naissent les névroses, soit la sublimer : pourtant ce terme est lui aussi malencontreux, puisque dans la sublimation, il semble y avoir une tricherie et que, de plus, les idéaux de l’humanité, l’art en particulier, ne seraient en somme que des compensation

d’une réalité sociale. Il apparaît seulement lorsqu’il y a eu un refoulement du complexe d’Œdipe, où l’enfant adopte les règles, la morale, l’idéal de ses parents, éducateurs par des symboles de punitions et de récompenses. Plus tard, l’enfant devenu adulte gardera le souvenir dans son inconscient. Les désirs apparurent lors de l’enfance et qu’ils n’ont pas été satisfaits à cause qu’ils sont vus comme immoraux provoquera le refoulement des pulsions. Comme le Ça et le Surmoi est constamment en conflit

La conscience semble être la caractéristique humaine A. Conscience morale B. Conscience cognitive PARTIE 2. Mais si tel est le cas, comment expliquer qu’il n’ait pas accès à tout ce qui se passe en lui ? FREUD, Inconscient : lieu de refoulement de certains désirs liés à l’animalité PARTIE 3. Est-ce donc le désir qui caractérise l’homme ? A. Le désir B. L’objectif du désir : le bonheur INTRODUCTION L’homme semble se différencier très nettement des autres êtres vivants.

proprement inconscient, il est constitué par l’ensemble des productions psychiques qui sont elles issus de nos pulsions et ne peuvent jamais parvenir à la conscience car elles se heurtent à des impératifs moraux et sociaux. Elles sont donc l’objet d’un refoulement. Cette instance du « ça » est une instance dynamique cherchant toujours à se satisfaire, elle obéit aux principes du désir. Le « moi » est la partie du psychisme tourné vers le monde extérieur capable d’adaptation et d’apprentissage. Le « moi »

d’une prise en charge directe de celui-ci. Mais leur descriptions et analyses respectives tiennent compte de leur conception : • Freud : la névrose est un mode de solution à la question de la castration par fixation à un scénario œdipien, avec refoulement des désirs sexuels et agressifs envers les parents. Son origine est sexuelle, infantile, inconsciente, liée à un conflit intérieur auquel elle apporte une solution semblant répondre à la loi économique du principe déplaisir. • Janet : les névroses

spécialité en psychologie de celui-ci est un psychologue clinicien. Il utilise ses connaissances pour aider, diagnostiquer et axer la thérapie. Il semble orienter sa thérapie sous forme de consultation individuelle pour traiter le problème de refoulement émotif. Certains font aussi de la recherche. Nous considérons que cette spécialité s’avère la plus appropriée puisqu’il s’agit d’une problématique individuelle et personnelle d’un adulte en difficulté. Dans un deuxième temps, l’école de penser

(parce qu’il apporte des souffrances inacceptables), il est chassé de la conscience mais il subsiste en tant que désir refoulé à l’intérieur du système inconscient. Il existe donc un inconscient qui provient du refoulement, mais l’inconscient recouvre une notion plus large que le seul refoulement. Selon Freud, l’inconscient existerait à l’origine, de manière innée, dès la naissance du sujet : c’est cet inconscient qui attirait à lui les événements refoulés, c’est-à-dire certains événements de la vie

contient aussi des idées et des désirs refoulés (empêchées de "remonter" vers la conscience par la force du refoulement) ; le conscient, qui ne peut pas apercevoir ces idées tant qu'elles demeurent dans l'inconscient ; enfin le préconscient, qui contient les pensées latentes, c'est-à-dire celles qui sont susceptibles de devenir conscientes, celles qui ont pu franchir la censure (ou refoulement) pour accéder à cette "zone" accesssible à l'attention de la conscience. En 1920, Freud établit une seconde