Refoulement

angoisse bien réelle et le processus du refoulement est mis en œuvre pour y échapper. Entre le Moi et l'inconscient, se situe la censure qui a deux aspects : Quand la conscience veut aller vers l'inconscient, par exemple lorsque nous cherchons à interpréter un rêve, elle est refoulée vers la conscience. C'est la résistance. Inversement, lorsque l'inconscient veut aller vers la conscience, il peut être renvoyé du côté de l'inconscient. C'est le refoulement. Avant Freud : Avant Freud, certains

lumière par l’étude de la formation des symptômes névrotiques accomplit par Freud. Il nous fait par du mouvement du contenu latent au contenu manifeste. Le sommeil étant un abaissement momentané de notre vigilance la régression devient possible et le refoulement offre une résistance amoindrie : le rêve devient possible. Le rêve est une réalisation de nos pensées, désirs refoulés à partir de restes diurnes qui se trouvent dans l’inconscient. Ces désirs après avoir été déformés, travestis par des mécanismes

Inconscient). Une représentation ne peut donc jamais passer directement du Conscient à l’Inconscient, ni inversement de l’Inconscient au Conscient. Le ‘noyau pathogène’ est un noyau qui peut donner naissance à la pathologie. Il est formé par le refoulement mais il est là aussi dès l’origine, de façon phylogénétique. Chaque système est formé en couches, les souvenirs étant rangés autour du noyau pathogène, selon un ordre chronologique mais aussi logique. La prise de conscience (ou réintégration du

symptomes sont l’expréssion symbolique d’un conflit psychique trouvant ses racines. Ses sympptomes constituent des compromis entre désirs et defenses. L’histoire infantile qui fait remonté la nevrose au 1er plan. La névrose a une histoire Concept de refoulement : Il designe l’opération par laquel le sujet cherche a repousser ou a maintenir dans l’inconscient des representations lié a une pulsion. Liée a l’agressivité et la sexualitée La satisfaction d’une pulsion risquerait de produire du déplaisir à

permet le traitement de certaines affections mentales. Psychique : Etymologie : grec psuchikos, qui concerne l'âme, le souffle, la vie. Qui concerne la pensée ou l'âme considérées du point de vue de l'expérience (ex : l'activité psychique). Refoulement : Etymologie : lat. fullo, foulon, qui presse des étoffes, dégraisseur. Acte par lequel une représentation est maintenue à l'écart du champ de la conscience et même du préconscient, sous l'effet d'une résistance issue de la censure : sont repoussées

représentation ne peut donc jamais passer du Conscient à l'Inconscient, ni inversement de l'Inconscient au Conscient. Le "noyau pathogène" est un noyau qui peut donner naissance à la pathologie (accès au dossier "nevrose"). Il est formé par le refoulement mais il est là aussi dès l'origine, de façon phylogénétique. Chaque système est formé en couches, les souvenirs étant rangés autour du noyau pathogène, selon un ordre chronologique mais aussi logique. La prise de conscience (ou ré-intégration

et éthiques auxquelles le sujet cherche à se conformer Héritier du « narcissisme (idéalisation du moi) et des identifications aux parents et aux idéaux collectifs » (6): Fais ceci ; sois comme ton père ; pense comme lui ; sens comme lui. 4 - Le refoulement : « Opération par laquelle le sujet cherche à repousser ou à maintenir dans l’inconscient des représentations (images, pensées, souvenirs) liées à une pulsion » (6) C’est une chape d’énergie qui empêche le passage des contenus inconscients vers

représentation du psychisme. La technique de la cure, dès 1898 et d'abord sous la forme de la méthode cathartique, avec Joseph Breuer, puis le développement de la cure type, est le principal apport de la psychanalyse. Des concepts, comme ceux de refoulement, de censure, de narcissisme, de moi et d'idéal du moi, ou davantage métapsychologiques comme les pulsions, la première topique et la seconde topique, le complexe d'Œdipe ou le complexe de castration, entre autres, vont, peu à peu, développer et

permis d'envisager le symptôme dans sa dynamique et sa significativité psychologique propre. Dans le premier modèle freudien (première topique) c'est l'économie du désir inconscient qui est considérée comme le moteur des processus psychiques : refoulement, censure, compromis entre désir et interdit, etc. C'est à partir de la clinique des névroses que la théorie et la praxis psychanalytiques ont pu s'étendre à d'autres troubles psychiques, les cas-limites, les psychoses qui ont généralement nécessité

tendent à la conservation de l’individu. L’appareil psychique a pour fonction la réduction des tensions (concept d’économie de l’énergie psychique, que Freud utilise régulièrement), en particulier celles qui sont déplaisantes (par décharge ou par refoulement dans un processus de défense). Le conscient n’est plus qu’une partie de cet appareil psychique dont la partie inconsciente, les tendances refoulées, se fraye un chemin dans les rêves ou les symptômes de la névrose. La source profonde des névroses