Réfutations sophistiques

l’idée que l’art doive avoir une utilité rationnelle (indissociable du langage). Puis, à partir de l’observation que nous ramenons sans cesse l’art à la langue, nous avons réfuté la thèse selon laquelle il y aurait un langage propre à l’art. Cette réfutation a été appuyée par le fait qu’il n’y ait pas un art mais des arts, qu’un seul langage commun étoufferait. Puis nous avons réfléchit à la possibilité d’une compréhension à travers l’art qui n’obéirait pas à un code précis déterminé. Nous avons développé

Philosophie Le banquet (194e – 202a) Socrate et Agathon sont, l’un philosophe l’autre poète de la Grèce antique. Ils sont recueillis dans un livre Le banquet. Dans le 5ième discours de celui-ci, les deux hommes devront utiliser l’elenchos (la réfutation) afin de contrer l’autre. Il sera question ici, d’analyser les paroles de Socrate et d’Agathon ainsi que de montrer pourquoi, ce dernier, a parlé sans savoir ce qu’il disait [201b]. En premier lieu, Agathon démontre, durant ce discours, qu’Éros

particulièrement, progresse grâce à des anticipations non justifiées (et impossibles à justifier), elle devine, elle essaie des solutions, elle forme des conjectures. Celles-ci sont soumises au contrôle de la critique, c’est-à-dire à des tentatives de réfutation qui comportent des tests mais ne sauraient être justifiées de manière positive : il n’est pas possible d’établir avec certitude qu’elles sont vraies, ni même qu’elles sont « probables » (au sens que confère à ce terme le calcul des probabilités)

qu'une théorie est fausse (elle contredit l'hypothèse) mais elle ne peut pas prouver qu'elle est vraie (quand elle la confirme). Celui qui fait une expérience ne confirme donc pas l'hypothèse mais il doit aussi la mettre à l'épreuve de sa possible réfutation. Les hypothèses qui refusent cette épreuve n'ont pas de contenu expérimental et ne sont donc pas scientifiques. La réfutabilité, c'est donc pouvoir montrer que l'hypothèse est fausse (falsifiabilité), qu'une expérience contraire peut être avancée

L’organisation du discours Le thème: c’est le sujet dont parle le texte en général. La thèse: c’est l’opinion, le point de vue de l’énonciateur sur le thème. S’il y a dialogue et que deux thèses s’opposent, on parle de thèse et d’antithèse ou de réfutation (pour éviter la confusion avec la figure de style nommée « antithèse »). Les arguments: ce sont les idées (souvent abstraites) qui prouvent la validité de la thèse soutenue et qui doivent convaincre le destinataire. Les exemples: ce sont des faits

le premier à redéfinir le courage D’abord, de (190e) à (192e), Lachès lance une première tentative de définition : « Il me semble que c’est une sorte de fermeté d’âme, s’il faut en déterminer la nature dans tous les cas. ».Socrate montre dans sa réfutation que cette fermeté d’âme jointe à la folie est en contradiction avec le courage. Puis, de (192e) à (193e), Socrate fortifie la première thèse de Lachès en définissant le courage comme une : « fermeté intelligente ». Cette seconde tentative est réfutée

Première partie : Indiquez, en un paragraphe, quelles sont vos attentes face à ce cours de philosophie. La philosophie est un questionnement et une réflexion sur le monde, en quelques sortes pourquoi un tel évènement arrive-t-il à cet endroit, pourquoi on agit de la sorte et non autrement… Ce que j’attends de ce cours, ce n’est pas de répondre aux questions que je me pose, mais bien de comprendre pourquoi l’être humain est rendu ce qu’il est aujourd’hui, quel chemin a-t-il emprunté pour y arriver

du mot culture : le travail (ici l'éducation) est destiné à améliorer l'homme, à le rendre autonome. Cette éducation permet le développement de l'homme pour qu'il puisse passer du stade enfant au stade adulte. Rousseau utilise ensuite une réfutation par l'absurde. "Si l'homme naissait grand et fort, sa taille et sa force lui seraient inutiles jusqu'à ce qu'il eût appris à s'en servir". Ici, Rousseau imagine un enfant au stade adulte, c'est-à-dire qu'il possède déjà les qualités qu'un homme

pensée nouvelle. Le raisonnement dialectique, produit donc des idées nouvelles à partir de propositions de départ qui s'opposent. 7.1. Le développement consiste à montrer que les deux propositions contradictoires ne sont pas satisfaisantes. 7.2. La réfutation consiste à contester l'une au moins des deux propositions pour en proposer une nouvelle.

respectifs) d. 3e argument : Celui-ci est composé d’une objection réfutée (donc, une objection s’attaquant à un de vos arguments ET la réfutation de cette objection qui démontre que l'objection ne démolit pas complètement votre argument). i. Objection 1. Sous-argument ii. Réfutation 2. Sous-argument l. Conclusion ix. Que doit-on retenir de votre exposé? 4. Retour sur votre thèse