Regard

amoureux à l’époque. Axes : I. Le thème du regard = pouvoir des yeux de Gala A. Blason - Caractéristiques : forme, yeux en amende, « l’auréole, berceau » + images insolites « berceau, bateau, feuilles » + couleur, irisé « source de couleur » + autres caractéristique, aspect scintillant « mousse de rosé », mobile & vivant, verbes de mouvements B. Yeux dotés de valeurs symboliques - Refuge & protection - Le regard : Pouvoir de séduction : évocation de l’amour +

éclatantes Cette toile met en scène cinq femmes nues (des prostituées de la rue d'Avignon à Barcelone) aux corps et aux visages anguleux, disloquées, devant un fond composé d'étoffes de plusieurs couleurs et qui sollicite le spectateur de leurs regards insistants. La scène est fragmenté, aussi bien les femmes que les espace entre elle, et ce qui devrait être en relief semble disjoint et plat. Les corps des jeunes femmes représentées sont déformés. Ils donnent l’impression d’un miroir brisé. Plusieurs

roman d’amour»! Dans ce poème Rimbaud fait tout une critique de ses aventures amoureuses d'adolescent encore bien naïf. Nous allons donc voir que dans ce poème on peut voir que la nature est propice au sentiments ,que Rimbaud jette un regard amusant sur l’adolescence mais aussi qu’a travers ce poème il y a présence d’une ironie continue. On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans qui commence et se qui se fini par des ses échecs amoureux. On peut donc remarquer une diérèse

Indiens et ressentis. Cet extrait est raconté au point de vu externe via la jeune fille. Dans cette analyse, nous étudierons tout d’abord l’éloge que fait Colombe à propos des Indiens, ainsi que le regard qu’elle porte maintenant sur elle-même et sur sa colonie. → Quel regard porte Colombe sur ces hommes de nature ? I/ Colombe et ses éloges sur les Indiens 1) Des éloges physiques l.3 : « n’y avait vu qu’un détail pittoresque » l.5 : « elle n’en fut nullement choqué »

par un comportement. Il est possible de distinguer : La posture  Position du buste, des jambes, des bras… La gestuelle Mouvements des mains pour renforcer nos idées, traduire un comportement de défense. Le regard et sa mobilité Regard direct pour montrer l’intérêt, regard fuyant pour montrer sa gène. Les mimiques du visage Le sourire pour une marque de sympathie. Un froncement de sourcil pour dénoter l’incompréhension.

phrase qui révèle le point de vue de Pierre. Le reste du passage encadrer par ses deux phrases et constitué par les réflexions de Pierre qui cherche ni à relativiser son jugement sur les femmes ni à mettre de la distance et nuancer son propos. b- le regard de Pierre sur les femmes : Il nous impose à travers des images très fort et très varié qui se succède. 1 - leur beauté : - champ lexical de la beauté : adjectifs (jolie, mignonne, belle…), noms (toilettes, étoffes, grâce, coquetterie, séduction…)

l’ourlet ; Aile et noble, avec sa jambe de statue, Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan, La douleur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair…puis la nuit !-Fugitive beauté Dont le regard m’a fait soudainement renaître, Ne te reverrais-je plus que dans l’éternité ? Ailleurs, bien loin d’ici ! Trop tard ! J’aimais peut-être ! Car j’ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j’eusse aimé, ô toi qui le savais ! Baudelaire

toilette improvisée » ; l’importance de ce diner corroborée par « le cœur battant » -> inquiétude et profonde émotion du personnage : « l’esprit anxieux » , « la crainte d’être ridicule » + « s’affolait à l’idée d’être grotesque » -> la crainte du regard d’autrui, appuyé par la lenteur du mouvement : « lentement » , « mouvement en arrière » ; précarité illustré également par « le petit miroir à barbe » Le miroir reflète le personnalité du personnage : un être narcissique -> qui se contemple avec

déplacement dans la ligne droite. Le miroir empêche la reconnaissance et projette de fausses perspectives: loin de refléter la sincéritéet la vérité, il en signale le détournement. Il est pour Duroy le signe d'une dépossession, d'un décalage entre le regard et la réalité de son objet. Combien de fois le miroir trompe Duroy dans son parcours! Chez Forestier d'abord, où «en s'apercevant dans la glace, il ne s'était pas reconnu; il s'était pris pour un autre» (p. 50), puis chez Walter, où «il se trompa

que derrière les rideaux je la regardais. » (BS p38), « dissimulé derrière les rideaux de sa chambre, je la regardais et la connaissais en ses folies » (BS p40). Même lors de la scène de la première vue, Ariane est piégée par le regard de Solal. Le fait que Solal regarde Ariane sans que celle-ci se sache observée, confère à l’intrus une longueur d’avance qu’il mettra à profit. En effet, son statut de voyeur lui confère une supériorité qu’il s‘agit d’exploiter en vue de la réussite de son entreprise