Régime concordataire français

La Troisième République se caractérise très rapidement comme un régime hostile à l’Eglise. Malgré des débuts hésitants, et quelques années où l’on voit apparaître une « vague cléricale », la République parvient à s’enraciner durablement et, en appliquant à la France son idéologie profondément laïque, conduit à des bouleversements importants concernant l’Eglise et la vie religieuse françaises. Il nous appartient par conséquent d’observer l’interaction originale qui a eu lieu entre l’Eglise et l’Etat

Le Bloc national (1919-1924) • Naissance et victoire du Bloc National Csq d’1 guerre traumatisante : double aspirat° ( retrouver l’ordre et la stabilité, revenir à un âge d’or magnifié par le souvenir / faire que la guerre ne soit pas inutile (s’inspirer de l’Union sacrée en ptq). Souvenir de la guerre renforcé : signature de la paix ac l’All le 28 Juin et défilé de la victoire le 14 Juillet en 1914 ( favorise les partsi de droite. Gache divisée : radicaux ont soutenu l’Union

sans endommager l’autel. La religion est un ensemble de dogmes, croyances et pratiques cultuelles constituant en des rapports de l’homme avec la puissance divine. On est sous la révolution (1789-1799) avec ouverture sur le Concordat de 1801. L’état français prend en compte le traitement du fait religieux et notamment de la liberté religieuse. La religion catholique est la religion d’état sous l’AR. Rappel des rapports de force entre le Roi et le Pape. On peut rappeler le concordat de Bologne en 1516

en faveur d’une laïcité indépendante de la religion. Elle est avant tout un acte fondateur dans l'affrontement violent qui a opposé deux conceptions sur la place des Églises dans la société française pendant presque vingt-cinq ans. Elle remplace le régime du concordat de 1801, qui est toujours en vigueur en Alsace-Moselle pour des raisons historiques (les élus alsaciens en faisaient une des trois conditions d'acceptation de leur rattachement à la France en 1919, sans quoi ils demandaient un référendum

relations entre l’État et l’Église catholique (culte majoritaire) sont difficiles. Napoléon, en 1801 avec le Concordat signé avec le pape, pacifie les relations avec le catholicisme. - Le mariage civil (et non plus religieux comme sous l’Ancien régime) est le seul légal (doc. 2 p. 89) ! - Création des premiers lycées (docs p. 100) et musées publics (ex : Le Louvre). 

luthériens, les protestants calvinistes et les israélites. Elle clôture 25 ans de tensions entre la République et l'Église catholique, l'un et l'autre se disputant le magistère moral sur la société. • Cette loi de 1905 met donc un terme au régime concordataire, c'est-à-dire au Concordat établi en 1801 sous le Consulat par Napoléon Bonaparte et qui régissait jusque-là les rapports entre les deux institutions. • La loi de 1905 proclame d'abord la liberté de conscience et d'exercice des cultes : •

profondément modifié l’histoire de France. Elle renverse la monarchie pour un autre régime politique (la République).De 1789 jusqu’en 1799, La Constituante qui gouverne la France Révolutionnaire est à l’origine de nombreuses lois nouvelles dont la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen. Afin de mettre fin aux divisions entre monarchistes et révolutionnaires, des Hauts Responsables font appel au Général Français Napoléon Bonaparte pour organiser un coup d’Etat. Réputé pour ses meilleures idées

la révolution et des systèmes politiques fragiles pour assurer son coup d’état le 18 brumaire. Partisan de la révolution, Napoléon Bonaparte va mettre en place un régime innovent et autoritaire qui accorde une grande importance aux acquis de la Révolution mais qui marque aussi une profonde rupture avec cette dernière. En quoi le régime Napoléonien marque-t-il une continuité et une rupture avec la Révolution ? En premier lieu nous envisagerons d'abord l'aspect du fossoyeur de la révolution pour ensuite

apparaissait comme un moyen de contrôler l'Église catholique, puisque le Clergé est salarié par l'État. Le Concordat était un traité entre le Saint-Siège et un État, celui de 1801 reconnaît le catholicisme comme la religion de la grande majorité des Français. La loi de 1905 certifie que la liberté de conscience et que le libre exercice des cultes sera établie.

avec leur fond d’anticléricalisme qui les différencie par exemple des Lumières britanniques ou allemandes, ou encore, la vieille tradition française de relations pour le moins complexes voire tendues entre l’Église et l’État. Certes, les penseurs français s’interrogent durant tout le siècle sur les héritages de la Révolution et ils ne sont pas les seuls : pour les philosophes allemands également la Révolution constitue l’acte fondateur par excellence. À cet héritage de la Révolution, il faudrait ajouter