Regimes Totalitaires Pratiques Identiques

et d’individualisme Elle met fin à près de 1000 ans de souveraineté et légitimité monarchique La réaction par rapport à l’Ancien Régime est assez violente. La Révolution est aussi le point de départ d’une longue instabilité politique et constitutionnelle. La Révolution n’est pas le point de départ de l’idéal démocratique. Durant cette période, beaucoup de régimes politiques vont se succéder et ce durant un laps de temps très court. Il est souvent dit que « La France est un pays consommateur de

portées par des autorités publiques. Qui dit politique publique dit prises de décisions. Quand on parle de décisions politiques on passent par de la réglementation, de la législation. Ces politiques concernent des pratiques matérielles par ex des allocations familliales mais aussi des pratiques immatérielles on peut commémorer un certains nombres d'évenements. Ces politiques peuvent s'adresser ou non à un public cible. Ces politiques rendent toujours compte des processus de politisation, dans quelles

cas de tous les gouvernements, elle peut aussi signifier « gouvernement exercé par le peuple » ce qui rejoint le deuxième terme de la définition. De plus, le sens de « gouvernement pour le peuple » est également confus. Chaque régime politique, même les régimes totalitaires, ont affirmé « gouverner pour le peuple », dans son intérêt. Finalement, seul le deuxième terme de l'expression résiste partiellement à la critique. La démocratie se définirait donc ad minima comme le « gouvernement par le peuple

être humain a droit à l’intégrité de son corps donc la torture est illégitime. L’appartenance au genre humain est encore plus fondamentale que l’appartenance à telle ou telle société. Si tous les êtres humains possèdent un ensemble de droits identiques, il s’ensuit qu’ils sont égaux en droit : la demande d’égalité découle de l’universalité. Comment devons nous juger le programme qui se formule au Siècle des Lumières (250 ans après son apparition) ? En Europe et dans les parties du monde qu’elle

nombreux ouvrages qui touchent à la politique et en particulier Le Prince, où à l’encontre des penseurs grecs, il ne s’agit pas pour lui de définir non le meilleur régime possible mais le plus efficace. 2/ Montesquieu (1689-1755) aussi, chez qui on retrouve, en même temps qu’un travail de recherches important, une préoccupation de régime de juste milieu mais dans une perspective libérale, c’est-à-dire largement individualiste, cf. L’esprit des lois (1748). 3/ On doit citer aussi, bien sûr

ce texte, nous nous attarderons aux rapprochements que l’on peut établir entre les deux régimes, pour démontrer, dans une certaine mesure, que l’un ne vaut pas mieux que l’autre. Le totalitarisme Une comparaison efficace entre le communisme et le nazisme n’est possible que dans la mesure où nous réduisons le terme communisme à celui de stalinisme. En effet, le terme communisme englobe une série de régimes politiques qui ont lieu à différents moments de l’histoire, bien que rapprochés dans le

s’efforçait d’exclure les formes extra-pénales d’internement administratif et d’encadrer la surveillance policière. C’est cet idéal que les attentats du 11 septembre 2001 ont abattu en même temps que les tours jumelles de Manhattan. Certes, les pratiques répressives avaient commencé à s’en écarter bien avant le 11 septembre, mais c’est dans la période postérieure que les États-Unis, au nom de la guerre contre le terrorisme, vont adopter une batterie de nouveaux dispositifs, préventifs et répressifs

o On associe fréquemment la science politique à la philosophie politique. La plupart des penseurs anciens ont pour volonté d’avoir le meilleur régime politique possible. Les penseurs ne réfléchissaient pas en chercheur politique mais en moraliste, en politicien. Pour Platon, l’objectif était de savoir quel est le meilleur système dans lequel le citoyen peut s’épanouir. L’objectif est de repérer le meilleur type de régie, on cherche a porter un jugement de valeur, une recherche d’éthique.

Il parait évident qu’on ne peut  penser autre chose que nos propres pensées, puisque c’est une notion qui se constitue par des éléments, des perceptions, des ressentis tout à fait personnels. En effet, je n’ai jamais des réflexions strictement identiques à celles de ma voisine, et vice versa. L’unicité de chaque être humain, génétiquement ou psychologiquement, est la preuve de nos divergences, et par conséquent, de l’affirmation de nos pensées et volontés propres. Ces affirmations qui découlent

États autoritaires et totalitaires, eugénisme et génocides... Mais ce genre est certes beaucoup plus important et varié, et possède de nombreux antécédents. Mon postulat de départ est que bien des caractéristiques des dystopies, qui visent à dénoncer et contrer (via des réfractaires et autres dissidents) le côté infernal et néfaste de l’utopie (de l’utopie au sens classique, c’est à dire conformiste et anti-individualiste), notamment ses aspects autoritaires et totalitaires, permettent de ranger