Registre Dans Un Coeur Simple

première strophe la répétition du verbe « allais », sans que ce verbe reçoive un complément. On ne sait pas où allait le poète, mais cela n'a sans doute aucune importance. Ce qui compte, c'est le voyage lui-même. L'imparfait, au contraire du passé simple, sert à montrer l'action dans son déroulement, sans considérer son début et sa fin. De même, le pluriel « des routes » évite toute précision sur le lieu exact de l'évocation. On retrouve le même procédé dans « ces bons soirs ». Le déterminant démonstratif

spectateur : la partie chantée et rimée· Registre pathétique : emphase « hélas », modalisation par le conditionnel et le subjonctif « eût »/ « pourrait-il » + hyperbole « belle Philis » avec mis en valeur par l’isolement avec les virgules + périphrase « l’amoureux Tircis »=> se définit par son rapport sentimental au personnage + euphémisme « assez de bonheur » > insiste sur la chance et la conséquence de ce sentiment + métonymie du « cœur » + reprise du registre tragique ds les propos de Cléante systématique

Fiche de lecture : UN CŒUR SIMPLE Contextes : -Le régime politique sous lequel se déroule l’histoire dans l’Empire de Napoléon 1er, la restauration et la monarchie de Juillet. -Le courant culturel dans lequel s’inscrit l’œuvre est le romantisme. - -Il est né le 12 Décembre 1821 à ROUEN. Durant sa jeunesse, il s’assombrie par des crises nerveuses et des amours tourmentées, se partage entre les voyages et l’écriture. Il est mort le 8 mai 1880 à CANTELEU. -Il témoigne des élans romantiques,

« Ce cœur qui haïssait la guerre » - Desnos Intro : Manifeste du surréalisme par Breton en 1919 : « Dicté de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale » Surréalisme : rêve : Desnos, Dali, Magritte Fonction du poète : poète engagé  lui aussi entré dans action même si pacifiste, sacrifier son opinion afin de garantir un futur acceptable, décent Surréalisme vers lyrisme Mort des suites de déportation  arrêté car résistant

(tout le monde est devenu rhinocéros ou les a suivi, telle Daisy), son bouleversement doit être extrême. On le voit à l'expression haletante, basique et répétitive: "c'est moi, c'est moi", "je ne suis pas beau, je ne suis pas beau". (Propositions simples avec attributs du sujet). On voit l'état de désarroi du personnage aussi à la ponctuation: les points d'exclamation couvrent toute la réplique. Ce monologue est aussi à rattacher à la lignée des monologues délibératifs. A la suite d'un Rodrigue

fait son valet dans la première scène de l’acte I et le personnage tel qu’il apparaît à la scène suivante. Molière choisit de présenter Dom Juan en deux temps (par le discours de son valet, puis par son apparition sur scène). Le monstre sensuel, sans cœur, sans foi ni loi, dépeint par Sganarelle à la scène 1 se révèle être dans la scène suivante un libertin plein de charme, très habile orateur, ayant le goût du jeu, capable d’humour et d’ironie. Si ce que dépeint Sganarelle est bel et bien corroboré

majorité Analyse: Tout dilemme comportant une part sacrificielle et mettant celui qui le vit au cœur d'un déchirement, il faut reconnaître à ce monologue sa portée tragique. En fait, ce monologue final (qui clôture donc la pièce) est le point d'aboutissement d'une tragédie annoncée. Le monologue en tant que fin d'une pièce en trois actes, resserrée, est bien un dénouement, inscrit dans un registre tragique pour plusieurs raisons. D'abord l'adverbe "hélas" puis l'accumulation d'exclamations négatives

la Révolution et de l'Empire comme officier de dragons et comme intendant militaire. Il est, lui aussi, écrivain romantique. Il sera reconnu précurseur du réalisme grâce à son œuvre Le rouge et le noir comportant beaucoup de caractéristiques du registre réaliste. c) Flaubert, le « maitre » du réalisme : Comme homme et comme romancier, Gustave Flaubert se trouve à la croisée de deux aspirations contradictoires : une tendance lyrique, héritée du romantisme, et une tendance réaliste, c’est-à-dire

réécriture de Roméo et Juliette avec la fameuse scène du balcon, ou d’un simple clin d’œil comme sur le roman libertin. On constate également que l’œuvre a des similitudes avec cet extrait : l’alternance des scènes comique au tragique qui rythme l‘extrait. En outre divisible en plusieurs parties ; (l.1 à l.15) le discours d’un antihéros de l’énergie c’est-à-dire le tragique. La revitalisation énergique du héros, en d’autre termes le registre comique (l.15 à l.22). Pour retomber dans le tragique avec une perte

mise en scène de Nicolas Briançon met bien l'accent dessus) : usage d'un vocabulaire affectueux d'enfant comme « nounou »(p.19-20) et aussi « quand tu pleures comme cela, je redeviens petite »(p.20). b)Antigone, un personnage lyrique: usage du registre lyrique; Antigone exprime ses sentiments intimes, elle raconte à sa nourrice son rapport personnel à la nature, notamment au travers d'image comme la personnification; «c'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes. »(p.14). Cette personnification