Registres Paroissiaux

Lorenzo d'antan. Ses interventions sont d'ailleurs également importantes puisqu'elles nous révèlent un certain nombre de choses à propos du passé de Lorenzo. Personnellement, je trouve que c'est un personnage émouvant ; elle est assez représentative du registre pathétique dans la pièce. Définitivement, c'est un personnage important bien que secondaire. Pour ce qui est du "portrait" tu peux ajouter qu'elle est peu instruite, puisqu'elle dit à Catherine qu'elle ne "comprend rien à ses livres latins" (ou une

quelle est la visée commune de ces textes qui proviennent tous les trois du même auteur? Tout d’abord, ce corpusdénonce la situation et la misère de la femme dans la société, et sa prostitution au XIXe siècle. Pour exprimer cela, Hugo a utilisé un registre pathétique, d’où un champs lexical de la misère et de lasouffrance dans Les Contemplations « Pas d’argent ; pas de pain » (v 7), « cœur qui se déchire » (v11), « la misère » (v 32), « deuils et pleurs éternels! » (v 41).. Et une référence à laprostitution

Registres 2 Bertolt Brecht invente un nouveau genre théâtral au début du Xxème siècle; qu’il qualifie comme ‘’épique’ et qui est l’inverse du théatre dramatique. Il a pour but de porter la réalité à la scène et l’interroger. Dans Mère Courage, on note que la contradiction n’échappe pas cette réforme du théâtre; Brecht fonde un art contradictoire en élaborant dans cette pièce une dialectique de la contradiction. En montrant sur scéne des phénomènes sociaux complexes, ainsi que les contradictions

II-Le poète : un témoin à décharge de l’assassin A-Un témoin rempli de compassion exprimant le caractère obsessionnel de la faim Dans un monde indifférent à la souffrance d’un homme, il exprime sa révolte = porte parole de la misère. Registre pathétique, vers courts. Prévert se focalise sur les sensations de l’homme, empathie du lecteur. Faim obsessionnelle. B-Une mise en accusation de la société Titre = dénonciation, désigne qqun qui mange à sa faim. L’homme vit le supplice de Tantale

réelement puisqu'elle s'exclame " Don César! " -le lyrisme de cette piece est accentué par des métaphores :"mais c'est a se briser le front contre le mur" " je sens que votre vie vis a flot coule et s'en va" - idée bien reprise par l'emploie du registre pathétique ; " pauvre enfant " -Les deux occurences de " je t'aime" appuie d'avantage sur l'affection que porte RB a La reine -Les didascalies sont très nombreuses comme dans les tragédies classique .Les gestes sont donc nombreux entre les deux

(provoqué la guerre) et s’étant blessé à l’occasion. • Mais la morale attendue n’est pas au rendez-vous. La « sensualité » du jeune garçon, en fait un adolescent, aura fait accomplir au narrateur un forfait que la société ne pardonne pas. • Le registre tragique est donc présent dès l’incipit : présence d’un héros exceptionnel / de la mort / d’un destin aveugle « se manifeste encore aveugle » autant qu’inévitable. La souris manque à la fable esquissée par le narrateur : le lecteur est peut-être

dénonce son égoisme et son ingratitude, le pigeon voyageur ne reconnai pas la chance qu'il a d'aitre a coté de lui. Pour le pigeon la voyage peux etre une bonne chose quand il est formateur, le pigeon est pour le voyage iniciatique. Il va joué sur le registre tragique, il acentu sur tout ce quil va perdre en partent, pour suciter cher lui l'envie. La « mai » a valeur d'oposition nous montre que le discoure du pigeon na pas sufit. Le pigeon est rester tétut. Il esai a son tour de consoler le pigeon. Il

 Analyse d'une lettre de poilus. Lettre étudiée : La lettre étudiée est une lettre d'un violoncelliste français qui se nomme Maurice Maréchal. Celui-ci a dut cesser sa carrière de musicien pour défendre sa nation. 1) Contenu : La lettre est écrite le dimanche 2 août, le jour de la mobilisation générale. Il dit dedans qu'il agis comme un bon et simple français pour protéger son pays. Ceci est prouver par un éléments du texte qui dit qu'il "rendais ces cartons à la musique" pour

malades de la Peste est une fable, où la mise en scène est primordiale et pourrait faire référence à un conseil des Dieux. Cette impression se fait par un prologue magistral et effrayant, puis par un schéma tragique et enfin par une variété des registres, de la métrique et des types. Tout d'abord, la présentation des évènements se fait dans un prologue, où les références au divin se font omniprésentes « le ciel », « l'Achéron », qui rappelle au lecteur l'impitoyable jugement céleste. Ainsi

Arlequin quant à lui, par ses actions dans les didascalies et ses répliques se montre moqueur et indifférent : « riant » l.21, « siffle » l.17, « Ah, je vous plains de tout mon cœur, cela est juste » l.15. On observe un registre ironique. En opposition, Antigone affiche un registre tragique dans lequel débattent deux sœurs : Antigone et Ismène. Ici le débat se fait plus doux et compte sur l’argumentation de chacun des deux partis. Les jeux de scènes sont moins présents et on compte peu de didascalies