Regle De Mundell Et Tinbergen

administrations publiques, donc, le déficit des administrations publiques. Administrations publiques : état, collectivités locales, différents organismes… A. La politique économique : logique de conception et principes de rationalité. Selon J. TINBERGEN (1961) : la politique économique est l’utilisation de la part de l’agent public d’un certain nombre de moyens (instruments) pour atteindre certaines fins (objectifs). Politique économique concerne l’intervention de l’état dans l’économie. L’état

stabilité financière 1. Objectifs Politique monétaire = politique conjoncturelle Les objectifs de la politique conjoncturelle « carré magique » de Kaldor Croissance, stabilité des prix, excédent extérieur, emploi Jan Tinbergen au moins autant d’instruments que d’objectifs Robert Mundell politique monétaire pour l’équilibre externe / politique budgétaire pour l’équilibre interne Le carré magique Taux de croissance Taux de chômage Solde extérieur (en % de PIB) Taux d’inflation 1 La

à la plus petite entité pour qu’elle puisse s’en occuper. Dans le cas de l’UE, la plus petite entité est un état. Donc la responsabilité de l’action politique revient à l’état. Dans la construction européenne, le principe de subsidiarité, est une règle de répartition des compétences entre l'Union et ses Etats membres. En dehors des domaines de compétences qui lui sont propres, l'Union Européenne n'agit que si son action est plus efficace que celle conduite au niveau des Etats ou des régions. En

de politique économique….. IV.2/ Les règles de combinaison des instruments de politique économique………. A) La règle de Tinbergen………………………………………………………. B) La règle de Mundell…………………………………………………………. Corrigés des exerces d’application……………………………………………………………… INTRODUCTION GENERALE La politique économique peut être définie comme chez Tinbergen par « la manipulation délibérée d’un certain nombre de moyens pour atteindre certaines fins». On peut distinguer ainsi les instruments

entré en application que la crise a obligé à accélérer le processus Bâlois pour mettre en place Bâle 3 ! l  Bâle 1 (1988/1989) ; Bâle 2 (2003/2007); Bâle 3 (2010/2013) l  22 B. Instruments l  La crise a obligé à accélérer le mouvement mais en règle générale les évolutions en la matière sont lentes : •  résistances politiques •  résistances des lobbies •  difficulté à « innover » dans le domaine prudentiel car coûts immédiats et lourds et bénéfices à beaucoup plus long terme et difficile à évaluer

de Bretton Woods. La relation de Phillips reprise par les keynésiens mettra en évidence une relation inverse entre l'inflation et le chômage et l'idée que l'on puisse choisir un pilotage fin entre ces deux contraintes. Selon les règles de Tinbergen et de Mundell, les outils de politique économique doivent être spécialisés par objectif, la politique monétaire paraissant plus efficace dans la maîtrise de l'inflation, et la politique budgétaire plus efficace dans lutte contre le chômage. Les BC dans

  | LAFFER | LAFFEMAS | LÉNINE | LEWIS | LIST | LUCAS |   |   |   |   | MALINVAUD | MARKOVITZ | MALTHUS | MARSHALL | MARX | MEADE | MENGER | MILLER | MISES (von) | MILL | MODIGLIANI | MONTCHRESTIEN (de) | MUN | MUSGRAVE | MUNDELL | MYRDAL |   |   |   |   | NORTH | |   |   |   | OHLIN | OLIVENNES | OLSON |   |   | PARETO | PERROUX | PETTY | PHILLIPS | PIGOU | PIKETTY | POLANYI |   |   | RAWLS | QUESNAY |   |   |   |   | RICARDO | ROBINSON | ROMER

sources : John Maynard Keynes, l'américanisation de Keynes par Alvin Hansen et la « la "modernité" des années cinquante et soixante » En 1962, le modèle IS-LM s’est ouvert à l’économie internationale avec ce qui est maintenant connu comme le modèle de Mundell-Fleming. Très vite des économistes comme Abba Lerner] ont compris le rôle que pouvait jouer les politiques économiques. Se concevant plus selon Gregory Mankiw comme des ingénieurs que comme des scientifiques, ils ont développé des outils à aider les

économètre Jan Tinbergen, premier lauréat du prix en l'honneur du Nobel en économie. Selon cette règle de Tinbergen, il ne faut pas avoir plus d'objectifs que de moyens, ou encore la politique économique doit avoir autant d'instruments que d'objectifs. La règle mathématique stricte est « un objectif par moyen, et un moyen par objectif » (il faut autant d'équations qu'il y a d'inconnues). II. Le principe d'efficience Le principe d'efficience est dû au Canadien Robert Mundell, autre prix en l'honneur

John Maynard Keynes, l'américanisation de Keynes par Alvin Hansen et la « la "modernité" des années cinquante et soixante »[N 4] En 1962, le modèle IS-LM s’est ouvert à l’économie internationale avec ce qui est maintenant connu comme le modèle de Mundell-Fleming. Très vite des économistes comme Abba Lerner] ont compris le rôle que pouvait jouer les politiques économiques. Se concevant plus selon Gregory Mankiw[28] comme des ingénieurs que comme des scientifiques, ils ont développé des outils à aider