Regle De Mundell Et Tinbergen

2. Règles de combinaison optimale des instruments Règle énoncé par Tinbergen : « Une condition nécessaire (mais non suffisante) pour qu’une politique soit efficace, est qu’il existe autant d’instruments indépendants que d’objectifs à atteindre. » Règle énoncé par Mundell : « Il convient d’affecter la politique monétaire à la recherche de l’équilibre externe et la politique budgétaire à la recherche de l’équilibre interne (règle d’affectation)» L’affectation des différents instruments

garantir le respect par les deux parties des clauses du contrat. Coût externe de décision. Lorsqu'on utilise une règle de vote moins contraignante que l'unanimité, cela impose un coût à la minorité du fait de la décision prise. Le coût correspond à la différence entre les niveaux d'utilité qui auraient été atteints avec la règle d'unanimité et ceux qui sont atteints sans cette règle. La règle de l'unanimité quant à elle impose des coûts en terme de temps. Coûts irrécupérables. Ce sont les coûts qu'une

d’action des politiques structurelles est plus long, mais leurs effets sont en général plus profonds. III. Les objectifs et la classification des politiques conjoncturelles a) Les objectifs de la politique économique L’économiste néerlandais Jan Tinbergen distingue quatre principaux objectifs pour les politiques économiques conjoncturelles : le plein emploi, la stabilité des prix, l’équilibre des échanges extérieurs et une croissance soutenue du PIB. Ces objectifs ont été synthétisés par l’économiste

pas évaluer ces délais. Donc on ne peut pas non plus, évaluer le montant de la dépense publique à augmenter. Chapitre 2 : Les interdépendances des économies et des politiques économiques Le modèle canonique de macro internationale présenté par Mundell et Fleming 1962. On prend comme exemple le cas d’un petit pays c'est à dire qu’il n’influence pas les autres pays. On prendre deux cas de figures : * En change fixe * En change flexible On verra ce qui peut se passer pour ce petit

type « nouveau keynésien ». 4. La politique monétaire devait être conduite par une Banque centrale indépendante du pouvoir politique, cela afin d’assurer sa crédibilité. Sa politique de taux d’intérêt devait être globalement conforme à une règle, du type règle de Taylor, pour faciliter la formation des anticipations par les agents privés. Les problèmes de coordination entre politique moné10 CONSEIL D’ANALYSE ÉCONOMIQUE taire et politique budgétaire étaient envisagés dans le cadre d’un « jeu

par la recherche de l’équilibre (baisse des dépenses) et non pas leur augmentation, elle ne permet pas de soutenir la croissance. Il faudrait augmenter les dépenses ou diminuer les impôts pour soutenir la demande globale. La question du change est réglée du fait de la zone euro. Derrière cette question de change il y a la question de la compétitivité. L’équilibre du solde courant permettrait de soutenir la demande globale. La solution viendrait de l’extérieur. La recherche de la compétitivité permettrait

l’intégration économique, est analysée à partir de la théorie des Zones Monétaires Optimales (ZMO), domaine privilégié de l’Économie Monétaire Internationale. C’est une théorie qui a été initiée pour la première fois au courant des années 60 par Mundell (1961), secondé par McKinnon (1963) et Kenen (1969). Ils cherchent à déterminer les critères d’optimalité monétaire d’une zone, engendrant un débat sur la nature du régime de change. Très vite, cette théorie manque de consensus, vu la multiplicité

l’économiste est de mettre l’économie en fonctions. Depuis les marginalistes tout est calcul, Avec Debreu ou Allais tout est devenu système. L’économétrie est apparue dans les années trente ; le premier prix Nobel a été attribué à Ragnar Frisch et Jan Tinbergen , deux économètres. Plus tard d’autres spécialistes de ce secteur Trygve Haavelmo, Tjalling Koopmans, Lawrence Klein l’on également reçu. l’économétrie est la branche la plus dure de cette « science molle » que reste fondamentalement l’économie

Les différentes variables macroéconomiques prises en compte dans la politique économique correspondent d’une part à des concepts théoriques impliqués dans des interactions, d’autre part à des valeurs qui peuvent être mesurées ou estimées. En règle générale c’est à la suite de l’intérêt porté par la théorie économique à une variable que les gouvernements ont été incités à en mesurer ou estimer la valeur numérique à intervalles réguliers de façon à disposer d’indicateurs fiables. Par exemple

dépenses publiques et à faire baisser la productivité. → CCL: il faut trouver des contraintes qui permettent de réduire ce jeu des intérêts particuliers, notamment la contrainte de l'équilibre budgétaire. On peut interpréter de cette manière la règle qui fait que le déficit ne doit pas dépasser 3%. mettre en concurrence les services publics et privés+ évaluation des politiques publiques II – Les fondements théoriques de l'intervention publique Régulation par le marché : confrontation