Reglementation Bale 2

7 I. Présentation d’ATTIJARIWAFA BANK : 8 II. Présentation de l’agence d’accueil 10 PARTIE II : LE CONTRÔLE INTERNE. 11 I. Introduction : 12 1. Contexte réglementaire : 12 2. Recommandations de Bâle II : 13 II. Objectifs du contrôle interne: 14 1. Définitions : 14 2. Périmètre du dispositif de Contrôle Interne : 14 3. Les niveaux de contrôle interne arrêtés : 15 4. Domaines et sous-domaines de contrôle BPP : 17 5. Supports de travail du Contrôle

L’environnement bancaire. Chapitre 1 : Les différents risques bancaires. Section 1 : Le risque de marché. Section 2 : Le risque opérationnel. Section 3 : Le risque pays. Section 4 : Le risque de crédit. 6 7 8 Chapitre 2 : Le cadre réglementaire. Section 1 : Le Ratio européen de solvabilité. 1.1. Définition du ratio de solvabilité. 1.2. Les objectifs du ratio. 9 10 Section 2 : La réforme du comité de Bâle II. 2.1. La remise en cause du ratio de solvabilité. 2.2. Les nouveaux objectifs du ratio de solvabilité

bancaire de l’économie 2 I.1. les activités de la banque en tant qu’établissement de crédit 2 A. Réception de fonds du public 2 B. Distribution des crédits 2 C. Opérations en devises 2 I.2. La différence entre une banque et une société de financement 2 A- Les banques 2 B- Les sociétés de financement 2 II. Le rôle des banques dans le financement de l’économie 2 II.1.L’importance de l’activité de crédits bancaires 2 II.2. Analyse sectorielle des crédits bancaires 2 III. Les perceptives du

.............. 8 I. SECTEUR BANCAIRE MAROCAIN............................................................................... 9 1. Les rapports banques entreprises ............................................................................... 10 2. La structure du système bancaire marocain ............................................................... 10 a) Rappel historique : ..................................................................................................... 10 b) Le paysage

INCREMENTAL RISK MODEL Projet de transposition des recommandations du Comité de Bâle à la CDG CAPITAL Ghita JAZOULI Mai 2010 1 Résumé du travail A la lumière des événements déclenchés par la crise financière mondiale, le Comité de Bâle pour la Supervision Bancaire a effectué une troisième proposition concernant l‟introduction d‟une charge supplémentaire pour se prémunir contre les risques incrémentaux. L‟objectif d‟une telle proposition étant la capture des risques de migration et de défaut portés

implique la collecte et la détention d’informations sensibles par rapport à nos actionnaires : les Caisses Régionales du Crédit Agricole. Cet actionnariat particulier pourrait pénaliser l’activité de GSOC, notamment à la suite de la nouvelle réglementation Bâle 2. En effet, la réforme des normes prudentielles concernant les ratios de solvabilité des banques conduirait à une augmentation du taux de couverture des risques pris par les banques. Cette réforme vise en outre de façon spécifique les engagements

Michel Crouhy, Olivier Godechot, Sonia Ondo Ndong, Hubert Reynier, Sandra Rigot, Sophie Sotil-Forgues et Laurence Scialom Réalisé en PAO au Conseil d’Analyse Économique par Christine Carl © La Documentation française. Paris, 2008 - ISBN : 978-2-11-007357-0 « En application de la loi du 11 mars 1957 (article 41) et du Code de la propriété intellectuelle du 1er juillet 1992, toute reproduction partielle ou totale à usage collectif de la présente publication est strictement interdite sans l’autorisation

limiter les risques ? 6 La détermination des systèmes de contrôle interne dans les établissements bancaires 8 Quel est le rôle du contrôle interne dans les organisations bancaires ? Quels objectifs se fixe-t-il ? 8 Comment le Comité de Bâle incite-t-il à la mise en place d’un système de contrôle interne efficace ? 9 Quels organes pour solliciter le système de contrôle interne ? 10 Conclusion 123 Introduction Le contrôle de gestion est né au début du XXème siècle du besoin

complexité des environnements et à « l’inflation réglementaire » permanente, cette fonction a pour but de prévenir tout « risque de non-conformité » des opérations bancaires et financières. La compliance, tire sa source de la règlementation bancaire et financière : les travaux de Bâle II . La fonction de conformité est une fonction indépendante qui identifie, évalue, et contrôle le risque de non-conformité de l’établissement, défini comme le risque de sanction judiciaire, administrative ou disciplinaire

surtout depuis la mise en place des systèmes de collecte de pertes. Le Comité de Bâle propose de définir les risques opérationnels comme « le risque de pertes dues à une inadéquation ou à une défaillance des procédures, personnels, systèmes internes ou à des événements extérieurs » (Basel Committee on Banking Supervision, 2001). En partie pour répondre aux initiatives réglementaires contenues dans les propositions de Bâle II (Basel Committee on Banking Supervision, 2003), et de peur de prendre un retard