Relation Seigneur Et Vassal

l'Europe. Ces dislocations des formes étatiques sont l’œuvre de la féodalité, le pouvoir descend à un échelon très bas dans la société civile, et est incarné dans une petite unité, appelée la seigneurie banale. Le roi n'a plus de pouvoir royal. Les seigneurs commandent aux paysans, mais sans être coupé par le gouvernement royal. Puis enfin vient la reconstruction du pouvoir royal, ce pouvoir va se reconstruire petit à petit, qui va naître de son territoire, l'île de France. Le moyen-age a jeté les bases

croissante en fonction du préjudice subit. La faïda ne sera jamais vraiment supprimée (pour les actes les plus graves : actes d'homicides, rapts et adultères). Les rois mérovingiens (désormais chrétiens depuis le baptême de Clovis) vont calmer les relations entre leurs sujets. Le mallus*, tribunal du comte rend justice pour sa personne. Les populations germaniques ne connaissent pas le système de l'appel. Il y a une répartition des affaires. Le tribunal du mallus* (est l'équivalent du tribunal de droit

d’Orient une capitale qui lui manquait. En 337 l’Empire éclate à nouveau et toutes les tentatives de réunification seront des échecs. Les derniers augustes qui ont encore des relations sont, en occident Valentinien III (424-455) et en orient Théodose II (auguste en 408-mort en 450). Après leurs morts il n’y aura plus aucune relation entre l’empire romain d’occident et l’empire romain d’occident. Section 2 – un Empire chrétien L’empire romain va adopter le christianisme au début du IVe siècle après

Ce maître que l’on appelle le seigneur s’engage en échange à protéger le vassal et sa famille, à les entretenir. La Terre. Le maître remet un bien-fait à son vassal. Donc se créer une hiérarchie des terres. L’absence d’État. Pas de pouvoir public unifié. Ses prérogatives sont fait par les seigneurs et les vassaux sur leur terre. Section I : Les cadres fondamentaux de la société (XIe – XIIe siècles) § I : Les seigneuries Les pouvoirs sont exercés par les seigneurs. A. Le morcellement de la puissance

critères vont s’appliquer à un état. Mais problème, pour la mafia, Apple, l’ONU… Aller au macdo ce n’est pas politique, mais ne pas aller au macdo ça peut être politique. D’autre part le problème se forme sur la relation entre pouvoir du gouvernement d’orienter les gouvernés. Il y a des relations de pouvoir partout mais ce n’est pas forcement politique (ex : entre parents et enfants). Pourquoi on reconnaît au gouvernant le droit de nous gouverner ? Est-ce que finalement le pouvoir politique est partout 

Le premier préteur est le préteur urbain, spécialisé dans le droit civil. Le droit civil à Rome est le droit de la cité càd le droit des citoyens. Le préteur de la ville s'occupe des procès entre citoyens selon le droit de la cité. Les relations juridiques se multiplient entre citoyens et non citoyens (les pérégrins). Le deuxième préteur est donc le préteur pérégrin. Quand les préteurs entrent en fonction, ils énoncent, dans un texte, la façon dont ils vont organiser les procès

institutions locales sont aux nombres de deux: -La Municipalité qui gère les intérêts collectifs des habitants en s’appuyant sur des chartres municipales accordés par le seigneur voisin. Elles vont parfois être favorisé par le Roi, mais quand elles vont s’opposer au Roi, il va les punir. -La Féodalité. Elle va assurer l’autorité d’un seigneur sur les habitants dans un secteur géographique donné plus ou moins important. A côté des institutions, il y a l’Eglise, considérée alors comme une institution

d’un autre homme libre plus puissant. Un homme libre s’engage envers un autre et devient vassale. Son protecteur va l’aider matériellement (le nourrir, lui confier une terre). Il reçoit des bénéfices. Cela concerne des hommes libres de conditions moyennes, puis hommes plus puissants. Charlemagne utilise cette méthode. Au 8e siècle, elle s’est étendue jusqu’au roi. Les grands propriétaires sont devenus les vassaux du roi. Le roi a donc été dépouillé de ces terres. * C. Le gouvernement et l’administration

cela est faux. Aux alentours de l’an 1000, on voit apparaître au sein des délégations territoriales de nouvelles délégations : les seigneuries (châtelains qui s’indépendantisent avec une sphère d’influence d’environ 50km autour du château). Ces seigneurs concentrent le pouvoir de ban, soit le monopole de prérogatives de puissance publique (lever l’armée, rendre justice, lever l’impôt, battre monnaie). On parle d’ailleurs de seigneuries banales. Ce morcellement du territoire au 10e s va forcément

vasselage (=contrat privé par lequel le vassal reçoit la protection du seigneur en échange de services et de loyauté). Les Carolingiens vont lui donner un rôle dans le renforcement de l’autorité et prendre l’habitude de donner à chaque vassal un bienfait, une terre dont il pourra vivre, et on dit alors qu’il est chasé. Tous les fonctionnaires vont être encouragés à entrer dans la vassalité de l’empereur pour qu’il y ait rapport de fidélité personnelle en plus de relation d’Etat. On pensait de la sorte