Relations Maitres Servant

cette scène est révélatrice de l'aveuglement d'Orgon envers Tartuffe. On montrera que cette scène propose une critique très sévère de la fausse dévotion. On montrera d'abord que cette scène complète l'exposition, pour cela on fera apparaître les relations entre Orgon et Tartuffe, on se demandera en quoi cette scène de comédie est au service de la présentation de Tartuffe et pour finir on se demandera sur quoi repose le comique de cette scène et on analysera les procédés comique. Le dialogue,

Marivaux Le renversement initial : la règle du jeu Scène 1 (Iphicrate, Arlequin) Arlequin et son maître, Iphicrate, ont fait naufrage et ont échoué sur une île. Soucieux et inquiet, Iphicrate révèle à Arlequin les lois qui régissent cette île où les anciens esclaves sont devenus les maîtres, et où les anciens maîtres sont punis. Dès cet instant, assuré de son impunité et amusé à l'idée que son maître puisse être considéré comme un criminel, Arlequin n'est plus qu'insolence et moquerie à l'égard

mouvement: Une servante qui oublie sa position. Ligne 5=> familier « Ouai »; question rhétorique ligne 8-10-14-17: Toinette joue avec les sentiments, une opposition stratégiqueArgan insensible=> futur de certitude et répétition de la négation « ne…point »=>comique de caractère ligne 23 : Toinette joue avec les sentiments en le flattant, effet inverse inattendue, ce stratagème provoque la colère d’argan=>comique de caractère à son paroxysmecomique de situation=> Le maître converse avec

âgée seulement de seize ans, va travailler comme servante dans une famille de L’Oude Langendijck, dans le coin des papistes (les catholiques). Elle est fort connue grâce au célèbre peintre, Johannes Vermeer. Griet part donc toute la semaine et ne peut revenir que le dimanche. Heureusement, même si son salaire n’est pas très élevé, il suffit à la famille. C’est grâce à son père que Griet est engagée par ce peintre. Celui-ci cherchait une servante et comme les deux hommes sont dans la même guilde

entreprenons de vous guérir » dit-il dans la scène 2. Sa fonction est donc de résoudre le conflit qui oppose maître et esclave, par le jeu (inversion des rôles, travestissement) et la parole = théâtre libérateur. Ce portrait constitue donc une épreuve pour les 2 acteurs principaux: C et E et sa fonction est définie plus haut. Le double but de ce portrait satirique: - Permettre à la servante en exprimant sa colère par la parole de sa libérer: (A Cléantis) « J’espère , que vous perdrez votre ressentiment

rapports maître-valet) Après lecture:Situation du passage /Intérêt de la scène /Annonce du plan (en fonction de la Q.posée) Situation:à la scène 4, EU finit par convenir que le portrait fait par CL est exact, scène 5: ARL: portrait d'IPH qui reconnaît volontiers ses torts (voir cours précédent CCL), T., satisfait, quitte la scène. C'est la fin de la 1ère épreuve. La 2ème épreuve, celle de la séduction des maîtres, est plus décisive: ce sont les esclaves qui en ont l'idée, pour les maîtres, c une

tout d’abord les préparatifs de la cérémonie, puis en nous penchant sur l’agressivité croissante de Claire, dans le rôle de Madame. Nous nous demanderons ainsi comment cette scène de théâtre dans le théâtre traduit la montée de la tension entre maître et valet. 1. Lignes 1 à 18 : Les préparatifs de la cérémonie Les accessoires et le mobilier mentionnés dans la didascalie initiale concourent à donner l'image d'une femme qui ne travaille pas, qui est entretenue et qui a du goût. Claire joue

GEORG WILHELM FRIEDRICH HEGEL (1770-1831) Dialectique de maître et de l’esclave La conscience est un résultat (1807) La dialectique du maître et de l’esclave que l’on trouve dans la Phénoménologie de l’Esprit de Hegel décrit comment la conscience se transforme en conscience de soi. Faisant de celle-ci un résultat et non une réalité spontanée, elle apparaît comme une critique de la conscience-substance. Toutefois, elle n’invite pas pour autant à se délivrer de toute conscience. Car, si

satire sociale et un regard de moraliste sur l’homme. Marivaux y renouvelle le canevas et les lazzis de la commedia dell’arte pour faire réfléchir les spectateurs à de nouveaux rapports sociaux au moyen de l’utopie. Réutilisant le couple traditionnel maître-valet, Marivaux se livre à deux exercices concomitants : le laboratoire utopique et la comédie de mœurs. Il joue également sur deux registres, le comique et le pathétique. Ces dualités assumées donnent à la pièce son caractère onirique qui permet

valet nous venge de tout ce que nous n'osons ou ne pouvons pas faire. Par un processus d'identification, le valet offre donc au spectateur aujourd'hui encore une liberté et une revanche symbolique contre tout ce qui le rend esclave, en battant son maître, ou en mentant effrontément pour s'en tirer. De plus, le valet a une dimension dramaturgique essentielle, car il agit pour le plaisir de l'action et symbolise l'illusion comique: il est désintéressé, fait des actes gratuits, il n'est donc finalement