Religion en Mésopotamie

La religion grecque Fernand Robert, collection Que sais-je? PUF Chapitre premier: Croyance, mythologie et littérature -Il faut tracer les frontières qui permettront de dire ce qui pour les Grecs de l'Antiquité est véritablement objet de foi, cela était leur religion. I. Religion et mythologie -Les mythes étaient incapables d'inspirer la foi, même les penseurs grecs le savaient bien, la vraie religion des Grecs n'était pas dans leurs légendes. Les penseurs grecs voyaient les dieux comme

par les grands règnes de l’histoire du Proche-Orient ancien. Chaque souverain puissant, ami ou ennemi, voulut la conquérir et y laisser son empreinte, pour l’embellir ou la détruire. Babylone était le cœur spirituel et intellectuel de toute la Mésopotamie, rayonnant sur le monde civilisé. Elle était le centre cosmique, le symbole de l’harmonie du monde, née de la puissance de son dieu suprême, Marduk, vainqueur des forces du chaos et organisateur de l’univers. Cet aspect cosmologique est à l’origine

par les grands règnes de l’histoire du Proche-Orient ancien. Chaque souverain puissant, ami ou ennemi, voulut la conquérir et y laisser son empreinte, pour l’embellir ou la détruire. Babylone était le cœur spirituel et intellectuel de toute la Mésopotamie, rayonnant sur le monde civilisé. Elle était le centre cosmique, le symbole de l’harmonie du monde, née de la puissance de son dieu suprême, Marduk, vainqueur des forces du chaos et organisateur de l’univers. Cet aspect cosmologique est à l’origine

d'un tribun de la plèbe, fonction qui lui est pourtant interdite en raison de ses origines sociales. Il reçoit également " l'imperius majus", le pouvoir suprême sur toutes les armées. Enfin en 12 av JC il est proclamé "pontifex majus", chef de la religion romaine. Héritier de César, il restaure les institutions républicaines qui reconnaissent son autorité. C'est lui qui nomme les sénateurs, qui établit les lois et exerce la justice. Sur le plan religieux, l'empereur es le "grand pontife", c'est lui

Mecque en pèlerinage. L’Arabie ne formait pas un état et n’avait pas une religion unique, c’est Mahomet qui en quelques années lui donnera l’unité religieuse et politique. 2. Mahomet Il naît à la Mecque vers 570, il a une enfance pénible et devient conducteur de caravanes, il connaît les croyances juives et chrétiennes. A 40 ans il a des visions, il croit être choisi par Dieu pour annoncer aux arabes la vrai religion. On ne le suit pas et il émigre donc à Médine = l’hégire, la 1ère année

cuivre étain = érain = bronze ( 1er métal dur ). Age de fer & premieres villes : artisans, commerçants etc.. Années -3000;-4000 : systèmes communs → Les premières grandes civilisations : Egypte ( -3000 jusqu'à 642 (arabe) 30 dynasties ) Mésopotamie Chine ( -4000 à -300 « les Hans » ) Inde Amérique Japon Égypte ancienne : Augmentation des villes le long des fleuves. 30 dynasties – 1er grand Etat monarchique durant 3000 ans. Monarchie centralisée : scribes ( inventaire,

des pictogrammes et enfin de ne les associer qu’à des sons, offrant ainsi l’équivalent écrit d’une langue parlée. L’invention de l'écriture est une chose très importante pour la préservation et la transmission des idées. Le support d’écriture en Mésopotamie était l’argile présente sous de nombreuses formes, en tablettes bien sûr, mais aussi en forme de cylindres ou de prismes. C’est sur des tablettes d’argile babyloniennes qu’on trouve la trace des premières mathématiques. Les quatre opérations de

des pictogrammes et enfin de ne les associer qu’à des sons, offrant ainsi l’équivalent écrit d’une langue parlée. L’invention de l'écriture est une chose très importante pour la préservation et la transmission des idées. Le support d’écriture en Mésopotamie était l’argile présente sous de nombreuses formes, en tablettes bien sûr, mais aussi en forme de cylindres ou de prismes. C’est sur des tablettes d’argile babyloniennes qu’on trouve la trace des premières mathématiques. Les quatre opérations de

rattacher les courants et les enseignements gnostiques à une latitude spirituelle exclusive. Bien qu'il soit certain que nous devons tenir compte, dans tout système gnostique, de ses éléments hellénistiques et orientaux, provenant de Perse, de Mésopotamie, de Syrie, d’Inde, de Palestine, d’Egypte, etc…, nous ne devrions jamais ignorer les principes gnostiques perceptibles dans les sublimes cultes religieux des Nahuas, Toltèques, Aztèques, Zapotèques, Mayas, Chibchas, Incas, Quechuas, etc., de l’Amérique

est professeur de philologie classique à l'université de Bâle. Il est l'auteur de livre sur les cultes de l'Ionie du Nord ( Nordische Kulte, 1985) et sur la mythologie grecque (1985, édition anglaise en 1993), ainsi que de nombreux travaux sur les religions du monde classique. Le livre La magie dans l'antiquité gréco-romaine traite du sujet de la magie dans l'antiquité. Il aborde des thèmes de vocabulaire, de réflexions d'anciens, il dresse un portrait du magicien. Il explique aussi comment devenir