Remarques Finales Bergson

de vue ont leurs difficultés propres : une première difficulté provient de ce que toutes les pratiques sociales n'ont pas nécessairement la société pour objet, mais plutôt comme horizon préalable, comme cette « présence indéterminée » dont parle Bergson lorsqu'il s'interroge dans le premier chapitre des Deux sources... sur le fondement de l'obligation : des pratiques sportives ou religieuses par exemple sont sociales, mais il ne s'agit pas de « faire société » dans un sport ou dans un culte... on

contraintes: -Cette recherche de la maximisation du bien-être se fait sous la contrainte que les satisfactions des autres consommateurs sont fixées. -Pour la fonction de production, chaque entreprise va être limitée par sa fonction de production. Au final, on a un raisonnement de Pareto à l’équilibre puisqu’il existe une égalité entre l’offre et la demande. (O=D) Il existe une représentation assez simple du raisonnement parétien: On va représenter la société par deux individus qui seront identifiés

l’évolution des vivants, mis en lumière par Charles Darwin dans De l’origine des espèces, alors on se rend compte que la vie est fondamentalement un changement, la vie c’est la création de combinaisons nouvelles. Pour reprendre les mots d’Henri Bergson, dans l’Evolution créatrice, «la vie est un jaillissement ininterrompu de nouveautés ». La vie crée ,la vie modifie, la vie transforme. Or, si l’on veut réellement agir sur la vie afin de la changer, il nous faut bloquer ce pouvoir créateur de la

méthodologique/individualisme méthodologique. Pour comprendre les sociétés faut-il partir de la totalité ou des actions individuelles ? On montrera alors que la sociologie contemporaine est très largement marquée par une volonté de dépassement de ce débat. Remarque importante : Sur un tel sujet, il est évidemment impossible d’être exhaustif. D’autres auteurs ou d’autres ouvrages pouvaient être mobilisés. Les exemples cités sont souvent présentés de façon allusive. Les utilisateurs de ce corrigé sont donc invités

découvrir une pensée de l’art et de l’artiste qui m’a tout de suite intriguée. Lors de recherches sur le cinéma « esthésique », je me suis penchée plus particulièrement sur l’œuvre de Tarkovski ainsi que sur sa philosophie. C’est alors que j’ai remarqué que leur conception de l’art et l’artiste étaient très proches. Ils ont pourtant des manières extrêmement différentes d’appliquer leurs idées, de pratiquer leur art. Mais malgré tout, pour l’un comme pour l’autre, l’art est un moyen de communiquer

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 20 extraits d’œuvres prêts à l’emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Carnap (31) — Greene (32) — Aspect (34) — Lem (37) — Kant (39) — Bergson (41) — Heidegger (43) — Sloterdijk (44) — Canguilhem (46) — Spengler (48) — Dardel (50) — Houellebecq (51) — Augé (52) — Arendt (54) — Traité (56) — Virilio (57) — Boudon (59) — Bachelard (61) — Cheng (62) — Delluc (64) L’ESPACE ET L’HOMME Sujet

mots mais aussi la gestuelle. Parenthèse sur la religion : religion et tolérance sont deux concepts différents. La religion est un processus de spéculation qui donne sans à l’action. La religion n’a rien à voir avec être tolérant ou pas, mais on remarque une transformation du langage de surface. Le problème de fond, de sociologie est comprendre pourquoi dit on qu’elles le sont forcément. On a deux types de langage : non performatif et performatif : - de langage non performatif : la

entretien constant. Le langage joue un rôle majeur dans le déterminisme culturel. On baigne dans ce milieu vital en absorbant des énoncés. Donc il semble difficile de penser au-delà de sa culture, on appartient bien à elle. Explication de texte Bergson : Le langage est une fonction éminemment sociale dont l’objet est l’exploitation du milieu. Le langage est naturel, la langue conventionnelle. Cela veut dire que les structures mentales permettant le langage sont dans l’organisme comme des armes permettant

| |Il est étrange de constater que la toute première image diégétique d’un film, qui ne peut pas être sans importance, soit rarement une | |image dont se souvienne le public. Il suffit d’entendre parler d’un film pour remarquer que bien souvent on évoque une scène d’action | |– c’est le cas le plus courant –, ou un bon mot, ou encore une longueur déplaisante, ou bien même un silence. Il est vrai que dans une| |majorité de cas, l’entrée dans un contexte filmique et narratif

les lecteurs de ce livre seraient au contraire fort désorientés si je ne leur adressais une sorte de plaidoyer, pour les mettre à même de considérer les choses du point de vue qui m'est habituel. Au cours de nos conversations vous m'avez fait des remarques qui s'inséraient si bien dans le système de mes pensées qu'elles m'ont amené à approfondir quelques questions intéressantes. Je suis persuadé que les considérations que je vous soumets ici, et que vous avez provoquées, seront fort utiles à ceux qui