Remontrances Etat Languedoc 1750

rites religieux du temps de Charlemagne Suite des usages du temps de Charlemagne. De la justice, des lois. Coutumes singulières. Épreuves III. LA VIE ET LES MŒURS DU Xe AU XVIe SIÈCLE De la religion et de la superstition aux Xe et XIe siècles État de l'Europe au XIIIe siècle Mœurs, usages, commerce, richesses vers les XIIIe et XIVe siècles Sciences et beaux-arts aux XIIe et XIVe siècles Affranchissements, privilèges des villes, états-généraux Tailles et monnaies Usages des XVe et XVIe siècles

bourgeoise et paysanne (le Tiers Etat) le roi a fait reculer, a domestiqué les seigneurs. La conséquence : cet abaissement des seigneurs a permis à son tour le renforcement de l'Etat. Mais rien ne fut possible sans l'appui de la société. L'absolutisme monarchique en ce sens n'est pas l'oppression de la société par le roi ; il exprime la volonté sociale. C'est un mandat confié au roi, le moyen d'évincer les seigneurs qui exploitent les roturiers, et de construire un Etat, une administration au service

parvenues. Les 1ères traces dont nous disposons sont les 1er codes qui date de la fin du 3eme millénaire avant JC : se sont les codes mésopotamiens, par exemple le code d’Hammourabi, ils ont été gravé sur une stèle. Hammourabi est roi de 1792 à 1750 avant JC, il a voulu fondre ces conquêtes en un seul empire. Son œuvre législative répond à ce souci. On parle de code, mais ce n’est pas un code dans le sens ou nous avons une succession de texte législatif (sans ordonnancement). La stèle est figurative

marcher dans la voie droite pour gagner le salut. Ce corps de doctrine, la cité royale est très importante car il sera véhiculé par l’Eglise à travers les siècles, et l’Eglise continuera à le véhiculer alors que la monarchie sera tombée dans un grand Etat de faiblesse. Ce corps de doctrine servira de tremplin idéologique à l’ascension de la dynastie capétienne. Ces fondements du pouvoir demeureront ; la royauté, malgré son déclin, aura toujours une légitimité grâce à ce corps de doctrine. Cette époque

(Notarié) lorsqu’il est passé devant le notaire. (Alors que les avocats veulent libéraliser le mécanisme). En tant que thème philosophique : Les règles juridiques ont en principe, fondamentalement pour objet de maintenir ou d’introduire un certain état social, considéré comme un « mieux-être ». Ces règles vont reposer sur des valeurs. Les philosophes dans l’antiquité vont être obligés de lier ce mieux être au droit car dans toutes sociétés il y a du droit. Durant l’antiquité la philosophie inclus

rites religieux du temps de Charlemagne Suite des usages du temps de Charlemagne. De la justice, des lois. Coutumes singulières. Épreuves III. LA VIE ET LES MŒURS DU Xe AU XVIe SIÈCLE De la religion et de la superstition aux Xe et XIe siècles État de l'Europe au XIIIe siècle Mœurs, usages, commerce, richesses vers les XIIIe et XIVe siècles Sciences et beaux-arts aux XIIe et XIVe siècles Affranchissements, privilèges des villes, états-généraux Tailles et monnaies Usages des XVe et XVIe siècles

de droit dans un code. C'est la première fois que le droit est rassemblé dans un même texte. C'est aussi la première naissance du droit comme un droit divin qui est censé avoir été dicté par les dieux.   Mésopotamie, HAMMOURABI, roi de Babylone : 1750 av JC : décision de rassembler le droit dans le code d'Hammourabi gravé sur pierre, retrouvé en 1901 en 3 morceaux et exposé au Louvre. Texte quasi complet de ce code. Existence d'un dessin du roi Hammourabi recevant le droit du dieu soleil qui est

droit de la Mésopotamie : droit profondément marqué par la religion. Cela se voit sur son plus célèbre monument législatif, le Code d’Hammurabi (stèle babylonienne de 2,25m de haut exposée au Louvre). Hammurabi était le roi de Babylone aux alentours de 1750 av. JC. Ce code présente le droit comme un droit révélé. C’est un dieu qui asse pour avoir dicté le droit au roi Hammurabi, de ce fait il n’est pas appelé à changer. D’ailleurs le Code maudit celui qui serait tenté de changer la loi. Mille ans plus

certaines branches, et si marqué par des rapports de force entre intérêts ( que l’on pense au droit du travail, au droit des sociétés, par exemple ), qu’il est souvent dominé par une perspective étroitement positiviste, par un intérêt exclusif pour son état actuel, et par une inspiration étroitement utilitaire. Ecartant tout idéalisme et toute recherche historique, la science du droit, aujourd’hui, a tendance à borner son horizon au droit positif, au droit tel qu’il est posé, tel qu’il existe. Le jurisconsulte

effet du 10 au 12 ème la plus importante source du droit est la coutume qui règne en maitresse et ne laisse une place marginale aux autres sources. Paragraphe 1 : le règle de la coutume L'élaboration du droit n'est plus lié à la création d'un état car l'état n'existe plus. En l'absence d'un pouvoir central fort capable d'édicter et imposer des règles générales, il se développe un système politique morcellé. A l'intérieur de chaque seigneurie, s'affirme lentement des principes juridiques qui