Remplage

centrale plus large et plus grande. Ici aussi en arcs brisés et entourés par des colonnettes sans sculptures. Les colonnes du portail rejoignent celles des fenêtres hautes et ainsi accompagnent notre regard vers la rosace. Celle-ci est ornée d’un beau remplage et sur ses côtés on observe deux pilastres. Ces trois registres sont séparés par des lignes horizontales qui confèrent un certain rythme à la composition. La rosace est elle surmontée par une galerie de niches voûtées abritant des statues et par

international calqué sur le modèle français jusqu’à la fin du XIII° ensuite, des styles nationaux vont s’affirmer • 1250-1375 Gothique rayonnant • 1375-1500 Gothique flamboyant Périodes gothiques : éléments de différenciation • Forme des baies (remplages) • Élévation (arcades, tribunes, triforium, fenêtres hautes) • Type de croisée (sexpartite, barlongue) • Forme des colonnes/piliers de supports • Arcs-boutants 5 GOTHIQUE PRIMITIF (1140-1190) Caractéristiques structurelles • Voûtes sexpartites

fort tailloir recevant les colonnettes supportant  les ogives, ou plus rarement fasciculées pour les retombées des doubleaux. Gothique Primitif Architecture Gothique Gothique LANCEOLE Caractéristiques décoratives : remplages Fenêtre à remplages en forme de lances surmontée d’une rose : lancéolé. Architecture Gothique c Gothique LANCEOLE Notre Dames de Reims Architecture Gothique Gothique LANCEOLE Notre Dames de Reims Architecture Gothique Gothique

infrastructure. Cette structure constitue l' appui de la construction, celle qui reçoit les charge, Le maçonnage en éléments aussi bien lourds que légers et la fixation d'éléments légers sont utilisés pour associer les éléments du remplissage (le remplage) à toute structure, Par la structure de bâtisse En parlera de remplissage par exemple par un mur rideau de façade, par des hourdis de plancher, etc. On parlera aussi d' ossature pour désigner la structure rigidifiante d'élément de remplissage .

pénétrer une lumière abondante. La surface éclairée est encore augmentée par la présence d’un triforium - passage étroit aménagé dans le mur de la nef dans les grandes églises ajouré (rendre plus beau décorer). Les fenêtres sont caractérisées par des remplages (armature en pierre d'une baie) d’une grande finesse qui ne font pas obstacles à la lumière. La rose déjà très utilisée auparavant, devient un élément incontournable du décor (Notre-Dame de Paris, la cathédrale de Strasbourg). c. Le gothique

plein-cintre néo-classique, avec un fronton triangulaire. La deuxième est de style néogothique (arc brisé) et est une fenêtre à remplage. Au niveau des bas-côtés, le même schéma se répète, avec une fenêtre de moins aux extrémités. Cela accentue la différence de niveau visible entre la nef principale et les bas côtés. Les autres façades ont des fenêtres en arc brisé avec remplages. La structure de l'édifice est sur l'extérieur. Les contreforts sont a double étages et à double volées. Ils ont la même hauteur

toiture double à pentes raides d’où s’élance une haute tour clocher munie d’une galerie qui rappelle les églises gothiques en pierre et confère aux églises une silhouette caractéristique. Les églises s’élèvent sur un socle de blocs de pierres et remplage de cailloux ; les poutres de bois (chêne ou bien sapin) sont disposées selon le système blockbau et assemblées par des jointures en forme de V, U ou T qui confèrent stabilité et flexibilité à la construction. Les poutres de la partie supérieure des

inventions les plus hardies du génie occidental. Du milieu du XIIe siècle au XVIe siècle, l'architecture de l'Europe du Nord, représentée surtout par des édifices religieux, met en œuvre arcs-boutants, arcs en ogive, voûtes à nervures et fenêtres à remplages (armatures de pierre). Les murs minces, les piliers élancés et les grandes surfaces vitrées donnent aux édifices gothiques un aspect de légèreté qui contraste nettement avec l'architecture romane. On tient pour le premier édifice gothique l'abbaye

voûtes d’ogives sur plan carré. Le transept et la première travée de la nef datent de la deuxième campagne de construction, avec une influence de style rayonnant, spécialement dans le remplage des grandes fenêtres des croisillons. Le transept n’a pas de bas-côtés. Le pilier du nord est orné d’un très beau chapiteau orné d’un feuillage. Au pied de ce pilier, se trouve la « chair de Saint- Gérard », en fait siège épiscopal de pierre sculptée

systématique de la grisaille. La grisaille est une technique de peinture qui s’apparente au clair-obscur. (10) On s’aperçois aussi que les baies sont structuré par des remplages souvent gainé de structure métallique afin de pouvoir avoir le moins possible de pierre, pour le plus possible de lumière, et que l’édifice tienne quand même. Les remplages des baies sont de style très flamboyant, puisqu’ils ressemblent à des motifs de flamme. (11) La sculpture décorative est très importante à la fois à l’intérieur